« Parmi les méchants chats était venue la souris » Dante L’Enfer Chant XXII
On peut violer l’Histoire à condition de lui faire de beaux marmousets disait en substance Alexandre Dumas.
Je propose à la sagacité des lecteurs.trices de MBS une enquête policière dans laquelle une Dragonne, un Chêne, un Porc épic et un Chat sont impliqués.
@F.J. Lécollier
Bien le bonjour à vous, J'avais lu il y a longtemps, l'anecdote d'un émissaire d'un pape (dont j'ai totalement oublié le nom), assassiné sur le Rhône. Les motivations et les coupables restèrent inconnus. J'ai pris cette histoire et l'ai développée à ma façon dans une intrigue qui s'appuie sur des faits historiques. Merci Bisous Merci pour avoir lu et commenté les aventures de ces dames délurées.
PS J'allais vous conseiller "La Dragonne fouine au couvent", mais j'ai été avertie par un message que vous l'aviez mise en bibliothèque.
J'ai vu que vous aviez écrit une trilogie côté science-fiction. Je ne manquerai pas d'aller vous lire à mon tour
Bonjour,
Jolie intrigue policière sur fond de complots politiques au quinzième siècle, menée tambour battant par deux femmes et un chat. Dragonnette et Pêche Gracieuse sont des personnages féminins comme on voudrait en voir plus souvent, fortes et à l'esprit acéré. Si vous leur écrivez d'autres aventures, je ne manquerai pas de les lire.
@Alhéna Skat
Très chère Dame, Dragonnette et Pêche Gracieuse sont les lointaines ancêtres littéraires d'Apollonia et Evangeline. Toujours rétives à obéir aveuglément à l'ordre établi. Elles apparaissent également dans La Dragonne fouine au couvent. J'ai tenté de respecter une réalité historique sans hésiter toutefois à employer des licences poétiques quand cela m'arrangeait. Merci Bisous Merci pour votre commentaire qui m'encourage beaucoup. Vos étoiles iront décorer les tiares de ces dames
PS Mes amitiés à Messire Jan et dites lui de se méfier des danseuses à sept voiles, même arachnéens, elles peuvent se révéler aussi toxiques que des belles plantes. J'ai visité,sous haute surveillance, en Angleterre, un jardin de plantes intoxicantes. Conclusion : Dame Nature est une psychopathe !
@FIDJI FIDJI 4 Allez savoir pourquoi, votre "au revoir" m'a rappelé "Le merveilleux voyage de Nils Holgersson" à travers la Suède et un poème de Richepin mit en musique par Brassens. Je sais, c'est un temps littéraire et musical que les moins de vingt ans etc... Au-dessus de ma maison, je les grues et oies sauvages passent deux fois par an. C'est un spectacle dont je ne me lasse pas. Alors, cher oiseau de passage, volez où le vent vous portera et revenez quand il vous plaira. Merci Bisous Merci également pour votre visite sur ma page. Ce fut un partage très agréable.
@Parthémise33
Bonjour. Je quitte la plate-forme car j'ai une vocation d'oiseaux de passage. Je reviendrai à la fonte des neiges (ou à l’extinction du système solaire). Je tenais à vous dire qu'outre les 4 auteurs avec lesquels j'avais fraternisé lors d'une lointaine première incursion dans ce sympathique panier de crabes, j'ai apprécié, lors de ce séjour, de faire la connaissance d'une belle personne. Bonne route à vous...
@FIDJI FIDJI 3 Je quitte un Donovan, je retrouve un FIDJI. Combien êtes-vous, dites donc ? Mon voyage a pris fin hier. Il est donc temps pour moi de découvrir votre prose. Je suis sensible à l'invitation de Madame-Mère. Je savais bien que je l'amadouerais. Certaines compétences acquises auprès d'une famille nombreuse, m'ont permis de développer le don de dompter une tigresse toujours prompte à protéger ses petits. La présence d'un chaperon est-elle nécessaire ? Même du temps de Jane Austen, les personnes de sexes opposés pouvaient échanger des propos badin en dehors de la surveillance d'une duègne austère. Bisous Merci Bisous pour ces échanges monbestselleriens
Super bonne nouvelle. Maman accepte que vous veniez prendre le thé dans le séjour Royal à une date à votre convenance à la seule condition qu'elle ne nous quitte pas des yeux et nous chaperonne d'importance. Youpi ! Hourrah ! Si je peux me permettre...
