Cruciale souplesse de l’auteur en bêta-lecture

Les commentaires n'ayant plus rien à voir avec le sujet de la tribune, nous les bloquons.

Merci pour cet article très intéressant. Il frappe directement à l'égo et nous teste. Cette flexibilité c'est clairement de l'ouverture face à une envie de devenir meilleur.

@ émilie bruck
Personnellement, encore une fois, j'apprécie vraiment nos échanges. Vous êtes une plume, avez une signature et un point de vue même si je ne le partage pas, vous l'avez remarqué, dans toutes les grandes largeurs (plutôt en longueur, car je ne suis pas non plus, c'est vrai, très synthétique, hm..). Vous le comprenez aussi parfaitement, ce n'est pas non plus une caution ou un blanc-seing pour vous permettre de dépasser les limites du respect qu'impose le bon sens (et qu'avait très bien définies hugues) tant avec les membres historiques qu'avec le premier auteur venu.
Vous avez fait une belle tribune et être capable de faire des commentaires sensés. Vous devez continuer dans cette voie et utiliser votre plume à bon escient.
Je ne suis pas d'accord non plus avec vous sur le fait que vous relanciez, par moments, on ne sait pas pourquoi, Michel ou Zoé sur des trucs anciens. Ça ne sert à rien. Enterrez la hache de guerre et laissez la là où elle est.
On attendra par contre un peu pour fumer le calumet de la paix si vous voulez bien.
Allez.. hop.. on passe à autre chose... j'ai envie de lire des trucs intéressants tout en rigolant moi...

@Michel CANAL
Votre commentaire à mon endroit arrive juste au moment où je m'amusais bien..
Pourquoi faut-il toujours un rabat-joie ?
Grrr... bon.. je veux bien admettre que je vanne un peu trop à tour de bras (avec, de temps en temps, certes, des flops étourdissants) mais, comprenez Michel que je m'amuse. Entre quelques saillies, vous pourrez lire aussi, je le crois, des échanges intéressants sur le fond, à moins que vous ne viviez tout qu'à travers votre propre expérience, ce qui est logique mais pas objectif. Car votre ressenti n'est absolument pas le mien. Comprenez-bien que ce que peut me dire Émilie m'amuse et c'est comme cela que je le prends. Je dis bien ce qu'elle ME dit. Après, si ce qu'elle VOUS dit ne vous amuse pas, que cela vous atteint, vous ridiculise, vous berne ou vous moque au point que vous en ressentiez le besoin l'un et l'autre d'en tenir une comptabilité réciproque depuis 1853... et de nous l'exposer... qu'y puis-je ?
Je ne suis là, certes, que depuis 2020 et même si je n'ai pas votre expérience, je ne suis pas non plus un puceau en la matière. J'ai déjà maintes fois été dépucelé par Émilie et ses moults visages, dès mon arrivée; dès mon premier livre. Mon approche à son endroit est simplement différente de la vôtre. Je préfère aller affronter le contradictoire, même sur son terrain, plutôt que de faire l'offensé ou l'autruche. Est-ce parce qu'elle n'a jamais avec moi franchi les limites (que je suis parfaitement capable de discerner, je vous rassure) ? Sans doute. Est-ce que parce que j'ai suffisamment de confiance en moi, de qui je suis et de ce que j'écris pour me moquer moi même de ses moqueries ? Sans doute aussi. Est ce que parce que j'ai des amis qui me vannent au troisième degré et que je ne suis pas susceptible ? Sans doute aussi... etc... Bref. Notre histoire n'est pas la même et nous ne sommes pas fait pareils. N'est-ce pas aussi cette diversité auquel MBs fait appel ? Sachez l'apprécier plutôt que de vouloir formater tout le monde à votre histoire personnelle, votre vision, vos réactions.
En toute amitié et total respect.
Yvar

Merci @Hugues Cayzac. Avec toute ma sympathie. MC

@Michel CANAL Nous sommes d'accord.

@Yvar BREGEANT, je vous respecte en tant qu'auteur. Et si j'avais le temps et le courage d'être votre bêta-lecteur je le ferais volontiers.
Libre à vous d'accepter de vous faire berner et moquer par le troll en lui répondant en prêtant le flanc avec vos commentaires indigestes. Après tout, pourquoi pas se faire ridiculiser et dire merci ?
Ce que je dénonce surtout dans mon commentaire, si cela vous a échappé, c'est qu'au final, vu le nombre d'échanges soporifiques entre vous et le troll, assez malin pour vous en faire rajouter une couche chaque fois, cette tribune a perdu tout son sens... et cela est regrettable en plus d'être désopilant. À vous lire tous les deux, si tant est que quelqu'un aurait ce courage ou cette curiosité malsaine (ou maso), on se croirait en "Absurdie" lors du concours annuel de logorrhées fantasques jusqu'à épuisement du vaincu.
Désolé de devoir tenter de vous ouvrir les yeux sur la manipulation du troll, mais peut-être plus tard m'en remercierez-vous... quand vous aurez compris sa rancoeur toxique.
Cordialement. MC

