Ce livre mis en avant dans la rubrique « livre le + », l’est d’abord pour la qualité du texte.
Ensuite, pour la qualité du commentaire de Fanny Dumond.
Voilà un exemple de la raison d’être de monBestSeller.
Le commentaire de Fanny Dumond suggère à Christine Rossier, auteur de ces très belles lignes, de modifier sa mise en page pour la rendre plus lisible. Bouteille à la mer, l’auteur ne l’ayant sans doute pas consulté…
Quelle contradiction de proposer ici ses textes et ne pas être là pour échanger, partager avec ses lecteurs.
Comme dans ces quelques lignes de l’auteur : « Je suis ici pour jeter mon âme et mon corps en bas de ce pont, et en réfléchissant à la manière de passer l’obstacle, la crainte de tomber me paralyse. Quelle drôle d’antinomie : avoir peur de tomber quand on veut mourir c’est absurde. Avoir peur de la chute tout en la souhaitant, c’est une contradiction... ».
La bouteille à la mer, c’est une contradiction.
Deux histoires nées de rêves.
> L'amour peut-il survivre à la folie ?
> Un grand-père est-il forcément un héros ?
Je me souviens du jour où je suis tombée amoureuse d’Albert Camus... C’était à la télévision. Un dimanche. Il pleuvait, et sa voix me coulait sur le cœur comme une délicatesse confortable. Il était assis, bien calé dans un fauteuil. Un journaliste fade, sans envergure à ses côtés l’interviewait. Considérant la question, laissant peu de temps à sa réflexion pour être belle et efficace, il marquait un silence, puis répondait de manière subtile. L’érudition éclatante et triomphante dans un calme posé et puissant. Ce que l'écrivain évoquait me semblait de la plus haute importance et de la justesse la plus élevée. Soudain, il devenait nécessaire de l’écouter et de ne manquer aucun de ses mouvements.
Christine Rossier a écrit quatre livres qui ont été publiés et qui lui ont donné l'espoir de gagner une place dans ce monde du paysage des mots. Après avoir connu les effervescences, l’auteur a rencontré le doute, mais n’a pourtant jamais cessé d'écrire.
J'aime beaucoup le staccato de vos phrases, tantôt courtes, tantôt longues. La première partie, le Printemps, me rappelle " Le temps d'un soupir " d'Anne Philipe, épouse du grand comédien Gérard du même nom. Elle se suffirait presque à elle-même, car j'ai un peu moins accroché à L'hiver et à la fin que vous nous proposez, un peu trop pathos à mon goût et tirée par les cheveux de l'amoureux plein de remords et qui n'a rien vu venir.
Permettre cet échange entre auteurs et lecteurs, c’est la raison de monBestSeller.
J'ai un peu de mal avec Camus ?
Bonsoir@monBestSeller et à toute la communauté.
Je suis interloquée, estomaquée et pour tout dire fâchée de voir que cette personne qui ne m’a pas répondu depuis le 11.06 et qui ne participe pas à la vie de la communauté ait pu obtenir une mise en avant de ces nouvelles grâce à mon seul commentaire. À noter que je ne fais pas partie du club des lecteurs. Comme vous l’aurez remarqué, je commente mes coups de cœur pour des auteurs qui me sont totalement inconnus. Son premier texte m’a interpellée et bien que je sois malvoyante, je l’ai lu et commenté sans compter mon temps qui n’est pas élastique et comme on dit « un petit merci n’écorche pas la langue ». Je suis d’autant plus fâchée que ma belle entente avec @Philippe De Vos semble déranger. Il nous a offert durant plus de 6 mois de décembre à juin son dernier feuilleton écrit au fil des semaines avec sa méticulosité, son amour du travail bien fait, quitte à mettre à la corbeille 3 ou 4 fois son travail de la semaine avec l’angoisse de ne pouvoir honorer ses rendez-vous dominicaux. Si je l’ai commenté chaque semaine, c’était pour l’encourager à le poursuivre et surtout parce que j’aime beaucoup ces exercices de synthèse de texte qui m’enrichissent dans mon écriture, c’est du gagnant-gagnant et aucunement de l’entre-soi. Aussi, je suis plus qu’étonnée qu’il n’ait pas eu un petit cœur pour ces longs mois de labeur pour nous offrir gratuitement de bons et savoureux moments d’évasion de ce monde que je n’ai jamais compris et ça ne s’arrange pas avec le temps ! Je trouve que pour le coup, c'est totalement injuste, car cette auteure a balancé sa bouteille à la mer, qu’elle s’en désintéresse et je ne comprends pas pourquoi elle aurait une reconnaissance sur notre site dit communautaire. Ce n’est pas la première fois que cela m’arrive et je pense qu’avec mes plus de 6 100 points sur mes compteurs, je vais en rester là et m’occuper davantage de mes écritures. Je souhaite un bel été à tout le monde. Bien cordialement. Patricia/Fanny