
Deux clones en quête de leur humanité, une humanité qui veut la perdre, des machines qui veulent la retrouver, une nouvelle religion qui veut la dominer.
Plus qu´un roman d´anticipation, D.E.X est avant tout une fiction spéculative et une aventure initiatique. C'est aussi une réflexion, parfois métaphorique, interrogeant l´humanité sur ce présent qui porte en lui les gènes d´un futur dystopique.
Le Cycle de D.E.X est une trilogie constituée de tomes indépendants de 150 à 250 pages chacun.
Ce livre est noté par
@CelinaRocquet
Merci Celina pour ce commentaire chaleureux et étoilé. C'est un vrai plaisir que de pouvoir faire voyager des lecteurs vers un futur improbable (ou pas ?).
Merci @Khadija Noor. Et je te souhaite à toi et à tous les membres de MBS un agréable Réveillon et une très Bonne Année en pleine santé! :)
J'aime beaucoup l'idée de dépendance aux technologies, et ce groupe terroriste qui veut en finir. Palpitant.
Et cette scène sur la place du World Trade Center 40 ans après le 11 septembre... Tristesse.
Le début est très intéressant !
Petit bémol : il me semble qu'on met un H majuscule à l'homme pour évoquer l'humanité, et D majuscule à Dieu quand vous dites que la copine de Dex priait dieu quand il était piétiné.
@Ernesto Férié Allons Bruno, aucune naine de ma part, juste une pointe d´ironie, vous commencez un peu à me connaitre, non?
Vous êtes (très) critique, reconnaissez le, ce que j´apprécie, et mettez la barre très haute (pas seulement pour moi d´ailleurs). Je m´attendais donc de votre part à une lecture plus attentive et rigoureuse que le commun des lecteurs, au moins pour les parties que vous remettez en question. Le chapitre Journal de Dex, écrit par un jeune homme intelligent de 18 ans, ne me semble pas présenter de difficulté de compréhension. Le fait que vous ne l´ayez pas compris du premier coup, est la raison même qui m´a fait écrire ce livre au départ. Car vous n´êtes pas le seul dans ce cas. Le libre arbitre est un mantra inscrit depuis plus de 1000 ans dans nos gènes judéo-chrétiens. J´ai donc conçu cette expérience de pensée pour tester sa validité. Et si sa réalisation technique reste encore hors de portée, je trouve intellectuellement intéressant de se poser la question de ce qui pourrait créer une différentiation, même minime, à l´instant t+1. J´y reviens dans la suite du roman, où j´y attache de gros enjeux commerciaux (chapitre suivant).
@Ernesto Férié, attention, il y a un point que vous semblez ne pas avoir compris (vous lisez en diagonale?), pourtant je crois l´avoir assez clairement expliqué dans le roman. Dex (et son double) ont vécu totalement isolés du reste du monde physique. Les parties d´échec et autres interactions ne se font que par SASP et écran interposé. Le Professeur ne s´est jamais rendu physiquement dans leur "cellule". Il peut donc être en deux endroits à la fois, mais virtuellement, pas physiquement. Et tant que les deux clones ne se différentient pas, il n´a besoin de jouer qu´une seule et même partie d´échec simultanée avec eux. Pas besoin d´apprendre la partie par cœur.
Maintenant, imaginez la scène, tous deux se dirigent vers la porte, face à face, après 18 ans (temps T) à avoir mangé, respiré, parlé, pensé les même choses, chacun de son coté de la porte fermée. Vous imaginez qu´au temps T+1 seconde, l´un dira "salut" et l´autre "bonjour"? Qu´après tout ce temps indifférencié, l´un tendra la main droite et l´autre la gauche??? Non. Ils diront le même mot au même moment, feront le même geste au même moment. Ca facilite pas la communication. Votre refus de pouvoir seulement imaginer que ce soit possible (dans un environnement parfait, je vous le concède) montre l´ancrage profond du concept de libre arbitre dans le monde occidental depuis St Augustin et ses implications socio-theologico-culturelles (laissons de coté le hasard quantique).
Pour le découpage en 3 ou 4 tomes, c´est une idée que j´explore déjà en effet (Dex, Dexter, Clone Prophète et Apocalypse). Au départ je n´avais présenté que le Tome 1, Dex, sur ce site. Je souhaitais expérimenter la version pavé qui seule permet de bien rendre l´intrication de certains chapitres.