@Michel Canal
Si des échanges devaient être ôtés de cette tribune, et des autres, ce seraient les échanges où il est évident qu'il y a une réelle animosité entre émil(i)e bruck et d'autres auteurs, dont vous.
Ce n'est absolument pas mon cas.
Pour ma part, je ne vis pas ses propos comme une agression car 1. ils restent contenus et 2. ils ne me blessent pas. Je peux cependant parfaitement comprendre que quelqu'un d'autre puisse se sentir blessé auquel cas il devrait pouvoir suffire, en effet, de faire remonter l'information au service modération pour que cela cesse.
Je considère, pour ma part, qu'émil(i)e représente un point de vue, certes, excessif quant à la nécessité, par exemple, d'être capable de respecter scrupuleusement les règles du français, mais c'est un point de vue, qui se doit d'être traité plutôt qu'ignoré et qui n'est pas nécessairement hors sujet de cette tribune. On doit pouvoir en discuter avec elle/lui et, pourquoi pas ?, en se vannant si le cœur nous en dit, pourvu que ce soit sans acrimonie car celle-ci se ressent et faire fuir le passant.
Je ne me laisse donc pas "entraîner à lui répondre" pour reprendre votre formulation.
Je suis doté comme vous de libre-arbitre et je l'exerce comme je l'entends, en l'occurrence, avec réel plaisir, avec l'intention de faire raisonner et de convaincre et de la/le gagner à une vision des choses et des interventions plus mesurées.
Vous me direz qu'avec elle/lui c'est peine perdue, je sais, mais c'est votre point de vue.
Il faudrait par contre qu'Emil(i)e arrête, c'est vrai, de vous chercher et de vous mentionner ainsi que Zoé par exemple, de manière inopportune, car ceci suscite irrémédiablement et fort logiquement vos réactions ce qui donne alors lieu à des échanges très tendus qui, pour le coup, dérangent et n'ont pas du tout leur place ici.
Yvar

@mBS,
« Donner son texte en bêta-lecture est loin d’être une expérience anodine pour l’auteur. Tout est affaire de curseur… » est l'objectif de cette tribune, signée @Sergent Garcia, dont le contenu devrait être très utile aux auteurs de mBS concernés… et à leurs lecteurs curieux de s'y reporter.
Mise en ligne le 5 septembre, faut-il se réjouir de son audience au vu des 95 commentaires (à l'instant "T"), ou déplorer — une fois encore — que le débat, heureusement riche de quelques commentaires sensés, argumentés, non polémiques, ait été accaparé, pollué par le troll de service avec 34 commentaires (soit plus d'un tiers de l'ensemble des commentaires de 14 intervenants).
Déplorer aussi que quelques auteurs se soient laissé entraîner à lui répondre, à entrer dans son jeu, tout en étant l'objet de sa moquerie à la manière des marionnettes du théâtre de Guignol.
Qu'en pensez-vous ?
Que pourrait en déduire un nouveau venu qui voudrait trouver matière à réflexion au travers des avis en ligne ?
Au final, c'est le spectacle désolant de successions de logorrhées indigestes, de joutes stériles, de règlements de comptes dans lesquels le troll met comme à son habitude un point d'honneur à être le dernier à ajouter son grain de sel, quitte à être hors sujet.
Les tribunes qui devraient donner lieu à des échanges constructifs mais qui aboutissent à ce spectacle désopilant, affligeant, doivent interroger sur la nécessité d'une modération. La liberté d'expression, pour être bien comprise, ne doit pas dans les débats et les commentaires de mBS, s'inspirer des pitreries irrespectueuses, indécentes, observées dans l'Hémicycle. Elle doit avoir ses limites.
Ceci est mon point de vue d'auteur présent sur la plate-forme depuis 2015, plusieurs fois victime et dénonciateur des agissements du troll aux nombreux pseudos et avatars au fil de ces années (couverts par l'anonymat*). Je ne pense pas être un cas isolé appelant à la régulation et à la modération pour que monBestSeller reste la 1ère communauté d'auteurs et de lecteurs solidaires. Où sont la solidarité, l'entraide, le respect fondant son ADN ?
Michel Canal
* Rappel des conditions d'adhésion de la CGU :
1. Vous déclarez et garantissez que :

(a) toute information fournie lors de votre inscription en qualité de Membre est exacte et complète ;
(b) vous actualiserez l'exactitude de telles informations ;
...

