
Professeur à la Réunion, à bientôt 24 ans Claire n'a connu qu'une expérience sexuelle décevante. Influencée par le parcours initiatique des héroïnes de ses lectures, elle se met en recherche d'un amant expérimenté et conciliant qui pourrait l'initier aux plaisirs charnels auxquels toute femme aspire. Elle tente sa chance en téléphonant à des hommes mûrs sélectionnés sur l'annuaire.
Eric accepte de rentrer dans son jeu, mais exige de rester une voix au téléphone.
Cet homme qui a su si bien la comprendre, qui l'a aidée à s'accomplir, à réaliser ses désirs, Claire l'aimera sans le connaître et n'aura de cesse de le séduire. Quand ils se rencontreront enfin, ce sera le début d'une belle histoire d'amour.
Version désormais intégrale pour les lecteurs de monBestSeller.
Ce livre est noté par
Merci @Didier Leuenberger, pour cet échange d'opinions sur la littérature érotique et pour vos explications sensées, émanant d'un spécialiste que j'apprécie.
Je ne m'étais jamais confronté à un lectorat avant ma première publication en mai 2015. J'avais même eu la crainte de le regretter. Je m'étais lancé sous pseudo, surpris de l'audience rapide dès le premier mois. Je n'ai changé le nom que lorsque j'ai rejoint le réseau Facebook, mon inexpérience des réseaux sociaux m'ayant enclin à respecter les "contraintes" d'identité réelle.
Je reste pourtant convaincu que si je m'étais publié sous un pseudo féminin, mes deux textes auraient eu un meilleur accueil. C'est en tous cas ma perception. Et cependant, quelle raison majeure aurais-je de me plaindre ? Dans le Top 100 après trois ans de publication alors que mécaniquement mes deux ouvrages devraient se situer dans les limbes du classement, où plus aucun lecteur ne va hormis par hasard, honoré parfois d'un commentaire élogieux émanant d'un auteur... il y a pire.
J'ai beaucoup apprécié ce partage, Didier. Très cordialement. Michel
©Michel CANAL
Je confirme vos appréhensions, l'exercice ne devait pas être facile ni simple. Un risque maitrisé cependant, au vu du résultat et de la qualité de votre texte. Superposer des versions n'est jamais facile dans un roman, tout comme retravailler un texte ou y ajouter d'autres passages, éléments ou intrigues. Mais le tout était ici je pense, l'importance d'écrire et de garder une ligne pour ne pas tomber dans la vulgarité. Vous comme moi savons combien les débats et les reproches ont pu être virulents de la part de certains/nes, quant à l’élégance d'un texte érotique plutôt que de décrire des scènes torrides. Cela avait même donné un débat malheureux au final, en partie dû à l'agressivité de certaines personnes n’acceptant pas qu'un texte du genre puisse suggérer plus qu'expliciter en long et en large. Ce sont effectivement deux conceptions fort différentes qui se percutent, et qui trouvent chacune je pense, leur lectorat. Mais pour L'éveil de Claire, c'est mission réussit pour ce qui est que de suggérer et d'inviter à imaginer plus qu'à subir. Chacun peut y aller de sa sensibilité, ses envies et ses fantasmes. Pour ma part, mais ceci reste bien sûr personnel, c'est toutes les qualités requises pour un texte érotique. Je dirais même, que c'est là la plus grande difficulté d'écriture pour un auteur à créer ce genre d’histoire. Après nous tombons dans la pornographie et je ne suis pas contre, mais encore faut-il pour cela ne pas dénigrer l'autre part de la bagatelle.
Comme je vous comprends pour la catégorie à choisir sur ce site. Moi-même, je suis souvent confronté à un gros dilemme justement à cause de ce que je viens de relever. Doit-il faire partie du rose ou de la catégorie roman même s'il est en partie, teinté de rose ?
Quand au regret que vous soulevez et fort justifié. Je ne peux que vous rejoindre, et je ne sais pas vous, mais pour ma part, j'ai l'impression que les lecteurs potentiels sur mBS mettent beaucoup moins de commentaires qu'au début. La peur sans doute pour certains de se faire ramasser par d'autres, de s'exprimer tout simplement, même masqués car combien se cachent derrière des pseudos pour lancer leur fiel sur quelques auteurs. Malheureusement, nous sommes dans du virtuel Michel, et cela, où que l'on soit et quelque soit la discipline qu'un site peut proposer, ça reste du virtuel, avec tous ses travers, son nombre incalculable de personnes venant y flâner sans réagir ou lever le plus petit doigt et même s'ils ont eu du plaisir. Avec aussi et malheureusement, son quottât de gens plus appliqués à détruire d'une phrase de deux mots plutôt qu’exprimer et développer une vraie analyse. Mais pour cela, il faut avoir un grand cœur, un bel esprit d'ouverture et un ego un tout petit moins volumineux que certains s'accordent à croire. Alors je vous suis pleinement sur la quantité de livres mis dans la bibliothèque et votre roman en est un bel exemple et récoltant si peu de réactions pour le nombre de lectures au compteur. Comme sur FB ou tout autre réseau social, malheureusement, la plupart des gens viennent en curieux, se rassasient ou non d'un talent ou du moins, d'un bel effort de la part d'un artiste, et repartent comme ils sont venus. Sans bruit, dans la pénombre et le minimalisme que savent si bien allouer les réseaux sociaux. mBS ne déroge pas à la règle je le crains, aussi faut-il prendre comme une aubaine ceux qui veulent bien nous accorder un peu de crédit et de leur temps. Mais le temps n'est souvent pas le responsable de cette ignorance et je m'arrêterai ici ou je vais faire peur, il y a aussi cette énorme carence de communication qu'ont renforcé les réseaux sociaux et le peu d'échanges que cela génère de plus en plus.
Merci infiniment @Didier Leuenberger, pour ce commentaire comme j’aimerais en recevoir souvent. Emanant d’un spécialiste du genre, inutile de préciser qu’il ne peut que me ravir.
Et cependant, combien je me sens en décalage de qualité avec le Journal intime de Claire ! L’exercice était difficile : superposer ma version à celle de Claire pour la compléter, exprimer le désir, la séduction et le plaisir sans pouvoir construire le tout selon une trame de roman... en évitant la vulgarité. Je dois avouer que je ne savais, outre le genre qui s’imposait, dans quelle catégorie classer mon récit ; j’ai choisi "roman". Peut-être aurais-je dû préférer "romance" puisque c’en fut une. Effectivement, un mot rarement présent dans le texte : "Amour" (avec A majuscule) l’accompagne sous d’autres formes, en constitue la clé de voûte. Je voulais principalement que ce soit bien écrit et accessible au plus grand nombre et sur ce point je pense avoir assez bien réussi puisque je n’ai pas de critiques (au sens propre du terme) reprochant mièvreries, vulgarité, ou pire : pornographie.
Si je devais formuler un regret, que je partage avec d’autres nombreux auteurs quel que soit le genre d'écrit, ce serait celui d’être beaucoup lu, comme en témoigne l’audience, et de ne connaître que trop rarement l’opinion, le ressenti des lecteurs. Ceci interpelle : pourquoi, fût-ce sous pseudo (comme c’est d’ailleurs souvent le cas de ceux qui le rentrent dans leur bibliothèque), n’osent-ils pas s’exprimer par un commentaire ?
Cher Didier, écrivain confirmé et talentueux, merci pour ce regard élogieux porté à l’auteur occasionnel que je suis. A vous je peux souhaiter, pour l’année qui commence seulement, beaucoup d’autres écrits en lecture sur monBestSeller. Très cordialement. Michel.