@Donovan Letch, Je suis au tréfonds du désespoir. J’hésite entre le suicide à la cigüe et la cuite au Warday’s cocktail. Vous avez raison, personne n’est de force à lutter contre la « cuisine de maman ». C’est une règle universelle qui ne souffre aucune exception. Merci Bisous Merci
@Parthemise33 Pas à dire, je suis preneur de votre humour et de votre écriture légère comme la plume au vent bien que je déteste cordialement le 18ème siècle, les petits marquis et les ronds de jambes.
Bien évidemment que ces malicieux farfadets toutes griffes dehors sont utiles dans la torpeur ambiante comme le sont les prédateurs à la régulation des espèces et les donneurs de coups de pieds dans la fourmilière de l'auto-congratulation et de la tiédeur consensualiste de MBS.
J'avoue avoir fait deux fois un bout de route avec le sulfureux Hébus. Le plus récent s'étant terminé avant hier sur un constat de non-compatibilité dénué de tout excès d'aigreur.
Pourquoi ce cheminement commun ?
D'une, j'ai toujours aimé fréquenter les mauvais garçons et risquer de m'y brûler les ailes... Mon côté rebelle flamboyant.
De deux, c'est quelqu'un qui est ni sot, ni inintéressant.
De trois, j'ai voulu faire un geste de pure humanité pour combler l'impression de solitude intersidérale que dégage ses soliloques imprécatives dans sa tour d'ivoire en grattant un peu sous la couche primaire en quête de ses blessures intimes. Mon côté mère Térésa...
Et enfin, parce que je n'oublie pas qu'à mon arrivée sur ce site, il y a deux ans (avant d'en repartir ventre à terre !...), j'avais posté un roman dont j'étais (légitimement) fier du titre. ("Seuls sont les solitaires". ) Sur quoi un de ces auteurs pénétrés jusqu'à l'os de la valeur de leur petite personne m'a fait savoir en guise de bienvenue sur le ton de l'injonction paternaliste "qu'avec un titre pareil, je n'aurais même pas vingt clics !" Conseils d'un grand au petit nouveau...
Et qu'arriva t-il ?
Mister Hébus, qui est un homme de goût, je vous la joue modeste, a fait l'apologie de mon titre et sur sa lancée du contenu du livre. Je lui en ai voué une certaine forme de gratitude car j'ai encore le sens des valeurs ne serait-ce que pour me distinguer du reste de l'espèce. Je ne parle pas d'ego mais du chaud réconfort que procure le soutien d'un être humain à un autre être humain. De sensibilité partagée...
Là-dessus, j'ai quitté le site, ses clans et ses clics sur la pointe des orteils pour des raisons bassement ophtalmologiques...
De retour pour une nouvelle immersion qui tiendra ce qu'elle tiendra, je l'ai retrouvé derrière ses pseudos grâce à sa verve échevelée très personnelle (et très mordante). Nous avons fait un bout de route ensemble titillant parfois la complicité. Mais ayant le concept de loyauté chevillé au corps, je ne l'ai jamais laissé mettre en cause les quelques personnes que j'estime. Et ce de manière clair et sans équivoque comme vous pourrez vous en assurez si vous avez l'énergie suffisante pour prendre connaissance de nos aigre-doux échanges qui figurent sur ma nouvelle "La mort d'Odile et le saut de l'ange" , pseudo Fidji Fidji 2. (Autre pseudo Fidji Fidji, Donovan Letch, Piégeur masqué...)
J'effleure d'un baiser le dos de votre main droite révérencieusement sans ostentation de mauvais aloi, ni arrière-pensée autre qu'éthérée et platonique.