@émilie bruck
Mince, j'oubliais... trop de travail...
Pour le retour des copies corrigées l'adresse que vous devrez spécifier est : Yvar Bregeant / Emmanuel M. Palais de L'Elysée, 55 Rue du Faubourg Saint-Honoré, 75008 Paris
Pour encore mieux préserver l'anonymat, on m'a dit que j'ai une consigne dédiée à la gare saint Lazare. La nr 2027. Le code secret à taper est brigit1907.
Merci d'avance de garder ces informations strictement confidentielles.
Je compte sur votre discrétion.
Em..heu... Yvar.

@
émilie
bruck
Nan. Juste distrait. Très distrait même. Demandez à tous mes amis, vous verrez... C'est justement ce pourquoi votre qualité m'intéresse.
Sachez que si mon colis à votre intention ne connaît pas de retour à l'envoyeur, je peux vous renvoyer l'ascenseur en chuchotant votre nom à la direction de MBs pour que vous ne soyez pas seulement correctrice mais aussi rédactrice des FAQ. Ce serait une belle promotion non ? Alleeeeeez

@ émilie bruck
Naaann... ne me dites pas que c'est vous la dame de l'ancien kiosque à journaux à l'entrée à droite qui vend plus que des dicos ??!!

@ emilie bruck
Si vous dites qu'il s'agit d'une réalité délirante c'est donc que c'est sûrement vrai..
Sinon Merci pour le rappel "à l'envi". J'ai hâte de commencer notre collaboration. Je vous envoie les 700 pages du dernier livre sur quelle adresse ? ;)

Votre exemple de la poésie est très parlant en effet mais dans le sens contraire de ce que vous en inférez : remarquez que la poésie est avant tout une magie de l'esprit qui s'épanouit d'autant plus à l'oral, et qui peut être totalement décorrélée de la capacité de son auteur à écrire parfaitement. J'ai connu un jeune homme maghrébin d'une cité, qui se nourrissait de Baudelaire. Il me récitait tous ses poèmes par cœur à l'envie, sans savoir lui-même bien écrire. Il en avait capté l'esprit au point que lui-même s'exprimait souvent comme un poète. Je peux ainsi parfaitement m'imaginer un Cyrano, mal-né, malmené par la vie, mais qui se serait nourri de tous les mots possibles entendus, ou lus, même si avec difficulté, et qu'il aurait écrit encore plus mal, mais qui aurait pourtant été capable de les harmoniser et de les déclamer avec un génie inimitable. C'est cela le pur génie humain, capter l'essence, le sens des mots, leur harmonie ce qui va bien au-delà de leur orthographique maintien.

@Hervé Piolay @Yvar BREGEANT Veuillez pardonner cette facilité d'un copier-coller de mon commentaire adressé @Alban Paulh, mais le temps me manque :
Difficile de dessiner un pouce en lettres. Impossible d'employer le verbe plussoir ou plussoyer, puisqu'il file de l'urticaire à une grande majorité ;-)... Alors je valide, tout simplement.
Bonne soirée,
Michèle

@ émilie bruck
Il vous en prie (excusez, je suis frappé du syndrome d’Alain Delon)
Comme vous l'avez compris, mon propos n'est pas de renoncer, mais simplement de hiérarchiser les priorités. Le contenu vient d'abord, l’apparence ensuite. Le frisage du ruban d’un paquet cadeau n’est jamais que l’ultime étape.
Je suis d'accord avec Alban qui l'a très bien formulé, avec Hervé aussi (j’aime beaucoup leurs deux commentaires respectifs) et vous l'êtes aussi puisque, à juste titre, dans une précédente tribune, vous reconnaissiez que tout auteur, même analphabète au départ, parfaitement néophyte, pouvait, à force de travail, peu à peu être « dégrossi » pour finir, à force de travail, à force de bons conseils, parvenir à un excellent résultat. Le diamant n’est jamais que du charbon compressé. Il faut donc charbonner et sublimer la pression.
Vous le savez bien, si n’avaient été conservés que les premiers jets des livres ayant été des sans-faute, et leurs auteurs que des lauréats potentiels à une dictée de Bernard Pivot, vous éradiqueriez instantanément, de tous les rayons de toutes les librairies de toutes les bibliothèques, sans doute tous les livres, même les plus grands classiques.
C’est en toute fin, bien après l’écriture, que vient le temps de la relecture, de la correction grammaticale, orthographique… lesquelles, nous le savons bien, peuvent être déléguées (et elles le sont au sein des maisons d’édition) à des personnes dont c’est l’expertise, voire à des logiciels dédiés, donc par nature, sans conscience, sans esprit créatif, sans imagination, ce qui dit beaucoup de celles et ceux qui ne s’arcbouteraient que sur cette expertise-là.
Au fond, un critique qui ne jugerait un auteur que par ce biais-là, en ne s’appuyant que sur son expertise des règles de l’écriture, me donnerait le sentiment de faire face à un azperger, hyperspécialisé dans le domaine qu’il s’est choisi, avec de très hautes capacités de mémorisation mais étant malheureusement parfaitement incapable de communiquer, d’établir des relations sociales normales, voir même de comprendre le sens réel des textes qu’il/elle mémorise.
De quoi pourrait-il bien être le critique si la littérature n’ est avant toute chose que de l’émotion humaine retranscrite sur le papier ?
Voudrions-nous tomber dans ce piège ?
Je ne crois pas.