A vous toutes et tous qui partagez avec moi le plaisir de l’amitié, je vous présente mes meilleurs voeux pour l’année 2019 au moment même où 2018 vient de s’effacer, laissant place à tous les espoirs d’une vie meilleure, plus juste et plus fraternelle.
Très cordialement. MC
Merci @Kroussar pour votre avis d'auteur, quand on avoue ne pas être attiré par la littérature érotique. Sans doute n'aurait-il pas fallu vous faire violence pour poursuivre la lecture, ce qui a rendu difficile la compréhension des sentiments exprimés dans cette histoire, dont le point d'orgue est la rencontre — enfin ! —, suivie d'une "lune de miel" à l'île Maurice. Il est normal que d'un individu à l'autre, on puisse avoir des ressentis différents. Désolé pour vous être imposé une lecture qui ne correspond pas à votre personnalité. Avec toute ma sympathie.
Ami(e)s lecteurs(trices), après presque trois ans de présence sur monBestSeller, je vous mets désormais la version intégrale en lecture. Claire aurait apprécié d'être ainsi lue par un plus grand nombre.
Bonne lecture ! Je vous rappelle qu'un mot de vous me ferait extrêmement plaisir.
Chère @Jocelyne B., votre commentaire/notation, n'en doutez pas, me ravit. Si je ne boude pas l'avis des hommes, celui d'une lectrice est pour moi très important, le roman/romance et le Journal intime de Claire leur étant destinés en priorité. Votre avis revêt cependant une autre dimension car en plus d'être lectrice vous êtes auteure, une auteure que j'avais appréciée pour sa romance "Le pari silencieux". Je comprends donc que vous soyez attachée à la maîtrise de la langue française, à l'orthographe et au style, particulièrement quand l'écrit a une forte connotation érotique. Sans doute le savez-vous, contrairement à une idée reçue, le genre "érotique" est le plus difficile à écrire sans tomber dans les clichés ou la vulgarité. Ce genre n'était pas un choix délibéré, mais les faits évoqués en étant fortement teintés, il m'était difficile de ne pas en informer les lecteurs. Il m'a été parfois suggéré "psychologique, romance, sentimental...", c'est tout cela aussi, et une magnifique histoire d'amour s'il en fut, ce qui ne vous a pas échappé. Merci infiniment, Jocelyne, je suis un auteur comblé, ce que l'audience (toujours dans le top 100 malgré l'ancienneté sur mBS) tendrait à confirmer. Avec toute ma sympathie.
Chère @Armonia Zyra, merci infiniment pour ton commentaire pertinent. Nous nous connaissons suffisamment pour que je comprenne ce que tu as ressenti à la lecture de l'émancipation d'une jeune femme trop sage. J'apprécie tout particulièrement que tu aies mentionné la qualité de l'écriture et la délicatesse des échanges. Bien que descriptifs de la progression de la découverte de son corps par Claire, de la carte des plaisirs, de désirs exprimés et exaucés dans une relation atypique, le niveau culturel des protagonistes excluait d'emblée la vulgarité. Il faudra d'ailleurs une grande mise en confiance et un certain courage à Claire pour qu'elle consente à prononcer les mots d'usage relatifs au sexe. Tout était gageure dans cette histoire : son déroulement d'abord, avec une évolution inattendue vers une relation lesbienne, sa narration ensuite. Tu l'as compris, l'histoire se déroule en 1987 (enfin dans les années 1980 puisque par souci de discrétion, dates et noms des personnages ont été changés). Aujourd'hui ce serait différent avec Internet, FaceTime... mais ça n'aurait pas le charme du mystère et de la séduction d'un amant que l'on ne peut qu'imaginer, jusqu'à la surprise finale point d'orgue de cette belle histoire d'amour. Jeune femme complexée au début de l'histoire, cherchant à occulter sa féminité pour être invisible au regard des hommes, elle devient progressivement une femme séduisante, sensuelle, amoureuse passionnée pour l'homme qu'elle aime et qu'elle veut conquérir. Tu as parfaitement analysé ce qui fait de cette romance un hymne à la femme. Merci aussi pour les étoiles. Amitiés. Michel
@Boris Philips, de connaisseur à connaisseur, un grand merci pour l'appréciation qui me convient (je n'apprécie pas la vulgarité ni la mauvaise écriture pornographique), et pour les étoiles qui me confortent dans mon initiative d'avoir rendu cette histoire publique. De l'érotisme oui, mais de la littérature, des sentiments et de l'amour. Mon cher Philippe, l'enfer étant pavé de bonnes intentions, ces deux livres existent en format papier... ils peuvent donc rejoindre le rayonnage supérieur de votre bibliothèque rose. Avec toute ma sympathie. Au plaisir de se lire et de se rencontrer. Michel
@Michel CANAL.
Je n'en suis qu'aux premières pages - vilain menteur - et je me dis : "enfin!".
Je veux dire : "enfin un ouvrage érotique écrit par un homme sur le sujet d'une initiation féminine au plaisir qui ne tombe pas dans la basse pornographie des fantasmes mâles les plus mesquins"...
Phrase longue à rédiger ; étrange à lire ; jouissive à comprendre !
Alors, Michel, je vais me régaler à vos lignes ; en goûter tout le suc... Je vais le faire à mon rythme, tout en lenteur et en compréhension d'un nirvana littéraire.
J'ai un seul regret : la diffusion "en ligne" ne permet plus de se constituer un "Enfer" dans nos rayonnages... Vous pouvez imaginer que les étagères du haut de ma bibliothèque personnelle sont déjà bien garnis...
Amicalement.
Philippe.
@BOSSY, @Michel CANAL
Merci BOSSY pour vos mots. Il est vrai que dire davantage dans un commentaire peut aider l'auteur...s'il est réellement en demande. Comment savoir si la peine causée par une remarque que l'on songe constructive mais qui supposerait que l'écrit n'est pas parfait n'est pas hors de propos avec la démarche de l'auteur? Pourquoi écrit - il? Pour Michel, vous l'avez bien souligné, il ne s'agissait pas de remarques sur l'écrit mais le pourquoi de l'écrit : je trouvais salvateur dans ce monde de fous qu'un homme témoigne simplement de ses sentiments pour une femme, qu'on ré-apprenne à élever nos enfants avec cette simple idée : tu sais, un jour tu rencontreras un homme qui t'aime. A entendre les petites camarades de ma fille, j'ai quelques doutes à ce sujet, et cela me peine souvent : si jeunes, et si désabusées. Que détruit - on en elles, avec notre acidité et notre amertume? Est - ce les protéger? Voilà, Michel, ce que tes livres m'ont inspiré: quel héritage laisse- t'on.
@BOSSY
Merci infiniment, cher Gérard pour ce commentaire construit, structuré et pertinent comme je les aime. Après @VAY Céline qui m'a honoré d'une analyse digne d'un excellent "psy" pour sonder les profondeurs de mon âme pendant deux mois, entretiens/débat sans complaisance qui se sont poursuivis en aparté par pudeur pour l'intime sur nos messageries, voilà que tu m'honores d'un formidable "commentaire des commentaires" excellemment analysé (ici les adverbes se justifient car tu es à mes yeux l'un des experts incontestés auteur/commentateur de la communauté des auteurs mBS).