Merci, @Ernesto Férié, pour ce retour franc et utile. Le premier chapitre est critique pour un roman. J´ai aussi beaucoup apprécié Ravage qui a marqué ma jeunesse. Merci de mettre la barre aussi haut. Pourtant même Barjavel à eu besoin d´un petit coup de pouce pour en faire un bestseller. C´est pour cela que je publie mon roman sur ce site et n´y cherche pas une critique de complaisance, bien au contraire.
"Robert Denoël était devenu un ami. C'est lui qui a fait de moi un écrivain. En 1939, je lui avais apporté le manuscrit du roman qui devait s'appeler Ravage et auquel j'avais voulu donner comme titre : Colère de Dieu. (...)
Il n'a pas aimé le titre, Colère de Dieu. Il a quand même lu le manuscrit dans la nuit et, le lendemain, il a consacré sa matinée à me montrer quels étaient mes défauts et mes qualités. Il a remplacé le titre par celui de Ravage. J'étais jusque là un journaliste, il a fait de moi un écrivain. En cette matinée, il m'a appris mon métier."
Merci @Nicola Niclass,
Je pense en effet en faire une trilogie, j´hésite encore sur le découpage du roman (rythme, intrigue...).
Bonjour Eric,
Vous abordez des thèmes de la société contemporaine avec une certaine efficacité. Les dialogues interpellent le lecteur.
Cependant, vous pouvez par exemple "jouer" avec les polices d'écriture pour différencier les personnages lors des dialogues. Ceci permet également de renforcer le "tempo" de votre manuscrit.
Votre livre peut également être conçu comme une saga ou une trilogie.
Nicola Niclass
Bonjour Eric,
Vous abordez des thèmes de la société contemporaine avec une certaine efficacité. Les dialogues interpellent le lecteur.
Cependant, vous pouvez par exemple "jouer" avec les polices d'écriture pour différencier les personnages lors des dialogues. Ceci permet également de renforcer le "tempo" de votre manuscrit.
Votre livre peut également être conçu comme une saga ou une trilogie.
Nicola Niclass
Merci @Nicola Niclass,
J'espère pouvoir lire bientôt votre commentaire sur mon roman. J'apprécie autant les encouragements que les remarques et critiques constructives me permettant d'améliorer encore mon roman.
@lephilosophe, merci pour votre commentaire encourageant et plein d'étoiles.
Bonjour Eric,
Je vous remercie pour vos remarques constructives et pertinentes. L'art des écrivains est souvent influencé par le contexte et les émotions du moment.
La philosophie questionne et permet de percevoir le monde sous diverses formes.
Nicola Niclass
Merci @Cécé L.T.A, j´attends votre retour avec impatience. Bonne lecture. :)
Merci @Yvar BREGEANT pour ce commentaire qui me va droit au cœur. La comparaison avec des géants comme Asimov et F. Herbert (après celle de Dan Brown par @Philippe RIBAGNAC) ne va pas faire de bien à mon ego :-D, mais merci, ces auteurs me sont chers (surtout F. Herbert).
C´est un vrai plaisir de voir que vous avez réussi à rentrer pleinement dans le roman. Ainsi votre commentaire me confirme dans mon choix de le publier sur cette plateforme en un seul roman (plutôt que 4 tomes séparés), tant les éléments de l´histoire sont intriqués et se recoupent pour progresser par des chemin détournés vers le dénouement final.
En ce qui concerne la tristesse, notre propre finitude n´est effectivement rien face à la perte d´un être cher. Vous comprendrez encore mieux cet aspect du roman si je vous dis que pour Joanna et Keira, il est entièrement autobiographique.
Pour la profondeur des dialogues de certains personnages, je vous rejoins entièrement mais je peux aussi comprendre Philippe. Il faut toutefois garder en tête que Dex est un individu bien particulier et qu´il fait la paire avec Ethan (sans parler des avancées technologiques qui assistent certains personnages).