PS Malheureuse enfant, concernant Maman, que n'avez vous point fait en vous déclarant cordon bleu émérite. Mère a frisé l'apoplexie et m'a enjoint toute affaire cessante de cesser toute relation même épistolaire avec "cette pécore" (... trois fois désolé !)" qui aurait le front de cuisiner mieux que ta propre mère. Arghl ! Arghl ! Tu veux me tuer ?..."
@Donovan Letch Une rose Cuisse de nymphe n’aurait pas été plus émue que moi lorsque j’ai lu votre commentaire élogieux. Après quelques échauffourées avec les trublions du site,, je l’ai reçu comme un repos du guerrier. Que cela reste entre nous, ces agitateurs patentés ont leur utilité, mais chut ! Il ne faut pas le leur dire, ils se hausseraient du col. Ces échanges peu diplomatiques, voire vifs, me permettent de temps à autre de décrasser des petites cellules grises qui auraient tendance à ronronner tranquilles au coin du feu. Concernant de possibles fiançailles, rassurez Madame-mère, bas-bleu je suis, cependant mes amis s’accordent à me trouver des qualités inestimables de cordon-bleu. Si Carême était encore de ce monde, il viendrait me consulter. Merci Bisous Merci encore pour votre commentaire et les étoiles qui l’accompagnent
PS Je n’ai pas froncé de sourcil réprobateur sur vos supposées fautes de grammaire. J’en laisse passer assez à l’insu de mon plein gré pour ne pas juger sévèrement les légères erreurs des autres écrivains
Désolé pour les fautes de grammaire à mettre sur le compte d'une folle émotion ainsi que du "souffle" ligne 3 qui n'a pas lieu d'être. May the Lord have mercy of my wicked soul !"
@A P Gounon Sacré Guullwych ! J’adore les jurons gallois ! Je ne m’en lasse pas. Tu as ainsi fait connaissance avec ma deuxième « vedette ». Concernant les personnages, c’est exact, j’en présente beaucoup, mais dans un policier, c’est presque nécessaire pour multiplier le nombre de suspects. Je comprends que cela déroute un peu. C’est quand même plus facile à appréhender dans un film. Merci Bisous Merci pour tes remarques et les étoiles. J’irai les accrocher à Moustiers Sainte Marie.
Ps Si cela t’intéresse,, Dragonnette sévit également dans « La dragonne fouine au couvent ».
@Zoé Florent Robert Lamoureux (voui, voui, j'aime bien l'humour de Lamoureux) disait dans une de ces pièces "'une femme sans défense ça n'existe pas". Ces dames en sont la preuve. Elles ne se la jouent ni trop "girly" ni très "mec" . Un sorte de désinvolture assumée fortement facilitée par leur appartenance à un milieu privilégié. Quoique... Si je réécrivais l'Assommoir, juste pour voir comment évoluerait Gervaise ?
Merci bisous merci pour votre commentaire et le regard sympathique que vous portez sur mes copines imaginaires.
@Stog Votre commentaire et vos étoiles ont éclairé cette journée pluvieuse. Merci Bisous Merci pour avoir embarqué sur la jonque.
@Philippe Clausels Ce n'est pas grave. On ne plait pas forcément à tout le monde. Merci Bisous Merci pour vous être arrêté sur ma nouvelle et l'avoir notée.
@galodarsac Je suis curieuse et impatiente de lire votre future uchronie. Style et si Philippe Auguste avait perdu à Bouvines contre Othon IV et Jean sans Terre ? En attendant je retiens avec grand plaisir votre proposition d’intégrer une de vos composition poétique dans une de mes nouvelles. Justement, je vais commencer une fiction historique avec Dragonnette et il était prévu une chanson dans le texte. J’avais pensé à Greeleaves, mais l’historicité certaine n’est attestée que quelques années après mon intrigue. Je serais très honorée si vous vouliez participer et écrire un poème en style renaissance. Qu’en pensez-vous ? Merci Bisous Merci.