Quelques passages qui me font plaisir résument ton analyse : "... nous assistons, ici, à un bel exemple trop rare d'échanges de commentaires entre la lectrice et l'auteur (...) ; Finalement, en deux ans (là, Gérard, tu exagères, il s'agit de deux mois, ce qui est déjà beaucoup), c'est un véritable roman dans le roman qui s'écrit (...) Et cela double la richesse d'un texte qui, autrement, n'aurait pas tout dit."
Une précision toutefois, Gérard, pour le cas où tu n'en aurais pas été informé : Céline a non seulement analysé les textes de mes deux ouvrages, elle s'est appuyée sur eux pour écrire une chronique sur le thème (qui lui est cher) de la parité et de l'émancipation de la femme, me mettant encore plus à nu par une interview à laquelle je me suis prêté "sans filet ni échappatoire". Je me permets de te donner le lien de cette chronique très intéressante : vibrationschroniquedelivreswordpresscom.wordpress.com
Ravi, mon cher Gérard, que ton oeil avisé et ton esprit critique nous aient honoré, Céline et moi, de ce commentaire profond, un bel exemple pour les auteurs et lecteurs de mBS. Tu as raison, s'il devait y avoir un concours de commentaires/débat entre un auteur et un lecteur, nous serions placés Céline et moi en pôle position pour le remporter haut la main. Amitiés. Michel
@Michel CANAL@VAY Céline. On se plaint souvent, sur mBS, que les commentaires d'un livre soient trop succincts ou trop superficiels. Qu'ils se résument presque toujours en " Ah, que c'st beau !" "Oh, que c'est bien écrit !", ou bien: " j'ai aimé !"...Il est vrai que ceux qui n'aiment pas ne vont pas, en plus, s'infliger la rédaction d'un commentaire qui se résumera en " Je n'aime pas", "Oh, que c'est mal écrit !".
On ne trouve donc, généralement, que des commentaires élogieux ornés de 5 étoiles admiratives qui, de fait, n'apportent aucune justification, aucun détail, ni jugement d'ensensemble démontré. Tres peu nombreux sont ceux qui risquent un 4 étoiles infâmant démontrant qu'ils n'ont rien compris et sont de méchante humeur au moment de la notation. Donc, presque toujours, un système d'appréciations aux conclusions frustrantes pour l'auteur, qui a l'impression qu'on a mal lu, ou pas lu complètement son livre.
Or, nous assistons, ici, à un bel exemple trop rare d'échanges de commentaires entre la lectrice et l'auteur qui vont bien au-delà de remarques impersonnelles sur une lecture approximative. On constate qu'un dialogue se noue, pendant deux ans !, sur les différents aspects du texte décortiqué de cent manières afin d'en extraire tout le jus. La lectrice n'a pas peur de présenter son opinion sous forme d'énigmes qui inquiètent l'auteur, l'obligeant à fournir des précisions et des explications qui touchent à l'intime, que l'on répugne plutôt à trop mettre en lumière. En d'autres termes, la lectrice accule l'auteur dans tous les recoins où il préfère se cacher, et d'autant plus lorsque le sujet traite de l'érotisme naturel qui s'installe progressivement entre un homme et une femme de bonne volonté qui n'approchent cette matière qu'avec précaution. La démarche initiale est originale: Saisir son téléphone pour demander à un inconnu de lui apprendre la jouissance féminine et de lui faire découvrir la science de l'amour, pudique mais précis, n'est pas une attitude naturelle et facile parmi la gente féminine ! Une sentence de l'un provoque une interrogation de l'autre qui nécessite une réponse éclairante. C'est ainsi que, peu à peu, le commentaire permet de pénétrer dans les profondeurs que l'auteur n'avait pas initialement soupçonnées. Finalement, en deux ans, c'est un véritable roman dans le roman qui s'écrit. Cela aurait plu aux adeptes du "Nouveau roman" si en vogue dans les années 70/80. Et cela double la richesse d'un texte qui, autrement, n'aurait pas tout dit. C'est la démonstration d'une connivence entre lecteur et auteur qui aboutit à une sublimation de la narration en théorie philosophique élargissant le champ de vision et de l'entendement. On se demande même si, par cette méthode, la lectrice et l'auteur ne sont pas en train de construire une histoire analogue à celle dont ils parlent...Certes, il ne faudrait pas généraliser cette façon de développer une critique qui prendrait le dessus sur l'œuvre elle même, mais c'est bien agréable d'assister à cette fusion auteur-lecteur qui démultiplie la valeur d'un texte pour le bonheur des deux impétrants. Merci donc à Michel et à Céline de nous avoir guidés dans ce labyrinthe souvent compliqué d'une relation entre un homme et une femme si difficile à comprendre intimement. Tiens, on pourrait en faire une sorte de concours entre un auteur et son lecteur choisis au hasard. Ce serait un excellent exercice pour tout le monde ! BOSSY
@Michel CANAL
Bonjour Michel, m'interrogeant sur l'intime, je vous ai livré ma confession en aparté, ailleurs donc, elle attend bien sage que les pistes enneigées ne connaissent plus l'allégresse du skieur en vacances, heureux de cette osmose entre lui et l'univers immaculé, enfin, c'est la conception que j'ai des stations de sport d'hiver. Et je sais ce qu'il manque à ce site : des smileys qui éclairent sur l'intention qui guide chaque mot, et pour terminer un message sur une note chaleureuse. Je vous adresse un petit bonhomme jaune fictif, bien que d'un emploi sincère. Un sourire qui n'est pas politique donc, en mot de fin de post.
@VAY Céline
Cette fois, Céline, vous m'intriguez. Quel doute vous assaille donc ? Par contre, je ne doute pas que la plongée dans "le compagnon de route de Claire" comme elle l'appelait vous séduira par bien des aspects. Au plaisir de vous lire pour un avis dont je ne doute pas qu'il sera pertinent. "Doute" serait-il le thème du prochain débat entre nous ? Je vous embrasse, chère contradicteuse émérite.
@Michel CANAL,
Michel, à mon tour d'être confuse, je suis saisie d'un doute qu'il va falloir que je lève, et c'est étrange le doute d'une lectrice, il vous gagne, vous tenaille, surgit dans la journée alors que vous tentez de vous en défaire. Mais rien n'y fait, il va falloir que je plonge dans l'intime d'un journal féminin, que je traque le détail qui infirmerait ou conforterait cette pensée soudaine. Je n'avais pas lu tous les messages de cette page, trop de curiosité nuirait à la découverte, et puis je n'aime pas spécialement être curieuse, je lis pour apprendre essentiellement. Les auteurs tiennent leur plume de tant de manières, la refrénant, ou au contraire accélérant sa course de cursive en cursive. Il y a tant de promesses dans l'énoncé d'un livre, et la rencontre se vit en occultant le reste.Mais j'ai peut-être mis des œillères assassines.
