Marguerite Rothe
Présentation

"Lire, écrire, lire, écrire... Deux activités, une passion”
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Marguerite Rothe a noté ces livres

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Certaines personnes sont comme des vampires ; elles ne peuvent exister qu’en suçant jusqu’à la dernière goutte, l’énergie vitale de ceux sur qui elles ont jeté leur dévolu. La seule chose à faire, quand on rencontre un pervers narcissique, c’est de prendre la fuite. Le pervers narcissique ne peut pas être traité, il ne souffre pas d’une pathologie, mais il est affublé d’un trait déviant de la personnalité. Dans votre histoire, le processus qui mène au moment où l’héroïne doit couper le « cordon ombilical » est très bien décrit. Solitude, incertitude, tristesse, sont autant d’obstacles qu’il faut vaincre. Et puis aussi, faire face avec courage au regard des autres ; car bien sûr, dans ces cas de figure, c'est la personne qui part qui est la "méchante". J'ai beaucoup aimé cette lecture, à la fois triste et positive. Merci, et bonne continuation à vous. Marguerite.
Publié le 12 Août 2016
3
Intense, très bien écrit, bien sûr, et tragiquement vrai dans le constat. De plus, le sujet peut être traité à propos des pères ou même des enfants. Le constat est aussi tragique qu'il est irréfutable, car il est très vrai que les psychoses prennent bien souvent racine derrière les portes closes des familles. J'ai beaucoup aimé, merci. Marguerite ----- PS : page 11, dans la phrase : "Je les comblais toutes dès fois (des ne pas accentuer), tant j'étais affamé d'amour"
Publié le 04 Août 2016
3
Comment écrire, comment commenter une œuvre si généreuse, tellement équilibrée, qui est tout à la fois profonde comme un ciel nocturne étoilé et légère comme un souffle printanier dans les arbres en fleur ? Je me sens maladroite à le faire. Ouvrir si grand les portes de vos imaginaires à travers les mots de Nour et Lounis, mais quel somptueux cadeau ! Nour la rebelle, Nour la fantasque, Nour l’insaisissable, Nour la lucide, face à Lounis, le conciliateur du rêve et du réel, Lounis, le pêcheur de perles cachées dans les profondeurs des grands lac, quel duo ! Quel duo que ces deux imaginaires si souvent au bord du réel, comme avec les mots qui disent la vie d’un soldat qui s’achève dans le regard d’un enfant, ou bien ceux qui racontent le vol d’une nuée de grues cendrées au milieu d’un ciel plus bleu que bleu, parce rêvé, parce que réel. Je me doutais que votre « bébé d’écriture » à quatre mains serait une réussite, mais je ne savais pas à quel point cela le serait ! Mille mercis à tous les deux pour ce magnifique cadeau, ce fut un bonheur de vous lire. Bien amicalement à tous les deux, Marguerite.
Publié le 01 Août 2016
3
C'est dans ces moments terribles, que le mot "jamais" prend toute sa dimension d’inéluctabilité. Votre texte m'a "poigné" le cœur et renvoyé à mes propres renoncements. À nos propres renoncements à tous. Par chance, le temps apprivoise et transmue la tristesse en nostalgie, et c’est bien d’elle qu’il s’agit dans la dernière phrase de votre témoignage : la reconnaissance de ce qui a été, et que l'on transmet avant de l'emporter avec soi. Merci infiniment Ellbazi pour cette lecture. Bien à vous, Marguerite.
Publié le 29 Juillet 2016
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Votre histoire de sorcière est délicieusement effrayante... Personnellement, j'évite toujours les balades dans les cimetières, les soirs d'hiver... On ne sait jamais ! Merci pour cette agréable lecture, Marguerite. --- PS : un interligne à 1,5 fatiguerait moins les yeux pour la lecture sur écran :-)
Publié le 28 Juillet 2016

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