@Parthemise33 Je me souviens effectivement des démêlés de Jules II avec le roi de France (entre autres !), mais vous m'apprenez l'histoire de ce Concile (honte à moi qui me pique d'une connaissance avancée de l'Histoire, surtout médiévale et Renaissance...) Dommage qu'il n'ait pas réussi à dégommer ce pape calamiteux entre tous... En confidence, j'ai moi aussi dans mes projets un roman sur fond historique médiéval, ainsi qu'une uchronie du XIIème siècle basée sur un de ces hasards qui font basculer l'Histoire à un instant t... mais je n'en dis pas plus pour le moment, car d'ici à ce qu'ils voient le jour !
En attendant je vous prends à la lettre sur votre proposition, pas forcément pour le libretto (encore que, après tout pourquoi pas, une version style Cyrano ne manquerait certes pas de panache !), mais sur une contribution poétique, car si vous appréciez mes vers autant que moi votre prose, insérer ma patte versificatrice dans l'une de vos histoires sera un réel plaisir !
Je reste tout ouïe
Bien à vous
-LGA
@galodarsac "O ma jo-on-onque tu es le plus beau des bateaux..." C'est vrai, ça pourrait le faire en opérette. Compte tenu de votre très grand talent de poète, voudriez-vous vous y coller pour les parties chantées du livret ?
Enfin quand j'aurai trouvé un producteur (ou devrais-je dire un produc-tueur ?). Le contexte historique a rendu mon intrigue plausible : Louis XII a effectivement voulu faire "tomber" Jules II en invoquant le motif de sodomie (comme il était dit à l'époque). Un concile fut convoqué dans cette optique, puis tourna en eau de boudin.
Mon analyse est que le roi de France s'il avait des biscuits à un moment m, n'a pas pu les utiliser. C'est à partir de ce contexte agité que j'ai échafaudé cette hypothèse de lettres fichument compromettantes.
Merci Bisous Merci pour avoir pris de l'intérêt à cette histoire.
PS Je suis sur vos recueils de poèmes (si je peux m'exprimer ainsi). Je vous enverrai mes impressions plus détaillées, mais en résumé, je vous le dis : j'aime.
@HANÈS Dragonnette et Pêche Gracieuse vous remercient pour votre mention spéciale. Entre nous, il ne faut pas trop les féliciter parce qu’elles ont une tendance fâcheuse à prendre la grosse tête. Je suis très heureuse que vous ayez passé un bon moment à lire leurs aventures. Merci Bisous Merci pour votre commentaire plus qu’élogieux et vos étoiles.
Friendly yours
Ah, @Parthemise33, je prends note pour "Yorkshire pudding"... étant paternalophobique - essayez plutôt paternatalophobique - au dernier degré pour avoir longtemps subi le pesant "Chritmas spirit", je sens que je vais me régaler !
Si quelques fictions historiques vous tentent, je me permets de vous conseiller "Un étrange paroissien" ; "Une Saint-Nicolas sur l'Ill" et "Un trouvère en hiver"
Amitiés.
Philippe.
Bonsoir @Boris Phillips Waouh, oups, gloups, gasp ! Vous me trouvez flattée d’être comparée à ces trois honorables auteurs. En lisant votre commentaire, je reste sans voix. Et pourtant j’aurais tant de choses à raconter sur ce qui m’a inspiré cette histoire. Pour faire court, j’ai découvert Bonet de Lattes, et je comptais lui donner le rôle principal tant sa vie fut passionnante. Et parce qu’il aurait bien connu Alexandre Borgia et Léon X. Mais en tombant sur la rivalité entre Louis XII et Jules II, j’ai pensé, comme Champollion « Je tiens mon affaire ! ». Les astres se sont alignés en une conjonction favorable. Je me suis lancée, en essayant effectivement de rester fidèle, dans la mesure du possible, à une certaine réalité historique. J’ai quelques projets en cours. Si cela vous intéresse, sur MBS, j’ai publié « Yorkshire pudding » . C’est la première nouvelle policière que j’ai écrite. L’intrigue y est tout de même un peu plus simple. Merci Bisous Merci pour vos encouragements et votre soutien.