@VAY Céline,
Chère Céline, je loue sincèrement votre travail d'analyse, mais j'en suis confus. Pourquoi en suis-je confus ? Oui, c'est exact que je suis naturellement respectueux. Oui, j'ai raconté avec le souvenir ému ce qui fut tout à la fois une histoire singulière, invraisemblable, une gageure devenue réalité à peine croyable, une grande histoire dont l'aboutissement (que la littérature appelle romance) laisse forcément avec le temps une tranche de vie idéalisée. Comment tant d'années après restituer cela quand on n'est pas écrivain, quand on veut juste témoigner - sans forfanterie - laissant à l'autre tout le mérite qui lui revient, pour que ce soit avant tout son histoire, son expérience et son testament. C'est pourquoi le premier volet (un hymne à la femme qui brandit l'étendard de la liberté pour la révéler à celles, nombreuses, qui sont maintenues dans l'ignorance de leurs droits, chèrement acquis mais pas toujours accordés), axé sur l'émancipation de cette jeune femme agissant en conscience, intelligence et détermination, campe les trois principaux protagonistes acteurs dans cette progression. Ce qui est entré dans les mœurs aujourd'hui se vivait avec prudence et retenue dans les années quatre-vingts. Ce premier volet s'appuie sur le Journal intime, le complète parfois, apporte un regard extérieur qui sera à mettre en parallèle avec le ressenti consigné par Claire. L'exercice était difficile, l'intérêt de le rendre public discutable. Vous avez exprimé des motivations, analysé des ressorts psychologiques, cela m'épate car je vous assure que je n'ai pas pensé à tout cela. J'ai juste essayé, sans apparemment toujours réussir, de restituer cette histoire le plus fidèlement possible, comme je l'aurais fait pour une dissertation. C'est en quelque sorte votre travail d'analyse qui m'apprend tout ce à quoi j'aurais dû penser et un peu ce qu'il aurait fallu que j'évite comme écueils. Je vais vous faire un aveu : me relire m'apporte un plaisir fou. Est-ce normal docteur ? Merci en tout cas pour votre aide, pour ce regard extérieur de lectrice qui conforte l'écriture de l'auteur, laquelle se voulait distincte de celle du protagoniste.
@Michel CANAL,
Tss tss, Michel la vanité masculine est un compliment, elle est toujours sourire amusé des femmes de mon âge envers les hommes de sa génération, on les regarde faire l'enfant, sûrs d'eux, et on sourit. Alors ainsi je vous ai livré une analyse psycho-rigide? Très cul coincé? Ouais, M'sieur. Tout à fait. Par respect pour le travail que vous avez fourni, pour la qualité de votre écriture, le récit est délicieusement suranné, j'ai aimé cette séduction latente, vous avez flirté avec le dix-huitième et le dix-neuvième quand les mots étaient la première phase d'une relation amoureuse. Et vous avez hésité entre une approche mâle ou une approche féminine dans l'écriture des scènes érotiques. Et oui Eric n'a jamais laissé entrevoir machisme, supériorité d'homme. Il est resté en retrait. Or nous sommes dans les années quatre-vingt, Sardou chante "Je vais t'aimer" (A faire pâlir tous les marquis de Sade, à faire rougir tous les putains de la rade...), Sardou qui chante sur la condition de la femme. J'étais encore petite fille dans les années quatre-vingt, si si, bon au début du moins, mais je n'ai pas souvenir que les hommes soient dans la nuance. Mais naturellement je peux me tromper. La poésie ou André Manoukian expriment le mieux la sensualité féminine, il y a sur ce site des auteures de poésie dont les phrases sont d'une beauté à couper le souffle, la femme est osmose, plénitude, Claire est en don d'elle même, elle construit sa féminité à la gloire du Grand Architecte de son Univers, l'homme qu'elle va aimer, pour une telle construction, il faut davantage monter en puissance, je n'avais pas envie de vous le dire cher Michel, d'abord parce que je suis d'un naturel pudique, ensuite parce que j'ai l'impression d'émettre une critique. Mais je vous sens un peu déçu, alors je vous livre le fond de ma pensée : vous êtes tellement dans le respect, dans la beauté d'une relation charnelle puis amoureuse entre un homme ou une femme, que vous avez quelque peu sclérosé votre écriture au lieu de la laisser s'épanouir, au lieu de vous donner à elle. J'espère ne pas vous avoir froissé, Michel, loin de moi cette envie, et qui suis-je pour vous donner un conseil d'écriture! Mes mots sont des mots de lectrice, une lectrice contente de rencontrer un auteur qui épouse si bien la cause féminine, seulement l'auteur écrit bien on a plaisir à le lire, alors l'auteur doit aller au bout de lui. J'espère que vous ne m'en voudrez pas pour cette dernière analyse, je la voudrais vraiment constructive, sinon je me serais exposée pour rien.
@VAY Céline,
Chère Céline, je n'ai pas de mots suffisamment expressifs pour vous dire combien j'ai apprécié votre analyse du premier volet de L'éveil de Claire. J'en ris encore en repensant au débat que son émancipation a suscité. Je n'avais aucun doute sur l'avis final... qui d'ailleurs ne rêverait pas d'une fin heureuse comme celle qu'a connue ce couple, et au-delà une telle qualité d'entente ! J'aurais aimé avoir de nombreux échanges comme ceux que nous avons eus, et un tel retour pour conclure. Un seul détail me contrarie : "à part votre insupportable vanité masculine". Où donc êtes-vous allée trouver un tel état d'esprit ? Et pourquoi faudrait-il avoir cette vanité pour pouvoir aimer les femmes ? La relation s'est construite sur la découverte réciproque des personnalités avant de se découvrir physiquement, et la longue attente a été probablement le ferment du plaisir et du bonheur à un niveau rare. Compte tenu de ce que votre esprit d'analyse sans concession (parfois teinté de rigueur torquémadienne) a ressenti dans ce premier volet, je pense que vous apprécierez encore plus le Journal intime de cette jeune femme dans l'attente d'une émancipation à la mesure de celle de ses héroïnes, amoureuse de l'homme qu'elle rêve de conquérir (elle, et pas l'inverse). J'ai hâte de connaître votre avis ! Très heureux de nos échanges que je trouve tellement enrichissants. Je vous embrasse (sincèrement et sans vanité). MC
@VAY Céline, ma réponse au commentaire (je ferai en suivant la réponse au commentaire /notation). Tout d'abord, Céline, mes plus plates excuses pour le personnage de Gaby : mon esprit gambadait, allez donc savoir pourquoi, vers quelqu'un du passé, un personnage historique. Je n'ai absolument pas fait le rapprochement avec le Gaby de votre écrit. Je souhaite aussi rectifier (j'y tiens) ce qui a pu passer pour un trait de vanité masculine à la page 48. Il ne s'agit pas d'un propos d'homme fier de son attribut, ce qui m'aurait également déplu, mais d'un désir fantasmé de Claire (laquelle 4 ans après une expérience décevante, n'a plus le moindre souvenir de la chose, au mieux à peine aperçue) dans l'attente d'une vraie relation. Il est donc aisé de penser qu'elle idéalise. Il ne faut pas perdre de vue (je conviens que ce soit difficile à imaginer) qu'à son âge, elle n'a aucune notion de ce que peut être une relation avec un homme qui lui apporte le plaisir, sa seule expérience étant livresque et cinématographique de série classée X. Vous me cernez bien désormais, j'aime la précision en toute chose et je fais en sorte de dissiper tout malentendu venant de mon fait. Les propos de Claire ne sont pas ceux d'Eric, et Eric n'a jamais laissé entrevoir machisme, supériorité d'homme, encore moins condescendance, de même qu'il n'a pas souhaité profiter de la situation, alors que d'autres auraient sauté sur l'occasion. C'est d'ailleurs pour cela que la relation a pu évoluer vers une solide histoire d'amour. Je profite de cette opportunité pour dire que je suis bien arrivé à destination dans les meilleures conditions, sans neige, sans pluie, sur route sèche et ciel ensoleillé... j'étais dans le bon créneau ! Deux heures après il neigeait abondamment.