@Alban Paulh Difficile de dessiner un pouce en lettres. Impossible d'employer le verbe plussoir ou plussoyer, puisqu'il file de l'urticaire à une grande majorité ;-)... Alors je valide, tout simplement.
Bonne soirée,
Michèle

@ émilie bruck
Vous avez raison. Pour communiquer, il faut être deux. Tout dépendra si mon interlocuteur/rice voudra défendre sa langue comme une place forte, se sentant agressé(e), ou bien si il/elle sera prêt(e) à faire un petit effort d'acclimatation. ;)

@ émilie bruck and co
Je sais que je vais faire bondir les puristes hors de leurs chaises / fauteuils / rocking-chairs / déambulateurs, etc., mais, après m’être intéressé de très près à toutes les formes de langages écrits, il ne faut pas perdre de vue qu’avant même qu’une langue puisse exprimer une quelconque beauté artistique par sa musicalité intrinsèque, elle n’est toujours, avant tout, qu’une variation du langage dont l’objet est de communiquer, transmettre une information, une idée, des sentiments, des émotions… Et notre cerveau est ainsi fait qu’il est parfaitement capable d’en saisir le sens sans qu’il ne soit jamais besoin de répondre à des règles trop précises.
Prenez cet exemple :
Cuocuo, si vuos pvueoz lrie ccei, vuos aevz asusi nu dôrle de cvreeau. Puveoz-vuos lrie ceci? Seleuemnt 56 porsnenes sur cnet en snot cpalabes. Je n'en cyoaris pas mes yuex que je sios cabaple de cdrpormendre ce que je liasis. Le povuoir phoémanénl du crveeau huamin. Soeln une rcheerche fiat à l'Unievristé de Cmabridge, il n'y a pas d'iromtpance sur l'odrre dnas luqeel les lerttes snot, la suele cohse imotprante est que la priremère et la derènire letrte du mot siot à la bnone palce. La raoisn est que le ceverau hmauin ne lit pas les mtos par letrte mias ptuôlt cmome un tuot. Étonannt n'est-ce pas? Et moi qui ai tujoours psneé que svaoir élpeer éatit ipomratnt!
Pour notre cerveau, la primauté de l’intérêt, de la beauté, de la génialité va donc toujours, prioritairement, à l’idée, au concept énoncé(e) ; en l’occurrence, l’idée exprimée par ce test est juste intéressante.
A titre d’exemple, Léonard de Vinci pratiquait l’écriture inversée.
Ainsi, la beauté, la génialité que peut apporter une langue par la pure apparence prise par son mode d’écriture n’est, en vérité, toujours que bien secondaire.

Koua ? Yain problaime ? Sachet keu jeu suie toue joure au zagé.
Pourleu raiste, jeux plussoix.
Enfête, jeu ne vou kashpas keudeu çavouar keu vous zallé aitre ma bétalektrisse, jeux sé pa pourkoi (maime si cé vrémant trait gens tit 2 vouzaitre propozé spontanaimant) iliya kan maime kelkchôze ki meuh jaine, jesépakoua. Gé 1 peut peure du raie zul tas. Poux riais vou meuh rassuraie ? Jé tro peur keula mouaindre airheur litairère mantpèche daitre con pri (ou antre vouzémouà daître pri pour un c..)

Bonjour@Hervé Piolay Enfin quelqu'un de sensé avec un S (désolée, mais ce C dans le tableau me fait rigoler sur une tribune dédiée à la bêta-lecture ; personne ne l'a remarqué). Pratiquement personne ne lit les articles comme sur les réseaux sociaux où la majorité embraye en total hors sujet. Fanny, écrivaine du dimanche qui s'applique, apprend et admet bien volontiers ses erreurs. Raison de son inscription pour partager entre amateurs.

@ Hervé piolay
É bien moua je sui entiaireman dakkor avaik Émilie. Il lé absauluman nez c'est sert de respekter skru pu leuseman tou lé kod de lékritur é dela grammère pour trans maître son ydé
Si non, pairsone neut pour rat vous lire é conprendre ceke vous avaient voulu exprimait... ;)