Sans vouloir faire de mon roman un essai didactique, je souhaite toutefois qu´il puisse apporter aux lecteurs curieux, sinon des connaissances, du moins l´envie d´en apprendre plus et peut-être, comme avec vous, de partager autour de certains thèmes qui se révèlent primordiaux avec les progrès du transhumanisme. Le point de départ, la question du libre-arbitre, m´a mené (comme le personnage de Dex) vers une quête quasi-initiatique qui transpire tout au long du roman et qui, je l´espère, lui donne une certaine profondeur. Je ne prétends pas, comme vous, pouvoir donner de réponse absolue, partant du principe que si Dieu existe, nous serions bien incapables d´appréhender sa nature. C´est surtout le besoin si humain de croire, de transcender son existence et l´utilisation qui est faite de la foi par les religions ainsi que leur évolution naturelle vers une doctrine rigide que j´utilise dans la trame de mon roman.
Et oui, j´ai bien peur de ne jamais être édité pour toutes les bonnes mauvaises raisons que vous citez et dont je suis tristement conscient. Et non, rassurez-vous, je ne me renierai pas car je crois que le véritable intérêt de ce roman est dans sa complexité. Il y a bien assez d´auteurs talentueux pour écrire des romans d´évasion légers. Alors savoir que ne serait-ce qu´une seule personne puisse retirer quelque chose de cette lecture sera déjà une belle consolation. Il y a pourtant parfois des miracles, comme avec Dune de F. Herbert. Époque différente, lecteurs différents, ceux d´aujourd´hui sont-ils vraiment moins exigeants ? Je crois (j´espère) que la roue tournera et que les gens, certains du moins, se fatiguent de la facilité et du prémâché insipide que certains veulent absolument leur servir.
PS: Je ne ferai pas de comparaison avec 2048 ni de commentaire sur la tricherie évidente de certains auteurs sur ce site, Dominique est du genre susceptible. Je n´aime pas non plus les artifices que notre vénéré démiurge, ô @Monbestseller, utilise pour monétiser sa plateforme, obligeant les auteurs à monnayer leur visibilité alors que c´est nous qui fournissons (gratuitement) le contenu de ce site (il me semblerait préférable de monnayer le lien vers Amazon pour les auteurs publiés ou en AE. Le site pourrait aussi offrir la possibilité de faire un don aux auteurs et prendre sa part au passage).
Merci @Hubert pour ce commentaire franc et encourageant.
Pour ma part, j'ai eu beaucoup de mal à jongler entre des débats philosophiques et l'intrigue entre les personnages. Beaucoup d'explications dans des dialogues qui brisent le rythme de l'histoire.
Pourtant, tu as une écriture très travaillée, des personnages intéressants, des idées originales et parfois percutantes, mais je n'ai pas réussi à accrocher complètement.
Maintenant je ne suis qu'un lecteur lambda, qui doit certainement manquer de hauteur pour bien percevoir la richesse de ton roman.
En tout cas, j'envie ton aisance d'écriture, la mienne à côté me semble bien laborieuse
Merci Tobias, Élodie, Francesca, Nadine, William, Annie pour cette pluie d´étoiles et ces commentaires qui me touchent.
@Annie Pic, pour répondre à votre dernière question, je dirais que oui, c´est à la fois un roman et un essai critique avec une visée philosophique . Albert Camus disait : "Si tu veux être philosophe, écris des romans". Il a oublié de dire que pour cela, il faut avoir un double talent. Car c´est en effet doublement compliqué d´inclure une réflexion profonde et nuancée dans une aventure romancée (c.à.d. rythmée, avec des personnages attachants et tous les ingrédients qui font un bon roman). Vous, qui avez écrit "Aux frontières de l'âme", vous le savez bien. :) Je vous le concède, ce premier tome mériterait encore quelques allègements. Plus on avance dans les tomes suivants, plus l´aventure et l´action prennent le dessus.
Merci @Philippe RIBAGNAC pour vos compliments, corrections et commentaires détaillés. La référence flatteuse à Dan Brown me laisse sans voix.
Comme-vous, je m´efforce de sentir le courant de l´Histoire pour comprendre ou nous mène cette folie cruelle. Vous semblez si convaincu de la justesse de vos conclusions que vous en viendriez presque à oublier que ce ne sont pour autant que des spéculations. Les philosophies orientales, mal connues et mal comprises, partiellement transmises (Grecs, Chrétiens...) et souvent dévoyées et travesties, sont basées sur une sagesse originelle riche et complexe qui m´interpelle car difficilement explicable de leur temps.