@Michel CANAL, vous m'avez mis un vent, selon l'expression consacrée, un vent d'auteur, vous ne connaissez pas le personnage de Gaby que vous aviez copieusement décrié sur une autre page le taxant d'épouser les idées les plus immondes sur la gente féminine, lui qui luttait justement contre tout dictat, toute idée véhiculée mettant à mal les êtres humains dans leur catégorie sexuée, obligeant les femmes à s'endetter pour des plasties à substances cancérigènes, et transformant les hommes en de potentiels dictateurs à force de pression. Trump a bâti sa carrière sur ses prouesses sexuelles Et cette page 48, "devant ta....qui me désire", l'écriture était pour moi masculine, j'ai songé: bon, on part pour le mythe de Rocco, la littérature érotique ne fait pas mieux que les romans d'amour, réservés à une élite et non pas à l'épicier, l'épicière du coin. En tout cas, cela a rompu le charme de votre plume que je trouvais assez subtile, une sorte de carte du tendre, très discours de séduction femme homme, mais légèrement surannée, ce qui me plaisait, car j'y vois surtout un discours amoureux, une femme qui s'initie à être la plus parfaite des amantes pour l'homme à aimer. Un personnage très en don de soi,. je vous ai remercié cher Michel, car vous reconnaissez le droit pour une femme de demander à un homme de lui donner du plaisir sans qu'elle soit jugée, et là vous marquez un point, vous revendiquez une véritable égalité homme-femme, et vous avez raison, où est la parité si une femme ne peut pas dire à un homme avec toi je veux juste obéir aux règles de la nature, Dieu m'a donné un point G, je veux m'en servir sans subir l'opprobre de la société. Vous érigez un droit pour la femme. L'émancipation est dans le préjugé, le regard des autres, pas dans le rapport de la femme à son corps. L'histoire de France regorge de secret d'alcôve. Croyez-vous que les femmes auraient eu quelques influences sur les rois si elles n'avaient pas été les plus parfaites des amantes. Par contre, j'ai noté qu'Eric avait eu une initiatrice, vous ne considérez donc pas que l'apprentissage est une affaire d'homme, en cela également, vous respectez la parité. Je poursuis ma lecture Michel, que j'arrêterai immédiatement si Rocco pointe à nouveau le bout de son nez! Car elle est jolie votre histoire Michel, cette découverte de l'autre, où l'exploration de son intimité permet peu à peu de découvrir une affinité d'âme. Elle n'a pas besoin d'autre chose, juste de ces phrases amoureuses.
@VAY Céline,
Chère Céline, je crois qu'il y a de la contestation dans l'air, teintée de mauvaise foi. Je suis allé à la page 48, et qu'ai-je trouvé ? Un argument évident de l'émancipation verbale de Claire qui fait répondre à Eric : " Ben dis-donc, Claire, tu te lâches. Tu progresses vite." Puis Claire qui renchérit par : "Je sens qu’avec toi, j’ai trouvé la personne capable de me faire aller au-delà des limites auto-imposées par mon éducation. Je pense vraiment ce que j’ai dit. J’aimerais que tu aies envie de faire avec moi tout ce que tu as fait avec ton initiatrice." N'agit-elle pas précisément en femme libre de revendiquer son droit à disposer de son corps ? Je ne connais pas le personnage de Gaby, dont je ne peux ni en parler, ni apprécier son impact en matière de discrimination. Je concède — par courtoisie — un point partout, mais je fais confiance à Claire pour vous convaincre en matière d'émancipation. Elle m'a subjugué, je l'ai admirée, j'ai reconnu ses qualités, j'étais sous le charme de sa personnalité, fasciné par son évolution. Peut-on être plus élogieux ? Au plaisir de vous retrouver, Céline, sans bannière de contestation, sans mauvaise foi typiquement féminine (dont Claire était exempte). Je connais l'adage "L'amour rend aveugle"... mais l'ai-je jamais été (aveugle) ? Je vous laisse le soin d'explorer le parcours de Claire jusqu'à la rencontre tant espérée, couronnée par un séjour en amoureux à l'île Maurice. Je vous attends au tournant. Il sera difficile d'émettre la moindre critique. Ne serait-ce pas un nouveau point pour moi ? Bises.
@Michel CANAL, ah non Michel, au risque de vous décevoir, c'est moi qui marque un point. Je voulais vous amener à dévoiler un autre aspect du livre, auquel je ne suis pas encore parvenue mais que je pressentais car j'ai pleinement confiance dans votre approche. Après des siècles d'interrogation sur le droit des femmes au plaisir de la chair, les théories hallucinantes sur l'utilité de la jouissance féminine dans la procréation auxquelles l'Eglise accordait foi ou non, bref des siècles à se demander si la sensualité de la femme en faisait une pécheresse à livrer aux flammes du bûcher, je suis ravie qu'un auteur masculin rende à la femme sa pleine capacité sexuelle sans qu'elle ne soit taxée de gourgandine, d'allumeuse ou de salope.Dans un premier temps, vous "légitimez" le droit de la femme à accoster un homme pour qu'il lui donne du plaisir. Donc,je suis forte aise de vous voir expliquer que vous êtes pleinement conscient du parcours difficile de la femme encore même au vingtième siècle. On sort du côté érotique du livre. Car là je ne vous rejoins pas. Michel, page 48, qu'ai-je lu? Une sectorisation de la morphologie masculine?Non Michel, émancipez la femme, mais laissez le droit aux p....b.... d'être un objet de fantasme! Vous vous rappelez que le personnage de Gaby a été crée pour lutter contre la discrimination qui conduit à Hitler et ....Trump? Tss, tss, ce n'est pas bien Michel.
Décidément @VAY Céline, c'est un plaisir de débattre avec vous, car de nos discussions émergent les idées-forces développées dans les deux faces de cette romance. Mais je dois vous aider un peu parce que vous n'avez eu accès qu'à des extraits et que votre lecture n'est peut-être pas terminée. Je vais donc commencer par un rappel (à lire sur mon site d'auteur tout au début — onglet "Bienvenue" — sous le titre : "Qui est Claire ?) "Quelle jeune femme (...) n'aurait pas envie de s'émanciper le moment venu ? (...) Claire appartient à cette nouvelle génération de femmes qui souhaitent exister pour elles-mêmes et plus seulement à travers l’autre. Brillantes, diplômées, ambitieuses, elles s’organisent pour être indépendantes financièrement et pour que soit reconnue leur valeur. Elles veulent aussi réussir leur vie de femme." Beaucoup plus loin, au chapitre 4 "Désirs inavoués", la professeur d'histoire qu'elle est explique à son amie Elodie l'évolution de la condition de la femme. Il n'y a dans l'extrait (pages 83-84) que le court passage introductif relatif au Code Napoléon qui avait fait de la femme mariée une incapable juridique, Napoléon se faisant simplement l'écho de la bourgeoisie : " La femme est donnée à l'homme... Vos obligations, la dépendance et la soumission. " Je dévoile une partie de la suite à votre intention puisque vous avez mentionné l'année 1938 : " (...) il y avait bien eu la Déclaration des droits des femmes de 1791, mais l’Histoire n’a retenu que la première. Il a fallu attendre 1869 pour que soient créés les Droits de la femme, 1871 pour que soit fondée l’Association pour les droits des femmes, 1878 pour que soit organisé le premier congrès féministe – le Congrès international du droit des femmes. Cependant, la reconnaissance de nos droits civils fut très lente, comme tu peux en juger à travers quelques étapes clés. 1907 : la femme mariée peut administrer les produits de son travail et de ses économies ; 1919 : création du baccalauréat féminin ; 1938 : la réforme du régime matrimonial supprime l’incapacité juridique de la femme et le devoir d’obéissance à son mari, mais ce dernier conserve toutefois le pouvoir d’imposer le lieu de résidence et d’autoriser ou non l’exercice d’une profession ; 1944 : droit de vote ; 1946 : le préambule de la Constitution pose le principe de l’égalité des droits entre hommes et femmes ; 1965 : la femme peut exercer une activité professionnelle sans le consentement de son mari." Alors, féministe Céline, il y a fort à parier que si vous aviez empoigné l'étendard de la contestation, vous l'auriez fait dans les rangs d'une meneuse qui se serait appelée "Claire" (marrant, non ?) Et je me dois de rappeler que le sous-titre s'intitule "Ou l'émancipation d'une jeune femme". Je crois que je marque un point ! Avec toute ma sympathie.