Certes, @Parthemise33, votre nouvelle n'est pas une "fiction historique" telle que j'avais pu la définir - de manière quelque peu dogmatique il est vrai - dans une "Actualités" parue le 25 mai 2018 comme dans les développements qui s'ensuivirent... seulement, je ne suis pas de ces "donneurs de leçons non demandées" à chicaner sur le surnom d'un roi ou le gabarit d'une jonque.
D'ailleurs, la phrase de Dumas que vous citez en exergue, est parfaitement illustrée dans votre récit : l'écrivain peut prendre des libertés avec certains détails si cela sert sa narration... ceci posé, certaines des critiques qui vous furent formulées ne sont guère à considérer que comme de minutieux "coupage de cheveux - pour rester poli - en quatre" tout juste bonnes à être ignorées !
D'autant plus que votre façon de mêler des personnages fictifs à d'autres dont l'historicité est avérée démontre que vous vous êtes livrée à de fort sérieuses recherches documentaires visant à créer et respecter les "faisceaux de probabilités historiques" mis en avant dans son article par le "vieux bénédictin" que je suis.
Au delà de ces considérations, j'ai trouvé dans votre "La griffe du chat" un formidable "polar Renaissance" avec, en prime, des huis-clos dignes d'Agatha Christie, de Ellis Peters... ou encore d'Umberto Eco.
Tout cela pour vous dire que si vous avez d'autres écrits de ce type en réserve dans votre escarcelle, vous trouverez en moi un lecteur attentif.
Amicalement et avec humour.
Philippe.
@Boris Phillips J’aime bien le Beaujolais, également. Plus certaines autres boissons intoxiquantes (avec modération, évidemment). Votre commentaire très positif et vos étoiles ont réjoui mon âme d’écrivaine en herbe. Bisous Merci Bisous à vous.
Bonjour @Laurent Lereverdy Merci Bisous Merci pour votre commentaire très positif. C’est vrai que le format BD conviendrait également. Le tout est de trouver un dessinateur, vu que je dessine moins bien qu’un élève de première année de maternelle.
Il se plaisait en bateau ;
Et soit en paix, soit en guerre,
Il allait toujours par eau,
À moins qu’il n’allât par terre
Bonsoir @beltege, Merci Bisous Merci de me laisser ce bon Monsieur de La Palice qui aimait tout le monde sauf ses ennemis. Je vais penser au projet dans ma tête;-). Pour le moment, j’ai trois nouvelles sur le feu, mais cela va peut être le faire. Truly yours
@Parthemise
Bonjour
Pas de problème, vous pouvez, si vous voulez partir sur Lapalisse et peut être le réhabiliter, suite à sa Lapalissade, qui aurait été déformée: Hélas, s'il n'était pas mort, Il ferait encore envie; ou le F se disait S. J'avais lu la phrase différente,( 5 minutes avant sa mort, il faisait si vivant), en parlant d'un frère d'armes.
à+
JC
Bonjour @beltege Votre retour sur ma nouvelle m’a fait plaisir. Je retiens l’idée de la péniche de La Palice touchée coulée en 1524. Entre nous, y a des gens qui avaient les moyens ! Mon cerveau, en ébullition permanente, explore déjà quelques pistes d’intrigues, mais si vous voulez vous y coller, y a pas d’malaise. Merci Bisous Merci pour votre commentaire élogieux et bon dimanche.
@Parthemise33
Bonsoir
Je me suis régalé à la lecture du livre. Presque d'une seule traite.
Epoque trouble de la papauté.
En parlant de la descente du Rhône, j'ai découvert en médiathèque un ouvrage concernant le Marquis de Lapalisse, intéressant. Ce dernier faisait suivre sa vaisselle d'argent utilisée comme rançon en cas d'emprisonnement lors des guerres concernant l'époque. Sa péniche chargée de son trésor aurait heurté une pile d'un pont à Vienne et serait toujours au fond du Rhône. Peut être un sujet de roman!?
Merci
@Karl Forterre Merci Bisous Merci pour votre passage sur ma page, votre commentaire, vos étoiles, et toutes ces sortes de choses.
