Et si le sexe n’était qu’un prétexte ?
Un langage brut pour parler du manque, de la peur, de la fuite et de la liberté.
Journal d’une insatiable lucide est le récit à vif d’une femme noire, libre, drôle, affamée de corps, de sensations… et surtout de vérité.
À travers ses aventures sexuelles, ses doutes et ses silences, elle explore ce fragile équilibre entre désir assumé et peur de l’attachement.
Entre confidences crues et tendresse inattendue, ce journal intime n’est pas qu’érotique.
C’est un portrait intérieur, lucide, féroce, profondément humain.
Ce livre est noté par
@BlackFullMoon, j'ai toujours trouvé un enrichissement à lire d'autres auteurs dans le même genre quand leurs écrits sont de qualité, ce qui est le cas du vôtre. Chaque auteur a son style.
Pour la couverture, il me semble que vous pouvez juste lui apporter clarté et luminosité, ce que permet en principe le logiciel approprié.
Cordialement
MC
@Emil Elza
Bonjour Emil,
Merci beaucoup pour ce joli retour et pour avoir pris le temps de me glisser ces quelques mots. C’est toujours un plaisir de savoir que ces pages trouvent leur écho chez ceux qui les lisent.
@Michel CANAL
Bonjour Michel,
Merci pour ce retour détaillé, et pour avoir pris le temps de vous plonger dans mon Journal. C’est toujours précieux, et encore plus venant d’un auteur qui connaît la difficulté de cet exercice, alors savoir que vous vous y êtes aventuré et en avez apprécié les contours me touche beaucoup.
Je suis heureuse que le mélange de fluidité, de crudité assumée et d’humour ait trouvé sa place dans votre lecture. Quant à la couverture… vous avez raison : il y a encore matière à affiner l’écrin autour des mots.
Merci encore d’avoir ouvert ces pages et de m’y avoir laissé votre trace.
@BOLOPION Michel
Bonjour Michel,
Merci beaucoup pour votre retour. Je suis ravie que l’écriture vous ait paru fluide et naturelle, c’est exactement ce que je cherche à transmettre à travers ce journal intime. Votre commentaire me touche et m’encourage à poursuivre dans cette voie.
@Vanessa Michel
Merci pour votre lecture et pour vos commentaires profondément encourageant.
J’ai été très touchée que vous parliez de pépite et encore plus par ce que vous soulignez : la justesse des émotions, la pudeur dans les fuites, la variation des tons. Vous avez vu ce que j’espérais faire sentir. Ça compte beaucoup.
Concernant la fameuse phrase (p.27), vous avez peut-être raison : c’est peut-être un point d’accroche trop direct, trop “déclaratif” dans un texte qui préfère d’habitude suggérer. Je le note et j’apprécie que vous l’ayez relevée avec autant de tact.
Quant à la catégorie… la question reste ouverte dans ma tête. À voir où il respire le mieux.
Et promis : les astérisques vont disparaître. La chatte mérite d’exister en toutes lettres.
Merci encore.
@Zoé Florent
Bonjour Michèle,
Vous dites que ce commentaire est un détail… mais pour moi, il est bien plus que ça.
Commentaire furtif mais ô combien précieux. Vous avez toujours cette manière délicate de dire les choses franchement et je vous en remercie.
Sur la catégorie, je vous entends et j’écoute aussi les autres voix qui l’ont évoqué. Je crois que j’ai tenté de brouiller un peu les pistes, de peur qu’on réduise le texte à son érotisme. Mais peut-être qu’il n’a pas besoin d’être “sauvé” du genre érotique, justement. Peut-être qu’il y a là un endroit à réhabiliter, à enrichir, à faire vibrer autrement. Je vais y réfléchir encore un peu… mais j’aime que vous me fassiez douter avec autant de tact.
Quant à la suite : vous avez raison. Je ne veux pas écrire “pour écrire”. Il faudra que quelque chose bascule, évolue dans le rythme, dans la voix, dans la faille. Sinon, le journal perdra sa vérité.
Et pour le mot “chatte” : noté. Vous avez raison là aussi. À quoi bon la pudeur, quand le reste est si nu ?
Amicalement,
BlackFullMoon
@Bérénice Patatras
Eh bien, eh bien… moi aussi, je suis ravie que les éloges arrivent.