En ce qui concerne les dialogues, s´ils peuvent surprendre, il faut garder à l´esprit que Dex n´est pas un simple humain avec une éducation classique tandis qu´Ethan est un étudiant passionné et brillant. Aussi, ces discussions se passent un demi siècle dans le futur. Certains, comme Minas et Ethan, utilisent des technologies augmentées permettant d´accéder instantanément aux informations. De plus, l´idée que l´intelligence et le niveau des débats soit liés à la richesse ou l´appartenance à une élite me semble datée. Je trouverais même que ce serait de plus en plus l´inverse. Le niveau de culture et l´intérêt pour les questions sociales, philosophiques et existentielles des classes dirigeantes et favorisées s´appauvrissant terriblement, car justement, pour réussir, ils évitent toute spéculation vaine pour se focaliser sur les aspects matériels.
Pour ce qui est de l´ordinateur (quantique ou autre) du futur, la question du libre arbitre se posera dans l´un des tomes suivants du Cycle de D.E.X.
Pour ce qui est de la créativité, je vous renvois aux réflexions de Lilith dans le chapitre "Le Désir", vous verrez que nos points de vue sont plus proches que vous ne le pensez, mais j´aime souvent jouer à l´avocat du diable.
D.E.X n´est que le premier tome d´un cycle de 4 romans ou certains aspects seront approfondis et d´autres voies ouvertes, en particulier sur les thèmes de la religion et de la singularité, qui vous surprendront, je pense. Le dernier chapitre de D.E.X n´est qu´un nouveau début pour la suite du roman.
Afin de nuancer et de justifier les réponses aux questions que pose mon livre, j´y explore tous les aspects que je trouve intéressants au travers de personnages très différents et sans prendre parti. Parfois ces interprétations sont contradictoires, se recoupent ou se complètent dans les diverses explications que l´Homme a cru trouver dans notre origine et le sens de l´existence.
@Eric Brambilla
Comme promis, j'ai lu attentivement votre ouvrage, qui sur des thèmes recoupant souvent ceux que j'aborde dans "L'homme qui ne voulut pas mourir idiot", m'a beaucoup intéressé, et même impressionné par l'authenticité de votre double culture scientifique et philosophique.
L'écriture est vive, riche et élégante, me faisant penser au meilleur de Dan Brown : vous avez clairement du savoir faire , bravo ! J'ai notamment trouvé la rédaction des pages 99 à 104 particulièrement claire, de même que celle de la conclusion (J'aime beaucoup la définition de la "véritable" intelligence : " en savoir juste assez pour agir à bon escient"!). Et j'adhère à 100% à la phrase de clôture : "la dignité de chaque être humain est liée au fait qu'il n'est semblable à aucun autre" : c'est aussi la conclusion et le motif d'espoir de mon livre. Et "Hacktiviste" ( p. 127) est une magnifique trouvaille.
Pour la perfection de votre texte et par pure empathie, je vous signale simplement quelques coquilles pages 25 (ce belle journée), 38 ( je t'avais remarqué au lieu de remarquée), 44 (ii à la fin de réification), 71 (ii après hallucination), 148 (protester leur extinction : manque le "de"), 158 (nous ont encore roulé -sans le s - dans la farine), 176 (une responsa rabbinique: manque "ble"), 211 (haletais au lieu de haletait), 235 (pris au lieu de prit), 266 ("fit le ? Aaron). Et le passage sur les OGM page 154 ne me parait pas clair.
Malgré les qualités indiscutables de votre style, j'ai eu un peu de mal à vibrer au plan affectif, car les dialogues entre les révoltés de la société élitiste et oppressante que vous décrivez m'ont paru parfois artificiels: le décalage est trop grand, à mon goût, entre la soi-disant simplicité de ces braves gens et le niveau culturel exceptionnellement élevé de leurs débats.
Sur le fond, je constate que nous divergeons pas mal dans nos visions respectives :
Pour moi, le hasard quantique ne laisse aucune place à un quelconque libre-arbitre : tout ça reste mécanique (d'ou précisément l'autre nom de "mécanique quantique" donné à la physique des particules). Un ordi quantique n'a aucun libre-arbitre ! Il ne fait que réagir aux propriétés de superposition et d'intrication inhérentes à la matière élémentaire elle-même. Le cerveau humain, qui fonctionne de façon similaire, n'a donc aucune raison d'y prétendre non plus.