@émilie bruck,
Quand on écrit (et c'est seulement dans les commentaires de cette tribune) :
— (publié le 07 septembre 2023) : "… Est-ce une faute frappe…"
— (publié le 09 septembre 2023) : "… vous prétendez… que vous n'avez pas pu en dépasser la première page… faisant référence à ma "Leçon des étoiles", en révélant que vous vous reconnaissez (c'est vous qui le dites) dans le brigadier Canule, vous faites la preuve éclatante que le mensonge n'est pas pour vous intimider, puisque ce personnage n'arrive qu'au terme de la chronique…" et que vous avez déjà oublié ce que vous avez écrit 2 jours plus tôt (publié le 07 septembre 2023) : "Brèfle, laissons-la à sa paranoïa, et n'évoquons pas le brigadier Canule, champion du monde tout-terrain de l'accord entre sujet et verbe…"
— (publié le 09 septembre 2023) : "… une chose est sûr…"
Primo : il n'ya pas de quoi vouloir jouer au donneur de leçons.
Secundo : un peu de modestie vous ferait le plus grand bien.
Tertio : vous répéter comme vous le faites finit par faire penser que la sénilité vous enferme dans un registre de plus en plus étroit. D'où mon inquiétude !

Bonjour Richard et Véronique, (@Hervé Piolay) et grand merci de poser votre question, laquelle est, en effet, fondamentale.
« Considérer l’écriture comme un loisir me permettant de développer de multiples capacités et compétences (pas seulement “ littéraires ”, mais aussi humaines, personnelles, etc.) ».
Écrire a de multiples répercussions sur l’auteur. Ce pourrait être l’objet d’un article, et même d’un essai ! Car le fait d’écrire mobilise chez l’auteur des ressources insoupçonnées. Tout est affaire d’implication, bien entendu, mais ces ressources peuvent être la lucidité, la persévérance, l’humilité, suivant comment l’on se positionne devant son texte. L’objectivité, le réalisme, l’humour, le détachement, l’aptitude à relativiser toute chose, à rire de tout, mais aussi la capacité à rêver, etc.
D’un point de vue humain et relationnel, cela peut être une formidable occasion de développer sa générosité, son altruisme, sa disponibilité.
L’écriture peut être tout cela. Et c’est ce « cela » que nous vous invitons à explorer, à ressentir, à partager.
Bonne continuation !
(pour le Sergent Garcia, actuellement empêché de répondre)

@émilie bruck, parano à ce point, je vous plains ! Savez-vous encore qui vous êtes et où vous habitez ?

@émilie bruck brève réponse car je dois partir...
Cessez de vous faire des illusions. Vos agissements sont si délicats que tous ceux qui s'intéressent de près ou de loin à votre chahut, @Hugues Cayzac et ma pomme compris, sont arrivés à la même conclusion.
Bon week-end !

@alban paulh

Que l'on se comprenne bien ! Je n'ai rien contre les retours de lectures, bien au contraire !
Car j'en ai profité pleinement, et j'en ai fait des centaines ; et même pratiqué la bêta-lecture (pas si bête que ça d'ailleurs).

J'ai dit que je ne commentai plus les livres qui ne m'ont pas séduit. Car je n'ai peut-être pas l'art et la manière de restituer les erreurs, difficile d'être dans les "Fifty Shades of Grey" , comme disent nos voisins anglo-saxons. Car commenter, sans blessé, est un art très, très, difficile.

@ toutes et tous
Allez on encourage Émilie pour sa grande souplesse et sa gentillesse ... allez Émilie allez Émilie alleeeeezz allez Émilie allez Émilie alleeeeezzz

@émilie bruck
Oui, je vais faire "botus et mouche cousue". Je n'avais rien d'autre à ajouter sur la Bêta-Lecture, de toute façon.

@ toutes et tous
C'est donc avec une grande joie que j'annonce à toutes et à tous qu'Emilie Bruck s'est gentiment proposé de rendre mon écrit moins imbit.... bip bip...
Elle est juste aux antipodes de ma pensée mais justement je trouve que c'est ça qui est bien.
Je serais assuré d'un résultat sans aucun affect comme l'a dit Catarina et qui nécessairement sera le plus objectif donc le meilleur.
Emilie, un grand merci ! A lundi !

@ Zoé Florent
Merci Zoé/Michèle pour ce retour plus rassurant.
Le fait est que cette personne se présente comme un historien s'efforçant de simplement retranscrire les faits tels qu'ils sont, afin de servir de support documentaire éventuel aux chercheurs, journalistes et travailleurs sociaux.
Disons que si les rares retours négatifs que j'ai pu avoir sur mes livres sont logiquement très souvent fonction, sur les réseaux sociaux, de l'idéologie à laquelle adhère leurs auteurs, idéologie dont ils ne se cachent pas, je me serais attendu à tout le moins de la part de quelqu'un qui s'efforce visiblement, en tous cas à ses dires, de rédiger des comptes rendus neutres à destination de la recherche, de ne pas tout de même pas faire une erreur de compréhension aussi massive.
De deux choses l'une : soit il a mal lu et s'est trompé, soit je n'ai pas été suffisamment clair.
Je pense qu'il vaut la peine que je le vérifie / fasse vérifier ce qui relève de ma partie avant de pouvoir affirmer sans me tromper si c'est de sa faute ou la mienne
Après, il est certain qu'une fois qu'il sera avéré que le sens à donner à ce que je dis est clair comme de l'eau de roche, je ne pourrai ensuite jamais empêcher quelqu'un de venir interpréter différemment mes écrits. Cette expérience perso. illustre, je crois, l'utilité, pour ne pas dire la nécessité d'un bêta lecteur car il est possible, n'ayant jamais vraiment le recul nécessaire, que le livre que l'on a écrit ne soit finalement pas le parfait reflet de l'image que l'on s'en fait.
Je referme la parenthèse car le but n'est pas de parler de moi mais j'ai trouvé que c'est un exemple concret qui illustre bien la tribune.
Pour une fois que je suis, presque !, dans le sujet, je crois que ça mérite d'être noté !
Bon week-end à vous aussi Michèle
Yvar

