Zoé Florent
Présentation

J'ai décidé de quitter définitivement mBS en tant qu'autrice.
Je souhaite une bonne continuation aux quelques autrices et auteurs que j'ai sincèrement appréciés et remercie encore ceux qui m'ont suivie et gentiment conseillée durant ces dix dernières années. Je reste présente en tant que lectrice pour eux, et eux seulement.

Quelques textes courts en lecture libre, chez Atramenta : https://www.atramenta.net/authors/zoe-florent/127124

Mes romans sur Amazon :
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Zoé Florent a noté ces livres

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@Vanessa Michel "N'oubliez pas que la pudeur sert de bouclier contre les regards impurs. Et quand l'impur n'est plus, que devient la pudeur sinon une souillure de l'esprit ?"... Cette citation de Khalil Gibran m'est venue à l'esprit en te lisant, chère Vanessa, tandis que les larmes embuaient mes yeux. / Parfois les mots manquent pour dire sans grandes pompes ni sensiblerie. Sans hypocrisie s'avère heureusement plus facile, alors je me lance ;-)… Artiste, j'ai longtemps rêvé de l'être, puis ce rêve s'est évaporé en même temps que la venue de ma fille. Lorsque l'on est mère très jeune, il faut vite redescendre sur terre, ce que j'ai fait sans mal et sans regrets, tant je n'ai eu d'yeux et de cœur que pour elle, jusqu'à ce qu'elle décide de quitter le nid de son propre chef, sans un coup d'aile incitateur “à la façon des aigles” ;-)... Tout cela pour te dire qu'à te lire, j'ai imaginé une autre vie, un autre cheminement, et que je crois bien que, tout comme toi, la partie le plus difficile de ce parcours aurait été d'atteindre ce sentiment de légitimité qui se joue des personnes humbles et sincères. / Merci, chère Vanessa. Mille mercis d’être toi, magnifique de spontanéité, de franchise, et de souffler un vent de fraîcheur sur cette communauté qui suffoque... Bises et bonne nuit ! Michèle
Publié le 13 Avril 2025
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Bonsoir, @- Laurent Moussard -, Je me souviens bien de ta première version de ce début de roman, qui, en décrivant plus rapidement ce cher et si fascinant Sir Burnham Thorpe, avait rapidement suscité mon intérêt. Cette description, dans cette nouvelle mouture, est reléguée à la page 26, et j'ai trouvé cela regrettable, car les digressions qui précèdent rendent ce récit moins accrocheur... Enfin, pour bibi. / Il me semble aussi avoir lu une intervention plus longue et plus prometteuse d'une femme différente du coup furtif du ministre, et cela aussi était plus accrocheur, comme une promesse d'amour épique entre deux personnages dotés d'un charme et d'un charisme hors normes... Mais tu as pris une tout autre direction, probablement à la faveur de l'un de ces si fréquents changements d'état d'esprit voulus par les aléas de nos vies ordinaires... / Ceci dit, cette nouvelle version tient ses promesse, tant par ses prouesses plumitives et érudites que par un humour omniprésent, tour à tour pince-sans-rire, satirique, burlesque ou potache... / Merci pour ce nouveau (vraiment nouveau pour moi) partage, bises et bon week-end, Michèle
Publié le 12 Avril 2025
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@Steren Bonjour Natacha. Comme souvent lorsque l’enfance est marquée par le sentiment d’abandon, votre écrit narre la quête d’amour et de reconnaissance d’une personne introvertie et hypersensible, devenue forte et extravertie à force de batailles. Mais si la persévérance force l’admiration, le récit présente pas mal de redondances : mêmes manques, mêmes douleurs… et cela alourdit un peu la lecture. L’épisode professionnel mériterait quelques coupes franches selon moi… D’un autre côté, cela favorise l’effet cathartique, car cette saturation ressentie à la lecture, vous avez dû la ressentir aussi à l’écriture… comme une nécessaire purgation ;-). /// Sinon, le soulagement final surprend en bien, malgré sa contradiction avec le mariage forcé, le père absent... Il y a une longue ellipse aussi entre la naissance de votre fille et la relégation de vos vieux démons, alors que je ne doute pas que le simple fait de sortir d’une forme d’égotisme protecteur a dû être déterminant… Un beau parcours et un courageux témoignage en tout cas… /// Pour ce qui est de la forme, l’écriture est soignée et fluide. Subsistent cependant quelques fautes, dont la fréquente confusion entre le futur et le conditionnel à la première personne du singulier. /// Merci pour ce partage, chère Natacha, et bonne continuation sur le chemin de votre nouvelle vie. Amicalement, Michèle
Publié le 10 Avril 2025
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@Damian Jade Trois coeurs, bien sûr, puisque nul ne pourrait prétendre que c'est mal écrit, malgré des épithètes un peu nombreuses et ronflantes, quelques répétitions et une incohérence notés en première lecture. Mais tu as rectifié tout cela en un temps record et de main de maître. À présent, ton fond est magnifié, et Dieu sait s'il le méritait ;-). Merci, bises et bonne soirée, Michèle
Publié le 08 Avril 2025
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@- Laurent Moussard - Dire que j'ai failli la zapper, celle-ci, simplement parce que j'avais gardé un souvenir mitigé de "La faim des haricots"... Sur ce coup-là, je ne peux que remercier Patatras qui m'a incitée à reconsidérer ce préjugé ;-) /// Car c'est du grand art, c'est un melting-pot ébouriffant et génial, de par son contenu, de par son style et de par sa construction. Ces renvois, que l'on croit être des notes de fin de page et qui deviennent essais malicieux, persiffleurs, ou nouvelles à part entière, sont vraiment, vraiment génialissimes. /// Mention spéciale pour celle sur le woofing, à peine exagérée au vu de ce qui se passe dans une ferme qui se trouve dans la vallée, pas loin de chez moi... Sacrée nana en tout cas, la Sidonie ! Et une autre pour l'interview finale qui boucle la boucle avec humour, émotion et tant de talent... /// Un grand bravo, donc, cher Laurent. Tu es doué, il n'y a pas à dire. En te lisant, je me surprends toujours à imaginer l'agitation organisée de tes neurones et la course effrénée de tes doigts pour les suivre... ;-) ! Bises et bon dimanche, Michèle
Publié le 06 Avril 2025

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