Bonjour Vanessa Michel.
La jeunesse du cœur ne s'étiole jamais. Seule la parole négative pourrit sa finalité. Nommer ou ne pas nommer : la contrainte des mots peut blesser, éteindre avant l'heure la personne vieillissante, la condamner à n'être plus qu'une ombre, non une présence. Cette lucidité, Huguette la saisie, la pétrie, jusqu'à la rendre conforme à ce que l'on attend d'elle... //
S'abandonner à la vie... ou à la mort. Léon le solitaire s'y confronte avec application. Résistera-t-il à l'appel qui résonne en lui ? //
Le cycle vie et mort se poursuit inlassablement. Maria l'a compris et s'empare du dernier instant... //
Dans cet imaginaire, l'aller sans retour n'est pas l'effacement, mais un passage, sublimé par une plume sensible, qui a su capter le tourbillon de la fatalité. Merci, Vanessa, pour cette réflexion profonde et poétique.
Annie
Publié le 31 Août 2025