J’aime vos polas, à chaque fois un univers, à chaque fois vous rentrez dedans, pas par effraction, vous crochetez, on entend à peine le pêne (j’ai pas fait exprès !) et on est dans un monde insoupçonné 2 secondes avant. Vos descriptions, votre sens des détails, votre manière de raconter ces fragments de vie, sont magnifiques à lire ! Merci !

J’ai aimé… le style, alerte, ces dialogues qui n’en sont pas tout à fait, ces monologues parlés et vivants, le ton, le père et le fils (et leur esprit !), comment ils sont ensemble, proches et déjà éloignés, et ce récit de la fin de vie, on ne croit pas que nos anciens, comme on dit hypocritement maintenant, peuvent penser tout ça, avoir cette vivacité, et le regard de Piel sur la vie. J’ai passé un très bon moment avec tous vos personnages, et votre beau roman. Bravo et merci !

Ce sont des témoins vos récits, de la peine, de l’écoute, de la bienveillance. Comme la femme éléphant un peu. Et j’ai été pareillement en empathie. Merci.

Quelle histoire ! Et quel talent pour la raconter. Pour dire le travail de vos mains et de votre esprit. On est témoin de ce huis-clos incroyable, que vous faites vivre avec tant de bienveillance. Inoubliable.

Oui, peut-être ? sans doute un peu ! La question je crois, c’est où place-t-on la barrière du pré d’à côté ? Bonne analyse des gens j’ai trouvé et même si c’est sûrement nécessaire à la véracité de votre récit, du milieu hospitalier, de la vie d’une infirmière, ça manque quand même parfois un peu de souffle. Qui fasse qu’au-delà des faits, de l’avancement du récit, on puisse être aussi en empathie, dans l’émotion. C’est ça peut-être qui m’a manqué un peu. Mais une fois encore, merci pour cette belle histoire.