Bonjour Cher Monsieur @Kroussar
1-Je maintiens mon vocable de Porc épic. Louis XII en faisait graver des écussons dans ses demeures. Il y également cet animal gravé sur des pièces de monnaie et poids monétaires royaux . Nous n’étions, ni vous, ni moi, dans le privé des grands pour savoir comment ils se surnommaient. Les écrits ne révèlent pas tout. Pas plus que maintenant d’ailleurs, même si quelques sobriquets sont dévoilés sur internet de temps à autre.
2-Je savais dès l’origine que des puristes tatillons tiqueraient sur la descente du Rhône. Port Saint Louis du Rhône a été créé au dix-neuvième siècle. J’ai passé outre en toute connaissance de cause. Votre idée des ailes est à retenir. Je vais donc utiliser les services d’un dragon ailé chinois mâtiné de Tarasque provençale et ne venez pas me dire qu’elle a été tuée par Ste Marthe. Disons qu’elle avait pondu un œuf avant de mourir. Après tout, la voiture de James Bond a aussi des ailes.
3- La boussole était connue des Chinois depuis longtemps. Bonet de Lattes avait une bague astrolabe. Concernant la navigation en haute mer, je n’évoquerai pas le cas de Christophe Colomb qui, de mémoire, n’a pas toujours caboté. Je rappellerai seulement la traversée du Kon Tiki dans le Pacifique et celle de l’Atlantique par Gérard d’Aboville en barque et à la rame. Alors, la Méditerranée par temps calme....
J’ai fait œuvre de fiction et non pas une biographie des personnages. Cela me rappelle les Dossiers de l’écran, où, après sa projection, le film était dézinguée par les spécialistes : le corset porté par la reine n’était pas d’époque, les galériens romains nageaient avec des rames du dix-septième siècle, la couleur mauve de la robe de la Marquise de Montespan était anachronique, etc...
Alors, cher expert, laissez-moi rêver qu’une jonque de taille convenable mais pas immense, est allée de Lyon à Rome, avec des jambes s’il le faut. Après tout, les lettres de Jules Il n’ont sans doute pas existé non plus. Merci Bisous Merci
Gente dame @Parthemise33
/n
Permettez au petit gymnure que je suis, de vous répondre sans le moindre pic.
/n
Quoi qu'il en soit, Louis XII ne fut jamais surnommé le porc-épic, ni même par ses opposants; d'ailleurs aucun des rois de France ne porta ce surnom. Comme vous le précisez dans votre commentaire, et non dans votre récit, Louis XII était surnommé "le père du peuple", alors...
/n
Au 16eme siècle, toutes les routes maritimes longeaient les côtes. D'une part, parce qu'à cette époque les instruments de navigation étaient trop rudimentaires, ainsi peu de navires s'aventuraient en très haute mer. D'autre part, parce qu'il était habituel de s'abriter dans les grands ports de commerce qui parsemaient les côtes, ou bien faire escale dans de petits ports dans le but de découvrir des richesses indigènes. De plus, seules les grandes jonques chinoises, de fort tonnage, pouvaient affronter la haute mer, leur interdisant toute navigation sur un fleuve ; trop de tirant d'eau, de tirant d'air. Les grandes jonques avaient 300 pieds de long et 200 hommes d'équipage... Les petites jonques, à fond plat, naviguent toujours, mais essentiellement dans les baies et sur les fleuves, et ne s'aventurent pas en haute mer. Or celle que vous avez décrite est un panachage des caractéristiques des grandes et petites jonques, ce qui en fait un navire unique en son genre; mais ne lui confère en aucun cas le pouvoir de voler (LOL).
/n
Par ailleurs, même toutes voiles dehors et par fort vent, la jonque que vous avez décrite, n'aurait pu franchir les bancs de sable, ni les quelques ponts qui enjambaient le Rhône en ce temps-là. Cordialement.
Cher Monsieur @Kroussar ,
Merci pour votre commentaire extrêmement positif et encourageant.