Quant à votre “magnifique connerie” je crois qu’elle est au contraire plutôt lucide. Oui, le sexe est un prétexte. Ou plutôt : un langage. Un moyen de parler de la peur, du manque, du désir d’être vue, de l’envie de disparaître… Un langage cru, certes, mais jamais gratuit (en tout cas, je l’espère).
Et j’aime profondément que ce texte suscite des lectures aussi différentes : certaines veulent plus de psychologie, d’autres moins ; certaines le veulent érotique, d’autres le revendiquent “au-delà”. Moi, je prends tout. Je prends les contradictions. Je les aime. C’est ce que j’essaie d’écrire, après tout.
Merci encore pour votre lecture et votre exigence tendre.
Quant à la suite… elle est en gestation.
@ Catalina Viti
Bonjour, et merci infiniment pour ce commentaire aussi précis que réjouissant.
Vous avez mis des mots sur un équilibre que j’ai longtemps cherché à atteindre : cette juste distance entre le regard, le ressenti, et l’écriture. Ni trop près, ni trop loin. Ni démonstratif, ni froid. Votre lecture me touche profondément.
Concernant la catégorie, votre remarque m’interpelle d’autant plus qu’elle vient d’un vrai regard amoureux du genre érotique, comme j’aimerais en lire plus souvent.
Je comprends votre frustration : il y a peu de textes exigeants dans cette catégorie, et peut-être ai-je eu tort de vouloir “corriger le tir” au risque d’effacer une part essentielle de ce que ce journal contient.
Je vais y réfléchir. Peut-être que l’érotisme n’a pas besoin d’être justifié par un “plus” psychologique. Peut-être que le corps parle déjà suffisamment.
Merci, surtout, pour la justesse de votre regard. Il me donne envie de continuer à écrire librement et sans excuses.
Ps: Chère autrice
@Zoé Florent
Merci beaucoup, Michèle, pour votre lecture attentive et vos mots justes.
Je suis ravie que vous ayez apprécié le ton, la forme et le traitement direct du désir.
Votre remarque sur l’aspect psychologique me parle et elle tombe juste.
J’ai choisi de rester dans une exploration en mouvement, presque “au présent du ressenti”, sans trop décortiquer encore les racines de ses peurs. Mais elles sont bien là… et je réfléchis en effet à une suite plus introspective.
Merci encore pour votre regard sensible. Et surtout, pour avoir pris le temps de le partager.
@Bérénice Patatras
Franchement, je ne sais pas ce qui me touche le plus : votre enthousiasme débordant, vos compliments inattendus… ou ce coup de pied bienveillant dans les neurones !
J’entends votre frustration, et je suis sincèrement touchée que vous défendiez mon texte avec autant de ferveur.
Je comprends ce que vous dites sur la couverture, et j’ai bien conscience des raccourcis qu’elle peut susciter.
Mais Journal d’une insatiable lucide, c’est un titre qui m’est venu comme une évidence, parce qu’il dit tout, pour moi.
Ce journal n’est pas qu’érotique. Et vous l’avez compris, au-delà des mots, au-delà du rose.
Vous avez perçu ce que peu prennent le temps de voir : un récit de contrôle et de faille, de liberté et de peur.
Un portrait intérieur, plus qu’une “bacchanale foutrière”, comme vous l’avez si bien formulé.
Cela dit, vous avez raison : la catégorie “érotique” ne suffit peut-être pas à en traduire l’ensemble. Je réfléchis à une autre manière de le présenter, pour qu’il puisse aussi rencontrer celles et ceux qui savent lire au-delà des apparences.
Merci, vraiment, pour votre regard passionné et exigeant.
Ça donne envie de continuer. Et d’oser plus encore.
@ Bérénice Patatras
Merci infiniment pour ce commentaire aussi fin que bienveillant.
Pour être honnête, vu la teneur très explicite de certains passages, la couverture rose s’est un peu imposée d’elle-même… Mais si elle attire les regards, et que le texte retient ceux qui savent lire au-delà, alors je suis comblée.
Je voulais surtout explorer le désir dans ce qu’il a de plus vrai, cru, drôle, parfois tendre, sans détour, mais avec sincérité, lucidité… et un peu de style, si possible.
Vos mots me touchent énormément. Si l’écriture vous a parlé au-delà du plaisir, alors j’ai atteint mon but. Merci encore, vraiment.