@Yvar BREGEANT pour avoir lu entièrement vos deux premiers opus, je vous rassure brièvement : j'ai le souvenir d'un souci omniprésent de nuance, de contre-balancements argumentés, en ce qui concerne le fond. D'un petit règlement de compte au droit des "sachants" en début du deuxième, certainement dû à de nombreux retours du genre "se présentant comme historien et me demandant mon cursus universitaire justifiant ainsi de l’autorité de mes recherches."
Les chapelles de l'érudition sont bien gardées, et rare sont ceux qui savent échanger, lorsqu'ils sentent leur fief menacé ;-).
Pour le reste, monsieur Blandre (avez-vous pris connaissance de son profil sur Wikipedia ?) vous aura peut-être lu de manière sélective. Le cas est fréquent, et, au final, le lecteur ne semble avoir retenu que ce qui l'arrange, apporte de l'eau à son moulin, tandis qu'il a zappé le reste.
Bon week-end, Yvar,
Michèle

@ tous
J'aimerais de mon coté illustrer le propos visiblement très juste de Clarisse affirmant que la Bêta-lecture est nécessaire car on peut être aveugle sur sa propre production, avec quelque chose d’un peu hallucinant pour moi qui m’arrive en ce moment :
J’ai été contacté fin juillet par courriel par un certain Mr Blandre Bernard, se présentant comme historien et me demandant mon cursus universitaire justifiant ainsi de l’autorité de mes recherches.
Je lui ai simplement répondu préférer l’anonymat et que mes recherches devaient parler pour moi.
Suite à cela, quelle ne fut pas ma surprise de recevoir de sa part, hier, sans prévenir, un résumé de mon livre « le déchiffrage du langage des cavernes » inséré dans un bulletin intitulé « mouvement religieux » de son association d’études et d’informations sur les mouvements religieux (AEIMR).
Me voilà donc objet d’un suivi en tant que mouvement religieux naissant ! Déjà en soi, cela m’inquiète, car comme j’ai pu l’exprimer dans livre en postface, je ne crée rien de nouveau je souhaite juste expliquer les deux grands systèmes de pensée religieuse qui se sont confrontés au cours du temps. Passons.
Ce qui m’interpelle encore davantage est que, visiblement, Mr Blandre a bel et bien lu tout mon livre, au regard du long résumé progressif et structuré qu’il en fait.
Mais là où ça coince sévèrement, c’est qu’il donne à mes propos le sens juste opposé de ceux que j’ai voulu exprimer dans mon livre. En effet, il stipule que, de mon point de vue, le récit biblique est la version de la fausse religion originelle tandis que la vraie version, la vraie religion originelle a été transmise par la mythologie préhistorique et antique.
Alors même que j’avais pourtant cru, les peu de fois où j'ai fait part de mon point de vue, juste exprimer le contraire !
Il dit par exemple en conclusion que j’ai rejeté le judéo-christianisme et que la vraie religion de mon point de vue est le système doctrinal transmis par la mythologie des hommes préhistoriques, système doctrinal qu’il qualifie d’ésotérisme, que mes travaux viseraient à redéfinir.
Aaaarggh ! je m’étrangle !
Même si j’ai fait (ou avait cru faire correctement au départ) mention de ce qui est ma conviction personnelle, le fait est que je m’efforce dans mes travaux de me montrer le plus neutre possible en déroulant en parallèle la vision biblique et la vision mythologique des mêmes évènements archaïques, afin de comparer ces deux systèmes de pensée antagonistes.
Pour autant, malgré cette neutralité nécessaire à une analyse scientifique, j'ai mes convictions qui sont chrétiennes ! N’ai-je donc pas été clair sur ce point et à ce point ? Ai-je été si neutre que l’on a pu autant se méprendre sur ce qui était ma conviction personnelle ? La facilité pour moi serait, immédiatement, de dire que Mr Blandre n’a pas du tout compris le sens de ma conviction personnelle, mais à qui la faute ? Peut-être ne me suis-je pas du tout et suffisamment clairement exprimé sur ce point, ce qui l’a induit en erreur.
Du coup, purée, je me dis que si j’avais eu un bêta-lecteur, ce genre de mésaventure ne me serait pas arrivée !
Ce qui me rassure quelque peu est qu’il dit que je suis contre la science, alors que comme je l'explique pourtant vraiment très clairement en postface, je ne suis pas contre la science, mais contre le corporatisme scientifique ce qui n’est vraiment pas du tout la même chose.
Ceci me laisse penser qu’il a peut-être lu quand même trop vite. Je vais donc lui envoyer une demande de rectificatif.
Mais quand même, le doute est semé : j’ai, en effet, surement grand intérêt à me faire relire pour voir comment il a pu être possible de m’attribuer des convictions voire des intentions aussi éloignées de celle qui sont les miennes.