J’ai lu quelque part il y a longtemps, qu’un envoyé d’un pape (je ne sais plus lequel) était tombé dans le Rhône. Accident ou crime, rien n’était arrêté. Cette anecdote m’a inspiré ce récit.Avant de commencer à écrire, j’hésitais entre Alexandre VI et Léon X, et puis Jules II s’est imposé comme une évidence. Du Paradis, ou de l’Enfer, il m’a soufflé l’intrigue.
Concernant vos judicieuses remarques, sur mes approximations, qui vous ont dressé les cheveux sur votre tête , de manière à vous faire ressembler à un érinacéidé, permettez-moi de faire jouer mon droit de réponse.
-Louis XII a fait graver le porc épic un peu partout dans le château de Blois. Message subliminal, peut-être. Rien n’interdisait à ses opposants de s’en emparer comme sobriquet, lorsqu’ils parlaient du roi. Le surnom de « Père du peuple » étant trop valorisant. On peut combattre un porc épic, pas un Père du peuple.
-Concernant le détroit de Bonifacio, je maintiens le cap. Après tout, s’il y avait des pirates à cet endroit, c’est que des inconscients, ou des téméraires, continuaient à naviguer dans le secteur. Connaissant le caractère du capitaine, ce ne sont pas trois pirates, même corses ou sardes, qui l’arrêteraient. On peut penser que ces derniers siestaient ou dansaient le tango lors du passage du navire. Et qu’un bricoleur avait remonté la Méditerranée. Vous avez noté que la jonque fait du cabotage au retour.
-Je vous remercie pour vos précisions sur la navigation des fleuves et l’accès aux ports. C’est toujours bon de s’instruire. De ce côté là, j’ai rempli mon panier pour la semaine. Je garde ma jonque, tout de même. Une question en passant à vous qui êtes un spécialiste, la jonque ne peut -elle pas remonter à contre vent le Rhône en utilisant ses voiles ? Sinon , vous me ferez la grâce de le prendre comme une licence littéraire. Merci Bisous Merci pour l’ensemble de vos réflexions.
@Parthemise33
/n
Mais il y a trois petits points qui me chagrinent particulièrement :
/n
1) d'abord la jonque, que dame @Jeanne Bageau confond avec la felouque naviguant sur le Nil. Savez-vous chère amie, que le Rhône, à cette époque, ne permettait pas à une jonque chinoise de cette taille de remonter jusqu'à Lyon. Il faut attendre le 17ème siècle pour cela. Avant, seul le halage permettait à des bateaux à fond très plats, n'ayant aucun tirant d'eau, ni tirant d'air, ou si peu... à remonter depuis la mer. Même en l'a halant, la jonque aurait échoué quelque part.
/n
2) vous surnommez Louis XII, le Porc-épic. Or, rien n'est pourtant plus faux ! Lorsqu'il monte sur le trône de France, Louis XII conserve l'emblématique de ses ancêtres ; ce n'est pas lui qui a adopté le porc-épic comme devise, mais son grand-père, Louis d'Orléans. D'ailleurs, il fit supprimer cet ordre en 1498.
/n
3) vous précisez que la jonque "Dragonette" fit route entre la Corse et la Sardaigne pour se présenter en face du port d'Ostia. Ben non ! Cela aurait pu être une bonne idée à la lecture d'une carte maritime. Il faut savoir qu'à cette époque, les navires évitaient le passage entre Bonifacio et Santa Teresa; zones de brigandages et de mers démontées... De plus, la route vers Ostia était exclusivement côtière, et non hauturière.
/n
Comme Alexandre Dumas, vous nous avez prévenu que l'on pouvait violer l’Histoire à condition de lui faire de beaux marmousets. Oui, mais attention, parfois une invraisemblance peut disqualifier un bon livre. voir https://www.monbestseller.com/actualites-litteraire/9062-invraisemblances-un-fleau-pour-les-romans.
Bonsoir @Agostini François-Xavier , Je vous remercie d’avoir pris le temps de lire ma nouvelle. Merci Bisous Merci pour les cinq étoiles filantes. Bonne fin d’année à vous aussi. Que 2021 soit moins chaotique, encore que le chaos peut être favorable à la créativité.