Quant à l'hypothèse d' un Dieu à la Theilhard de Chardin, je n'en vois pas l'intérêt car l'idée d'aller vers un Dieu transcendant ne nourrit en rien le débat : En revanche si ce "Dieu" (= mon paradis électronique) n'est bien que le strict résultat de l'immanence, l'ultime "saut" quantique, alors nous pouvons déjà préparer concrètement nos esprits à ce futur : c'est tout le message de mon livre.
Idem pour les mondes parallèles d' Everett : peu importe l'existence de virtualités infinies, seule compte notre - unique- réalité à nous puisqu'elle suffit à faire entrevoir une éternité électronique de la pensée !
En effet, notre univers est largement suffisant pour combler nos âmes car "Dieu" n'est rien d'autre en fait que le virus de la création dont l'homme est parfaitement muni pour composer et "créer"à l'infini (aux plans artistique, technique, entreprenarial...). Certes, cette faculté de créer qui est le seul intérêt réel de nos vies ne repose pas sur un libre-arbitre, mais peu importe ici encore, du moment que le hasard quantique nous en donne l'illusion ( "Qu' 'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse !). J'ai écrit sur ce thème un autre livre publié sur MBS : "L'argent d'autrui".
Mon paradis électronique permettant d'envisager une perpétuation -virtuelle- de cette passion de créer qui est le summum de l'esprit humain, pourquoi diable aller perdre son temps à imaginer d'autres univers sur lesquels, par hypothèse, nous sommes de toute façon condamnés à l'ignorance et à l'impuissance ? J'appelle cela de la spéculation vaine (PARDON pour mon côté péremptoire ou apparemment prétentieux : mon seul mobile c'est d'aller à l'essentiel, j'ai trop perdu de temps dans ma vie en fausses spéculations).
Vous comprendrez du même coup mon désintérêt pour les philosophies orientales : si l'acte de création ( plus exactement de recomposition de choses qui existent bien sûr à la base en dehors de notre cerveau) est le seul véritable intérêt de la vie humaine, il faut aimer tout ce qui va avec : enthousiasme, passion, angoisse, fierté, volonté de puissance, agressivité... Toutes choses diamétralement opposées à l'idéal d' équanimité.
Mais encore une fois, votre livre m'a passionné et je vous remercie sincèrement pour l'intérêt des réflexions qu'il suscite.
Amicalement
Philippe
@S.O et @JeanM Un grand merci pour vos commentaires.
La version finale du premier tome est enfin disponible.
Merci pour vos commentaires @Renaud R.
Souhaiteriez vous lire le Tome 1 fini en entier (et partiellement modifié depuis que j´ai publié cet extrait, avec une attention particulière sur les verbes faibles)? Je vais le poster sur ce site (et retirerai cet extrait). D.E.X n´est que le début d´une grande aventure et trois autres tomes suivront celui-ci. J´attends vos commentaires sur la version finale avec grand intérêt.
La fin vous surprendra.
Merci pour vos commentaires @ROTH Didier.
Souhaiteriez vous lire le Tome 1 fini en entier (et partiellement modifié depuis que j´ai publié cet extrait, avec une attention particulière sur les verbes faibles)? Je vais le poster sur ce site (et retirerai cet extrait). D.E.X n´est que le début d´une grande aventure et trois autres tomes suivront celui-ci. J´attends vos commentaires sur la version finale avec grand intérêt.
La fin vous surprendra.
Merci pour vos commentaires @FaustineFaust, je souhaitais avoir un retour sur ce premier jet.
Souhaiteriez vous lire le Tome 1 fini en entier (et partiellement modifié depuis que j´ai publié cet extrait)? Je vais le poster sur ce site (et retirerai cet extrait). Vous changerez peut-être d´avis sur l´originalité des thèmes et la manière dont je les traite. D.E.X n´est que le début d´une grande aventure et trois autres tomes suivront celui-ci. J´attends vos commentaires sur la version finale avec grand intérêt.
Je partage l’avis de Didier Roth. Il y a un ton, des personnages bien castés, vous savez manier les dialogues, vous avez des convictions, il n’y que le sujet pas vraiment original qui manque donc de sel à mon goût. N’y a t-il pas de manière quand on aime cette fiction de se distinguer de ce qui a été déjà écrit ? (j’adore dire belle et rebelle, mais le voir écrit, c’est un peu grosse ficelle :)lol). Avez vous un autre livre à votre arc, j'aimerais bien vous lire sur un thème ?