Tout à fait d'accord avec toi @Kroussar : « Eh ben ! Il y a de l'ambiance !!! De tribunes en tribunes, le pugilat à distance continue ! Mais quand cesserez-vous donc ? »
Je me serais bien gardé d'en rajouter une couche, mais comme le troll (celui qui est responsable de la quasi totalité des polémiques, autant dans les tribunes que sur les pages d'auteurs en raison de sa rancoeur envers notre petit groupe d'auteurs déjà anciens qui pratique l'entraide, voire l'amitié et la solidarité entre auteurs, rare qualité qui le défrise) m'a cité, bien sûr en termes peu sympathiques, rances, sa marque de fabrique, je me devais d'intervenir.
J'en profite pour dire que je ne suis pas d'accord avec celles et ceux qui pensent qu'il n'y a aucun intérêt à laisser des commentaires… parce qu'ils seraient de "complaisance", donc mensongers. Pourquoi diable un commentaire à l'écrit d'un auteur connu, ami, serait-il seulement de complaisance ? Pourquoi faudrait-il se priver d'avis sincères d'amis ? Ce qui importe est le contenu, lequel fait suite à la lecture (contrairement au troll qui se prend pour un censeur en n'ayant lu que le synopsis et au mieux quelques phrases survolées ici ou là pour pouvoir mettre son grain de sel), le plus souvent à la bêta-lecture avec des suggestions de corrections. Bref (le troll aurait dit "Brèfle", signe de sa grande culture) : la marque de l'entraide gratuite, réciproque, de l'amitié.
Oui, il y a forcément des "clans" (je n'aime pas le terme qui a une connotation mafieuse), d'auteurs qui ont sympathisé au fil des années de présence à mBS, ou qui ont rivalisé, sans raisons concrètes ou par retournement de veste. La nature humaine est ainsi faite. On ne peut avoir lu tous les auteurs auto-publiés sur cette plate-forme (probablement près de deux milliers), ce qui ne nuit pas au respect et à la bonne opinion que l'on peut en avoir de manière non affirmée. Ne pas les commenter ne veut pas dire qu'on n'apprécie pas leurs écrits, ni que si on devait le faire le commentaire serait déplaisant. Tout est question de choix et de temps !
Je terminerai par un mot sur la bêta-lecture puisqu'elle est l'objet de la tribune. Action solidaire avant tout, elle se pratique sur deux segments :
— envers les auteurs amis sous forme de réciprocité ;
— envers de nouveaux auteurs qui s'adressent à nous parce qu'ils ont confiance, sans le crier sur les toits ; c'est dans l'ADN de mBS.
Merci @Sergent Garcia pour cette tribune, qui vous aura peut-être surpris par l'excès "d'étalage" qui en a résulté parfois.
Merci à toutes celles et ceux qui l'ont enrichie par des avis non polémiques.
MC (dit aussi le brigadier Canule par le troll)

@Catarina Viti Je serais plus nuancée que toi. J'ai pour ma part pris le parti de lire mes amis, entre autres, et de leur faire un retour objectif. La différence étant qu'avec eux, je peux signaler fautes, incohérences éventuelles, conseils en privé.
Si tu as le temps, je t'invite à lire l'actualité de mon profil où j'exprime les raisons de mes choix en matière de note et de commentaire.
Ton expérience t'a dicté une attitude, la mienne une autre, celle de Jean-Claude une autre encore. Chacun sa politique de commentaire et de notation. Chacun son taux de participation en matière d'entraide, dont je ne suis pas avare, même si j'en fais rarement mention.
Respectons nos choix, à partir du moment où ils sont bienveillants, ne nuisent à personne.
Bonne journée !
Michèle

« Combien est ridicule et étrange l’homme qui s’étonne de quoi que ce soit qui arrive en la vie ! », s’exclamait Marc Aurèle.
Ainsi, @Zoé Florent, nous sommes enfin d’accord !
Nous jugeons toi et moi, qu’il est inutile, voire nuisible, de noter et se faire noter par ses amis. Des personnes chères à nos cœurs, mais dont le jugement est précisément altéré par cette affection. En d’autres termes, à la fois juges et parties. Et nous-mêmes, aveuglés par nos sentiments, devenus incapables de lire sereinement et avec le détachement qui convient la prose de nos êtres aimés.
Et il me semble que cette distance, cette non-affectivité est précisément ce que mBS est censé procurer à ses membres, et ce que la plupart des membres déclarent être venus y chercher.
Tout va donc pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles.