Chère @Jeanne Bageau , c’est vrai que j’aurais pu penser à une felouque pour descendre le Rhône. Bateau pourtant plus proche de nous, et connu des marchands méditerranéens. J’ai choisi la jonque pour son exotisme, et cela collait bien avec Pêche Gracieuse. Mon histoire est loin de celle imaginée dans Mort sur le Nil. Mais que c’est dur de s’affranchir de l’attraction intellectuelle d’Agatha Christie. Cette Lady géniale a bien cadenassé le genre ! Avec de ces intrigues du feu de Dieu ! En personne très moderne, elle a utilisé tous les moyens de transports pour y intégrer ses enquêtes. Je suis certaine qu’elle aurait pu en écrire une, à bord de la station spatiale internationale.
Merci Bisous Merci pour votre commentaire positif et vos étoiles.
PS J’aime bien Dragonnette, moi aussi.
Réponse Annie Pic
Bonsoir @Annie Pic , @Fernand Fallou Je vous remercie pour vos impressions positives et constructives sur ma nouvelle. C’est vrai qu’en ce qui concerne les personnages, je n’ai pas fait dans le minimalisme des années 1970. J’ai dû, moi aussi, recourir plusieurs fois à la liste pour m’y retrouver ! Je vous suis reconnaissante de vous être « accrochés » et in fine d’apprécier mon travail.
Merci Bisous Merci pour les étoiles et toutes ces sortes de choses. Elles seront apposées sur le blason de Dragonnette (d’azur à trois étoiles d’or et deux d’argent ordonnées en orle / étoiles en cercle sur fond bleu). Il dépassera en nombre celui de la Maison des Baux qui n’en arbore qu’une (de gueules à l’étoile à seize rais d’agent /fond rouge avec une étoile argentée à seize branches).
PS @Fernand Falllou Je vois que vous commencez à réfléchir au challenge que je vous ai proposé dans mon commentaire sur votre Joyeux Noël 2020. Bien entendu, il est ouvert à tous ceux qui voudront s’en amuser. Persévérez, et vous connaîtrez peut-être le Vampire Café.
Bonjour @Thomas E. Woodruff, votre commentaire positif a égayé ma soirée. Il m'encourage à poursuivre dans l'écriture et donc à sévir sur le site de MBS. Merci Bisous Merci, également pour vos étoiles.
PS J'ai commencé votre roman policier. C'est incrédisible, mais au début, vous parlez aussi de la paréidolie ! J'ai cru avoir un AVC des yeux en le lisant ;-) Comme disent les Italiens " I casi sono tanti ". Les hasards sont nombreux.
Chère @lamish, Merci pour votre commentaire qui me récompense de deux mois de galère ;-). Le plus difficile fut de respecter le mieux possible la réalité historique. Cela étant dit, j’y ai pris beaucoup de plaisir. J’ai relu mon texte et le rouge de la confusion est monté à mon front. Sur ce coup là, je vous trouve bien indulgente. Pourtant je pensais avoir été vigilante. Non passaran que je m’étais dit en boutant hors du texte fautes et anomalies qui s’insinuaient sournoisement. J’ai remis en ligne une version corrigée, mais comme je ne suis pas, au contraire des Cathares, parfaite sur tous les plans, j’accueille avec gratitude votre proposition de chasser les erreurs qui pourraient encore et toujours entacher mon chef d’œuvre ;). Je vous enverrai le fichier demain. Merci Bisous Merci. Que la soirée vous soit douce.
Depuis plus de deux ans j'avais pris beaucoup de plaisir à picorer dans MBS et à échanger avec les auteurs. A rester commentatrice, je ne...
"La griffe du chat" est le "Livre le +" du 11 décembre. Retrouvez l’article qui vous donnera envie de le lire : https://www.monbestseller.com/actualites-litteraire-conseil/14076-nouvel.... N'oubliez pas de laisser un commentaire à l'auteur, c’est pour cela qu’elle a publié sa nouvelle gratuitement sur monBestSeller.