Zoé Florent
Présentation

J'ai décidé de quitter définitivement mBS en tant qu'autrice.
Je souhaite une bonne continuation aux quelques autrices et auteurs que j'ai sincèrement appréciés et remercie encore ceux qui m'ont suivie et gentiment conseillée durant ces dix dernières années. Je reste présente en tant que lectrice pour eux, et eux seulement.

Quelques textes courts en lecture libre, chez Atramenta : https://www.atramenta.net/authors/zoe-florent/127124

Mes romans sur Amazon :
https://www.amazon.fr/stores/Zo%C3%A9-Florent/author/B0B1ZT32LQ?ref=sr_ntt_srch_lnk_4&qid=1762592729&sr=1-4&isDramIntegrated=true&shoppingPortalEnabled=true

Zoé Florent a noté ces livres

3
@Jean-Paul Florencio Un roman court, rythmé, porté par une plume fluide et concise. Intéressant aussi, puisqu’il explore les sentiments d’un écrivain arrivé en fin de vie après une success story suivie de dix années de panne d’inspiration. /// Pour moi, les sujets telles que la création littéraire, la société, souffrent d’une vision un peu trop stéréotypée (ou trop rebattue, peut-être, ce qui expliquerait que je sature ;-)). /// La fin m’a un peu contrariée itou, avec la reprise isolée de quelques mécanismes freudiens qui ont fait leur temps. Que les sentiments d’usurpation et de culpabilité de votre personnage justifient du même coup ressentiment envers la mère, vision négative du monde et panne littéraire, m’a laissée quelque peu dubitative ; dubitative dans le sens où ces sentiments pourraient facilement relever d'une construction mentale, tout aussi abstraite, destinée à masquer un triste constat : la prise de conscience trop tardive que l’on a toujours considéré que soi dans le vie. /// Votre personnage ne m’a donc pas beaucoup touchée, mais j’ai apprécié de passer une heure en votre compagnie grâce à votre style, au format court. /// Merci pour ce partage très actuel (qui devrait finir par surfer sur la vague, ce que je vous souhaite ;-)), et bonne soirée. Amicalement, Michèle
Publié le 06 Mai 2024
3
@Alhéna Skat Après vous avoir lue, chère Alhéna, je me plais à imaginer une société où les hommes, promus à la noble fonction de votre inconnu, auront suffisamment de disponibilité, de volonté et d'humanité pour traiter les comportements déviants en amont de sanctions trop souvent émises sans connaissance de cause... Je ne suis pas très claire, mais comme vous pouvez en juger, il n'est pas facile de commenter votre nouvelle sans spoiler ;-). /// Merci pour ce partage porteur d'espoirs en un monde meilleur auquel il nous faut croire, ne serait-ce que motivés par l'intinct de survie. Je vous embrasse, sans oublier jan, que je félicite une fois encore pour ses élégantes mises en page et couvertures. Bon week-end à vous deux, Michèle
Publié le 04 Mai 2024
3
Bonsoir @Caroline Chanoire. Je ne regrette pas d'avoir été confiante une fois de plus en l'avis de l'ami @galodarsac ;-). /// Beaucoup de finesse dans cette nouvelle. On termine sur une note triste, sans s'être fait d'illusions pour autant. Qui ignore encore que l'humain est ainsi fait qu'il se prévaut d'une supériorité de pacotille dès que l'occasion lui en est donnée, voire même quand ce n'est pas le cas ? /// Vous écrivez bien, aussi ne serait-il pas inutile de valoriser votre plume en justifiant votre prose ; en soignant la ponctuation aussi. /// Merci pour ce partage sincèrement apprécié et bonne soirée. Amicalement, Michèle
Publié le 30 Avril 2024
3
Bonjour @Emmanuelle de Verdilhac. J’ai consacré une fin de soirée à chacun des protagonistes de votre témoignage, afin de mieux m’imprégner de leurs incroyables parcours et leur accorder le temps de réflexion qu’ils m’ont individuellement inspiré. /// « On ne peut plus dire qu'on ne sait pas ce qu'il se passe », écrivez-vous très justement. Pour autant, nombre de nos congénères préfèrent l’ignorer. Sentiment d’impuissance ou (et) de culpabilité ? Manque de courage, égocentrisme ou (et) simple absence d’affect, d’empathie ? Pourtant, comme vous le soulignez, un semblant “d’éveil” s’est produit lorsqu’il s’est agi d’accueillir les Ukrainiens, alors ?… Enfin, je dirais que le pire est évité tant qu’en majorité, on ne fait que rester sourd et inerte, mais constater que l’on flirte majoritairement, dans nos pays démocratiques, avec les partis politiques de l’extrême, revêt un caractère beaucoup plus inquiétant à mes yeux. /// "Le totalitarisme est un système fondé sur la peur, la terreur et la violence...la peur est insidieuse. On s'adapte facilement et souvent inconsciemment à la peur comme mode de vie, mode d'être. La peur est une habitude", témoignait Aung San Suu Kyi, alors comment ne pas redouter le pire lorsque, dans un pays libre, les opinions se radicalisent ? /// Tous les parcours de vos héros m’ont profondément touchée. Le courage et la détermination d’Arba et Gibril, les Darfouri, m’ont épatée. J’ai beaucoup appris de celui de Liliana, la Rom, hébétée par le caractère récent de certains drames totalement passés sous silence, tant ce qui entoure cette communauté est peu médiatisé. Quant à Thandar, la Birmane, et Pedro, le Mexicain, comment ne pas les saluer ? Comment ne pas tous les saluer pour avoir su dépasser leurs peurs ? /// "J'ai appris que le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de la vaincre", Nelson Mandela /// Merci pour ce passionnant, cet émouvant, ce courageux partage (oui, courageux d’écrire sur ces sujets sans pratiquer la langue de bois... et trop rare ;-) !). Bonne continuation. Amicalement, Michèle
Publié le 28 Avril 2024
3
@Alhéna Skat Merci pour cette adapatation en prose et sa constante très jolie présentation, chère Alhéna. Vous êtes prolifique, et votre fibre créatrice n'a pas pris une ride. Cela me ravit ;-). J'espère que vous allez bien. Enfin, mieux... Prenez grand soin de vous. Je vous embrasse, Michèle PS : Bises à sir Jan aussi.
Publié le 27 Avril 2024

Pages