cher@Michel CANAL, j'ai effectivement aimé qu'il y ait interrogation avec des références, cela donne au récit une dimension différente, c'est un thème qui est abordé là, le rapport de la femme à son corps, et chose également intéressante, le rapport de la femme à son corps sans le regard de l'homme. En ce sens il y a émancipation dans la construction de Claire, femme ingénue, appliquée, enfant dans son désir de bien faire. Je ne parlerai pas de soumission, elle n'est pas contrainte. Par contre de mémoire, le droit des femmes à disposer de leur corps, cette revendication actuellement remise en cause, recouvre une notion autre, je ne suis pas sure que l'on puisse parler réellement d'émancipation pour votre héroïne, et je vais aller chercher très loin la féministe qui est en moi pour contester l'emploi de ce mot. 1938 suppression de l'incapacité juridique de la femme, elle ne doit plus obéissance à son mari. Je rappelle ce fait car je trouve qu'actuellement, tout se mélange, et qu'il faut s'entendre sur le sens des mots. Avec toute mon amitié Michel, alors allez-vous me faire empoigner l'étendard de la contestation, construire ma barricade, me retrancher derrière la mauvaise foi la plus évidente mais tellement féminine?
Oh ! @jezzabel, Shocking ! comme dirait Pénélope. Vilain garnement ! Quel langage cru dans la bouche d'une jeune femme à qui on donnerait le bon dieu sans confession avant d'avoir lu ses écrits... et qui parle comme un mauvais garçon ! Ceci dit, à défaut d'une analyse pertinente, je ne boude pas les étoiles et vous remercie. MC
Chère @jezzabel, c'est bien ce que je pensais, soit vous écoutez aux portes, soit vous lorgnez par le trou de la serrure. Dans les deux cas, ce n'est pas bien. Céline est en vacances (bien méritées), elle nous reviendra bientôt, pour notre plus grand plaisir. En attendant vos commentaires, que j'espère pertinents, bonne lecture dans les pas de Claire. Bises. PS : je ne voudrais pas, après une vie d'homme de l'ombre, que tout le monde conclue que Michel Canal est colonel... Donc, vilain garnement, repos, motus et bouche cousue sur la chose, qui doit rester dans le secret de l'aparté. MC (pas pour Mon Colonel, mais pour Michel Canal)
@VAY Céline,
Echange très intéressant, Céline, car analysant le coeur de la relation, laquelle, sans dévoiler la suite, est un jeu dont Claire est la meneuse... et le sera jusqu'à son aboutissement.
Elle approche 24 ans, a réussi brillamment ses études et son entrée dans la vie active, ne fait pas les choses à moitié, veut s'émanciper pour réussir sa vie de "Femme", ses modèles de femmes libres sont Claudine/Colette et Emmanuelle, elle a décidé de séduire l'homme qui a accepté de répondre à sa sollicitation, avec lequel s'est établie une relation de confiance.
Alors oui, une lectrice peut avoir l'impression (avant d'arriver à la fin du récit) que Claire a une tendance à la soumission, qu'elle ne s'affirme pas comme femme libre. En réalité, femme libre dans l'âme, elle est et sera une amoureuse passionnée aimant pimenter les jeux amoureux.
Il ne faut pas perdre de vue que le premier volet est le récit de l'auteur et de son vécu, le Journal de Claire son ressenti, mais aussi ses intentions de femme motivée par sa passion amoureuse et son désir d'émancipation inspirée de ses héroïnes, plus tard le récit de sa relation avec Elodie (dont Eric ne sera pas le témoin), enfin de sa relation avec Eric après leur rencontre. C'est pourquoi les deux volets, les deux faces de cette même histoire avec deux approches différentes, sont complémentaires.
Je suis ravi de m'en expliquer avec vous, Céline, car je n'ai pas eu jusqu'ici cette opportunité. Bonne lecture pour la suite. Permettez-moi une bise affectueuse d'encouragement et d'amitié. MC
Bonsoir@Michel CANAL, à un quart de ma lecture, trouve que Claire a l'émancipation soumise. L'impression que l'amour n'est pas séparé de sa démarche d'initiation. Elle ne s'affirme pas en tant que femme libre, même si elle affiche la liberté de son corps, son esprit ne l'est pas. Je me trompe?
@VAY Céline
Oui, Céline, vous comprendrez pourquoi je suis si soucieux de la qualité de l'écriture et de la présentation par respect pour le lecteur.
J'ai été formaté professionnellement pour que les textes quels qu'ils soient (simple fiche, analyse, synthèse, rapport, compte rendu, bilan...) destinés à la hiérarchie, voire au ministère, ne reviennent pas pour corrections car passés au crible par les intermédiaires ajoutant chacun leur avis. Mais je dois admettre, au vu de ce que je lis ici ou là dans les revues, les magazines, des courriers officiels... que cette rigueur tend à s'atténuer.
C'est pourquoi je suis un lecteur lent et que tous les défauts me sautent aux yeux. Lorsque par amitié je me livre aux corrections sollicitées, il m'arrive de trouver des coquilles qui avaient échappé à plusieurs correcteurs dont c'était l'attribution.
Bonne lecture, si le genre ne vous décourage pas (bien que j'aie fait en sorte que ça reste acceptable et littéraire). Rappelez-vous d'un certain débat — nourri et polémique — dans une tribune d'octobre initiée par notre amie lamish.
Bonjour @Michel CANAL, belle fluidité de style, elle saute aux yeux dès les premières lignes. Je vais poursuivre avec plaisir.
@Michel CANAL . Bonjour Michel. J'ai mis votre roman dans ma bibliothèque après en avoir lu une quarantaine de pages. Très belle écriture servant une histoire érotique très suave. On se verrait bien rencontrer l'héroïne au détour d'une escale sur le débarcadère de Langevin, pour une leçon individuelle avec cette professeure en... Le récit donne l'impression d'un maître d'hôtel annonçant le plat, en vous mettant poétiquement l'eau à la bouche en les présentant. Je sens que vais me régaler. Merci Michel. Je reviens pour en dire plus et pour la note, sous peu. A bientôt. CC
Chère @VIRGINA SADOMA, merci pour le compliment. Comme je suis bon public, je me suis empressé de lire l'extrait déposé sur mBS. J'ai pu constater qu'il tient ses promesses par rapport au titre, mais que nous n'avons certainement pas les mêmes lecteurs. Bonne chance.
@Marielle83 Merci pour votre visite et votre commentaire. Un auteur a besoin de connaître le ressenti des lecteurs. Merci aussi pour vos encouragements. Vous apprécierez encore plus le Journal intime, l'autre face de cette romance.
