Pascal.S

Pascal.S a noté ces livres

4
Des textes profonds qui traduisent une belle maturité avec une réflexion plus que poussée sur les thèmes abordés. Paulina, vous allez au fond des choses et pour une femme de 23 ans, c'est plus qu'appréciable. J’ai bien aimé le passage sur l’inconnu cela décrit bien notre peur de l’inconnu mais parfois on est poussé vers l’inconnu car une certaine lassitude due à la routine s’installe en nous. Comme dit l'écrivain, Hafid Aggoune: "La vie s'arrête lorsque la peur de l'inconnu est plus forte que l'élan". La rencontre de l’autre en tant qu’être humain ou d’un lieu peut nous apporter beaucoup d’émotion..Il y a en effet des lieux ou des êtres humains qui nous sont familiers alors que nous ne les avons jamais vus. Votre remarque est juste et pertinente...
Publié le 10 Août 2019
4
C’est un peu fort Foyard ou le jeu du labyrinthe, l’interdit fait monter le désir et la peur est un moteur, un sentiment qui nous excite surtout quand on est petit. Les châteaux hantés font peur, les cimetières aussi la nuit avec les fantômes qui jaillissent des tombes....Je pense que vous trouverez votre public chez les jeunes qui sont en général friands de ce type d’histoire que vous proposez.Vous avez du nez c’est déjà un bon point. Bonne continuation dans vos aventures livresques.
Publié le 24 Juillet 2019
4
Des vers forts, qui frappent en plein cœur, poignants et à la fois si durs et vrais. Les poèmes de l'accident et de l'absence m'ont plu, ils sont si tristes, celui de l'adieu également. Le poème du slam, c'est beau et optimiste, enfin! Le nouvel amour c'est beau! Si vous aviez fait plus de 47 pages, je vous aurais mis 5, tellement votre écriture est splendide......
Publié le 13 Juillet 2019
4
Je ne sais pas pourquoi, votre extrait m’a fait penser à la fameuse réplique d’Anémone dans le film Le Père Noel est une ordure : « c’est fin, c’est très fin, ça se mange sans faim » . Extrait marrant, il y a de l’humour, c’est simple et sans prétention donc c'est à consommer! Je ne suis pas un super fan, des « casse-toi » ou des « me faire chier » mais bon tant que c’est utilisé avec modération, on va dire que cela passe...
Publié le 30 Juin 2019
4
Cela doit être formidable d’être un écrivain comme Léa et d’avoir la sensation à un moment donné de voir ses personnages qui lui échappent car ils suivent leur propre route qui n’est pas celle de l’écrivain. D’ailleurs doit-t-on dire écrivain ou écrivaine car ras le bol de ce féminisme à outrance, c’est ridicule.... Mais bon quand on dit cela, on se fait automatiquement traiter de misogyne.... Et oui on vit à une époque où on ne peut plus rien dire… Bon je referme la parenthèse mais sinon j’ai bien apprécié le livre, les personnages sont intéressants dans le sens où ils sortent parfois des sentiers battus. J’aime bien le personnage d’Amandine, son côté extravagant me plaît, cela change un peu. Dans le couple, c’est clairement elle qui porte la culotte, c’est marrant ! c’est comme Léa, elle a du caractère et du répondant, il faut pas l’embêter ! La pauvre Marie quand on pense qu’il y a des femmes qui subissent tous les jours ce qu’elle subit, c’est juste affreux ! Comment arrive-t-elle à supporter l’insupportable ? Elle est face à un véritable manipulateur très pervers! J’ai bien aimé que l’on passe d’un personnage à un autre, c’est divers et puis c’est intéressant d’être plongé dans la peau de divers personnages. On est pas toujours dans la peau du même protagoniste. Merci pour ce partage agréable, j’ai eu la sensation d’être devant un bon téléfilm, cela détend et cela fait du bien. Je suis d’accord avec vous dans votre commentaire à Lila quand vous dites : « pourquoi les anciens devraient-t-ils adapter leur langage à celui des jeunes ? » Quand on voit parfois ce qu’est le langage des jeunes, il vaut mieux celui des anciens!
Publié le 27 Juin 2019

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