Vu la longueur du commentaire, je note à part ;-)...

@Josephine Malte Charmante nouvelle, au style épuré, qui rappelle avec justesse que les rencontres imprévues auront toujours plus de charme que celles provoquées et anticipées. En tout cas, tout charmeur, expérimenté (et quelque peu manipulateur), soit-il, il me semble que Raphaël ne mène déjà plus la danse ;-). Je n'en dirai pas plus afin de ne pas spoiler... Merci pour ce partage et bonne soirée. Amicalement, michèle

Bonjour @Zoé Uminska. Je suis ravie de retrouver votre style si puissant qu'il parvient à donner du tonus à une situation pourtant très convenue et maintes fois rebattue. / Vous avez l'art de dépeindre les sentiments exacerbés. Le clair-obscur de la tragédie rivalise avec le rouge sang de la passion à l'ialienne, et tout cela immerge le lecteur avec force... Une autre réussite ! Bravo et bon week-end. Amicalement, michèle / PS : n'écrivez-vous que des nouvelles ?

@Alhéna Skat Quelle contraste saisissant que celui entre les fées Morgane et Ondine ! L'ambiguïté, la versatilité et l'immoralité de la première sont en tous points opposés à la rectitude, la fidélité et la profondeur des sentiments de la deuxième. /// J'ai souri tout en mémorisant l'expression "l'amitié de ses cuisses", découverte dans la première, ainsi que la "fata morgana" pour définir une combinaison de mirages. Vous lire est décidément très instructif, chère amie ! Mais j'ai de loin préféré l'histoire d'Ondine et de sa belle rencontre, tout en étant attristée par la trahison qu'elle subit en dépit de nombreuses mises en garde. /// Merci infiniment pour ces partages aussi fascinants que riches en enseignements, pour qui sait lire entre les lignes. Mes amitiés à Sir Jan ! Je vous embrasse fort, chère Alhéna, en vous espérant tous deux en meilleure forme, Michèle

@- Laurent Moussard - Une déferlante caricaturale tant poussée à l'absurde qu'elle en devient hilarante ! Je ne sais pas quels aléas médicaux t'ont motivé, ni à quel point le scalpel d'une chirurgienne a dérapé, mais ça a dû être sacrément chaud, vu de la teneur de ton règlement de comptes :-). Pour autant, j’aurais trouvé le propos de ta spécialiste plus crédible au masculin, car les grands pontes se prenant pour Dieu, s’ils ont par bonheur pris leur retraite depuis, étaient des hommes, pour la plupart. Là, seul le débit est féminin, si j’ose dire (j’ai eu envie de la baffer et de lui demander de reprendre son souffle tout du long ;-))… Merci pour cette autre prouesse stylistique, bises et bonne soirée ! Michèle