Salut,
Suite à votre présentation sur le groupe des Erotiques, je suis venue lire le début de votre livre...
J'ai bien aimé, le style est très travaillé, fluide, facile à lire...
Et ça commence très fort ! On n'a pas le temps de réfléchir et c'est très bien !
Bonne continuation !
*Marielle*
@Coco69360 Merci Coco pour votre commentaire, et pour les étoiles. Dommage que vous n'ayez lu que des extraits, bien qu'avec les ajouts de Noël et de la St-Valentin, on puisse pousser la lecture jusqu'à un dénouement que beaucoup souhaiteraient connaître une fois dans leur vie.
Comme vous m'avez fait l'honneur de charger aussi la suite (Le journal intime), vous en saurez plus sur le contenu avec la lecture du prologue. Je vous en souhaite bonne lecture. Les commentaires des lecteurs sont importants pour les auteurs. Merci pour ce partage. MC
@CLAUDE C. Bonjour Claude, merci infiniment pour votre commentaire étoffé, donc très utile. Il appelle des réponses de ma part.
1 - Découpage en extraits : à l'origine de la publication sur mBS (d'ailleurs sous un pseudonyme), j'avais mis la lecture dans son intégralité, le temps nécessaire pour évaluer l'audience. Succès rapide. Puis, en relation avec une auteure du même genre publiée sur Amazon, j'ai compris que plus il y a de lectures intégrales sur mBS, moins il y aura de ventes dans le circuit commercial. Normal ! Le roman est structuré de telle manière qu'un extrait unique du chapitre 1 ne serait pas représentatif. C'est pourquoi j'ai saucissonné pour avoir une idée de la progression (un peu bandes annonces je le concède), avec en prime, mes ajouts, cadeaux de Noël et de la Saint-Valentin.
2 - Le personnage de Claire est un paradoxe que sa jeunesse bridée et sa longue attente d'une sexualité épanouie à l'âge adulte peuvent permettre de comprendre. De plus, il faut avoir vécu à la Réunion pour savoir que les comportements peuvent être étonnamment exacerbés comme nulle part ailleurs.
3 - Les extraits du Journal intime sont (à une exception près pour faire plus court) les pages dans leur intégralité, avec suffisamment de journées pour se faire une idée. Là encore, j'ai fait un cadeau de Noël par l'ajout de la journée du 21 juin (alors que j'avais arrêté les extraits à la date du 3).
4 - Je m'absente une semaine, peut-être pourrai-je vous suggérer des corrections (comme je l'ai fait pour d'autres auteurs que j'ai appréciés). J'aurai ma tablette pour rester dans le circuit.
Je vous invite à me retrouver sur mon site pour percer un peu plus le contexte de cette romance et le fil de l'histoire.
Enfin, un dernier point : j'ai apprécié votre style et vos descriptions justes auxquelles nombreux s'essaient sans y parvenir. Amitiés. MC
Bonjour Michel, merci de votre intérêt pour mon livre. Je dépose ce jour les deux vôtres dans ma bibliothèque et reviendrai vers vous en fin de lecture pour chacun. Je n'ai bien sûr pas résisté à la tentation de lire déjà quelques pages et ai eu le plaisir de découvrir une écriture très fine et travaillée. J'ai donc hâte que mon emploi du temps me permette de lire la suite. A bientôt. Claude.
Bonjour Michel,
Comme promis, je reviens vers vous après avoir lu l'ajout de votre roman. Je réitère ce que j'ai dit la première fois. On s'attache à ces deux personnages où se mêlent sensualité, sensibilité et amour mais sans aucune vulgarité. Bravo et merci pour ce partage.
Très belle journée.
Elisa
Merci Muriel pour votre commentaire et votre notation. Grâce à vous, les lecteurs et lectrices de L'éveil de Claire auront le plaisir (que je suis heureux de partager) de pouvoir lire l'ajout dans les extraits du chapitre 5 — pages 56 à 60 — relatif à la première rencontre, tellement émouvante, d'Eric et de Claire. Je reconnais que ça pouvait être frustrant d'être privé de ce passage. Bonne lecture pour partager avec moi cet instant de bonheur ! MC
Bonjour Michel. Les circonstances de la vie ont eu raison de ma disponibilité beaucoup plus longtemps que je ne l'aurais souhaité. En conséquence j'ai pris un retard considérable dans mes lectures. C'est avec un plaisir évident que j'aborderai dans un moment (je ne peux malheureusement pas faire autrement), les extraits supplémentaires de "l'éveil de Claire". Je vous souhaite sérénité, santé et réussite au seuil de cette année naissante et dans ce monde incertain.JCML.
Merci Charles, bonne lecture. N'oubliez pas d'aller sur mon site et sur Facebook (à partir de "Voir son profil", icônes f et W). Vous serez séduit par le site. A bientôt ! MC
Bonjour Michel,
Je suis désolée de ne pas vous avoir répondu plus tôt mais je n'ai eu que très peu de temps à consacrer à ma passion pendant ces 2 dernières semaines.
Je lirai avec plaisir les nouveaux extraits de "L'éveil de Claire". Ne soyez pas trop impatient, j'ai pris beaucoup de retard dans mes lectures.
Très belle année remplie de bonheur et de réussite.
Amicalement.
Elisa
Bonjour Daniel, merci infiniment pour votre opinion qui me conforte dans mon choix d'écriture (mais avais-je vraiment le choix ?). Je suis sensible au fait que vous ayez trouvé la lecture agréable. Ce partage exprimé par un auteur homme me satisfait. Merci aussi pour la notation. Très cordialement. MC
Bonsoir Elisa, je vous remercie infiniment pour ce partage et d'avoir aimé mon style. J'ai toujours veillé à éviter la vulgarité et à la qualité de l'écriture, loin de ce qu'osent mes consoeurs (qui fait leur succès auprès des hommes). En raison de son contenu, notamment racontées par le professeur d'histoire Claire à son amie Elodie, l'évolution de la reconnaissance des droits des femmes et celle de la libération sexuelle (à peine effleurées dans l'extrait), j'ai toujours pensé que mon lectorat serait plutôt féminin. Votre commentaire et votre constellation me vont donc droit au coeur et je vais m'offrir le plaisir de me plonger dans la douceur bienfaisante de vos émotions. MC
Ne soyez pas désolée, candide Dany, c'était prévisible et vous êtes pardonnée. Ite missa est ! Vous avez entr'ouvert par curiosité la porte rouge que vous saviez interdite, c'est l'essentiel... je ne doute pas que vous aurez envie de la pousser davantage plus tard. Vous n'étiez tout simplement pas prête pour franchir ce pas.
J'ai apprécié votre sincérité et eu plaisir à lire " qu'il n'y a aucune vulgarité, que vous l'avez trouvé plutôt "romantique", que vous ne regrettez pas et que vous le gardez dans votre bibliothèque, sait-on jamais ! "
Cordialement. MC
Bonsoir Michel Comme je vous l'avais spécifié dans un de nos échanges, votre livre était une première dans ce genre. Je suis désolée mais je n'accroche pas, je me suis arrêtée à la page 20. Je ne voudrais pas qu'un amalgame soit fait, cela n'a rien à voir avec vos écrits, bien au contraire. Il n'y a aucune vulgarité dans ce que j'ai lu, j'ai même trouvé ça plutôt "romantique" comme d'autres lecteurs avant moi. Les nombreux éloges, mérités en passant m'ont donnés envie de vous lire et en cela, je ne regrette pas. Je le garde quand même dans ma bibliothèque, sait-on jamais! Cordialement. Dany
Bonsoir Jean-Claude Marie. Merci infiniment pour votre commentaire pertinent. J'attendais l'avis subtil d'une femme, cette romance leur étant destinée plus qu'aux hommes, c'est un homme qui me gratifie de la meilleure analyse en y décelant ce qui m'a tenu à coeur pour la traduire en mots : "un hymne à la femme dans un style accompli, léger, souple, suggestif et doux". C'est effectivement un hommage à cette femme libre, déterminée, qui a su entraîner cet amant respectueux, une voix au téléphone jusqu'à la rencontre fatale, dans une aventure singulière poursuivie jusqu'à la sublimation de l'amour. Le défi littéraire était de taille pour traiter une autre forme d'érotisme. Si j'y suis parvenu, j'en suis heureux. Merci aussi pour la notation, qui a une grande importance à mes yeux. Très cordialement. MC
Merci tardif puisque j'étais en voyage à l'étranger, énigmatique cats008, à qui je dois avouer ma confusion devant tant d'admiration des personnages de cette aventure. Au fil des jours, aidée par un partenaire attentionné qui lui a permis de s'accomplir et qu'elle a aimé sans le connaître, Claire a tout simplement pris conscience de sa féminité et de la sensualité qu'elle portait en elle. Tout comme ses héroïnes, elle a eu l'opportunité d'explorer la carte des plaisirs, avec la belle Elodie d'abord, puis avec Eric qu'elle a réussi à séduire. Une belle histoire qui, je le conçois, peut faire rêver. MC
Bonjour MC, votre admiratrice vous redit combien j'aime vous relire, avec chaque fois cette montée de désir qui me fait envier Claire. J'aurais aussi aimé partager son expérience avec Élodie. Quelle aventure admirable, et qu'elle sensualité au terme de son initiation ! J'attends avec impatience son Journal intime. Sans doute en apprendrai-je plus sur son désir, son plaisir renouvelé et sa passion si singulière pour cet amant longtemps une voix à qui elle rêve de se soumettre. Belle preuve d'amour d'une femme libre. Que j'aimerais la connaître ! Avec toute mon amitié. C
Merci infiniment, America Grace, pour ce compliment qui me va droit au coeur. En effet, ce roman qui est aussi une romance à classer dans le genre érotique, sur un thème singulier pour ne pas dire inédit, fut une gageure dans les faits avant de l'être dans la difficulté de le traduire en mots. Il évolue donc au fil des jours et d'une longue attente pour Claire, porté par une jeune femme brillante, laquelle s'adressant à toutes les autres, distille au passage leur condition jusqu'à leur émancipation officielle, et l'évolution de la sexualité. La richesse et le ton des conversations résultent du niveau des protagonistes, excluant la vulgarité. La poésie trouve aussi sa place. En cela, il tranche sur d'autres catégories de romans "érotiques pur jus". Très cordialement. MC
Merci Lilibou pour votre commentaire et votre notation. J'ai apprécié l'analyse affinée qui permet de me situer par rapport à ce qui peut plaire ou déplaire à une lectrice. C'est important pour un auteur, surtout pour ce type de roman qui privilégie plutôt les auteurs femmes, plus libres dans leurs mots. MC
Merci ips pour votre commentaire, que j'apprécie d'autant plus qu'il émane d'une auteure au sommet du talent dans ce domaine, et que j'admire. J'appréhendais votre avis car nos styles sont tellement éloignés de par la situation de nos protagonistes. Merci aussi pour la notation.
Merci cats008 pour votre analyse et vos compliments. Je suis heureux que le roman vous ait apporté tout cela. Il est vrai que je mets un point d'honneur à bien écrire, à corriger avant publication, à être un exemple d'écriture dans un monde où notre langue est de moins en moins maîtrisée. Avec mon amitié. PS : Vous connaîtrez très prochainement mon identité puisque le roman sera publié sans pseudo, précaution que j'avais prise pour tester son lancement sur mBS.
J'ai oublié de préciser qu'en tant que femme, j'ai appris beaucoup de choses, notamment sur l'évolution de la condition féminine... Un véritable cours dispensé par la prof d'histoire. Et je voudrais ajouter que certaines descriptions, en particulier celle sur l'observation des oiseaux à l'île Maurice, sont de vraies pages de poésie. Merci aussi pour celà, MPC. De l'enseignement, du sexe décrit avec une sensibilité rare et de la poésie dans le même roman... Quel bonheur ! J'espère que ce roman fera date dans l'univers érotique et que l'on connaîtra un jour qui se cache derrière ce pseudo.
Bonsoir Lamish, super heureux que ce soit vous qui m'appreniez "l'article élogieux en question" (que j'ai longuement cherché dans plusieurs rubriques avant de le trouver), super heureux aussi que le premier commentaire cité soit le vôtre. C'est une surprise... plutôt agréable après avoir régressé de la 7ème à la 12ème place au classement. Merci !
Super heureuse pour l'article élogieux et mérité qui vient de paraître sur votre roman, "L'éveil de Claire".
J'espère sincèrement qu'il vous propulsera dans le lot, oh combien désiré, des dix meilleurs.
Bonjour MPC et merci pour vos commentaires auxquels je viens de répondre sur les pages de mes ouvrages.
Bonjour Lamish, merci pour votre commentaire qui pour une fois évoque une pointe de déception exprimée par la notation. Tout est bon à prendre. Claire est une femme exceptionnelle que rien ni personne ne pouvait entamer sa détermination. Elle a osé vivre ses fantasmes, s'est épanouie, réalisée. Ses expériences ont fait d'elle une femme aimante, comblée, forte, équilibrée, libre... bref comme ses héroïnes !
Avec ma complicité d'auteur ayant commencé la lecture de votre livre. MPC
Bonjour Watkosk, merci pour la notation et le soutien.
Avec toute ma gratitude et mon amitié. MPC
Bonjour Clugamis, merci pour le commentaire qui m'en apprend un peu plus sur ce qui peut intéresser le lecteur dans mon roman. Merci aussi pour le soutien en vue du Concours du meilleur auteur du mois. Amitiés. MPC
Bonjour BRIBES, merci infiniment pour l'appréciation et la notation. Avec toute ma gratitude et mon amitié. MPC
Bonsoir Ludivine D, merci infiniment pour votre appréciation, votre note... et votre soutien. C'est la meilleure récompense pour l'auteur que je suis. Avec toute ma gratitude et mon amitié. MPC
Bonjour Bauhardt et Jean-Luc, merci infiniment pour la notation et le soutien pour le Concours du meilleur auteur indépendant du mois.
Merci Labau pour le commentaire qui m'en apprend un peu plus sur ce qui plaît aux lecteurs, et le soutien.
Avec mon amitié. MPC
Je soutiens ce livre, original et surtout écrit sans vulgarité. Bravo
JE SOUTIENS CE LIVRE ET LE PARTAGE
Bonjour Irène, merci infiniment pour votre commentaire sur le style et pour la note. Le plus difficile, dans ce genre littéraire qui n'est pas à la première personne, est précisément d'être émoustillant sans être vulgaire, de suggérer plus que de décrire. Les mots crus "usuels" du langage sont tellement plus faciles ! Amitiés réciproques. MPC
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Bonjour mbv, merci pour votre commentaire, celui d'une lectrice (je pense) qui a finement analysé les messages que véhicule ce roman à facettes.
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