@mBS Merci pour votre commentaire, et soyez assuré que je suis depuis longtemps consciente de la nécessité de payer les frais de fonctionnement de votre site. Des frais dont je n'ose imaginer le montant, vu le succès de votre plateforme.
Sinon, oui, je valide le propos de @Clarisse Balsamo, à savoir que les tarifs que vous proposez sont attractifs, car en dessous de ce qui se pratique dans la profession.
Je valide également les propos de @Catarina Viti et @Kroussar, à savoir qu'en tant que vieux de la veille, notre choix en matière de commentaires et de notation est le fruit dune longue expérience, d'où l'inutilité et le danger pour l'esprit participatif de critiquer ceux des rares lecteurs assidus que nous sommes.
Bonne fin de journée à tous,
Michèle

Idem @Kroussar. Je ne vois pas l'intérêt de laisser des commentaires de "complaisance". Je n'interviens plus que sur les textes qui me procurent de la joie, et dans lequel je ressens un potentiel (quitte à me tromper... sur le potentiel, pas sur ma joie).
Je ne vois pas non plus l'intérêt de se commenter/noter entre "amis". Mes amis savent ce que je pense de leur textes, nous en parlons en privé.
Nombre de textes que j'ouvre mériteraient de sérieuses révisions (comme le dit si justement @Clarisse Balsamo : il faut laisser aux autres le soin de nous relire), mais sachant par avance les crises de nerfs qui s'en suivent, je préfère passer à autre chose.
Ceci dit, il y a des auteurs (et leur nombre est loin d'être négligeable) avec qui des correspondances soutenues sont entretenues. Des correspondances de bêta-lecture, je tiens à le préciser.
Je pense que ce serait intéressant d'ailleurs de poser la question aux nouveaux auteurs 2023, par exemple : de quoi avez-vous besoin, que cherchez-vous, que trouvez-vous ?
Une suggestion à @monbestseller.

@Clarisse Balsamo

Totalement d'accord avec vous. Effectivement, je ne laisse également que des commentaires positifs, que pour les livres qui m'ont séduit...

Pour ce qui est de la Bêta-Lecture : oui, elle est ARCHI-NÉCESSAIRE. Qu’elle soit assurée par entr'aide (merci à mes Bêtas qui ont fait un travail extraordinaire !) ou par prestation commerciale. On ne voit fichtre rien dans son propre texte après l’avoir malaxé dans tous les sens et, le plus souvent, l’entourage proche ne voit rien non plus (ou n’ose rien signaler). Hormis le « bain de tiroir » qui permet de faire reposer la chose et de la ressortir un peu plus neuve des mois ou des années après, la Bêta-Lecture est une étape indispensable pour finaliser et/ou peaufiner un texte, bien qu’elle ne soit pas forcément agréable (quel que soit son adhésion au processus, ce n’est pas toujours facile de se rendre compte qu’on a merdé à plus ou moins grande échelle. Le tableau présentant les différentes réactions possibles me semble assez juste.)
Mais c’est aussi un des éléments de plaisir de l’écriture, de mettre ses mains dans le cambouis, de triturer la langue et d’élargir ses connaissances, ses compétences et son expressivité. En tout cas, cela l’est pour moi. (La publication chez un grantéditeur n’est pas mon graal personnel ; je tiens trop à la liberté de pouvoir produire des machins non immédiatement « commerciaux », pour le plaisir de les élaborer et l’agrément de certains lecteurs.)

Pour ce qui est des packs payants, je ne vois absolument pas où est le problème !! Avez-vous la moindre idée de ce que coûte un espace serveur et l’archivage des PDFs sur un site où l’on peut mettre ses livres gratuitement en ligne avec une visibilité assurée sur les moteurs de recherche ? Les coûts de fonctionnement de @mBS restent incompressibles…
Quant aux packs correction et diagnostic, leurs tarifs sont inférieurs à ce qui est proposé par divers sites et correcteurs professionnels… Franchement, de quoi vous plaignez-vous ? Y souscrire n’est en rien une obligation pour utiliser le site.

Pour ce qui est des commentaires sur les textes, je suis d’accord avec @Kroussar : après avoir exploré un peu le site, je vois qu’il est quasiment impossible de commenter avec des réserves, même infimes. Aussi je ne laisse de commentaires « étoilés » que sur les ouvrages qui m’ont vraiment intéressée. Dommage, certains pourraient bénéficier de Bêta-Lectures par ce biais et ainsi améliorer leur prose.

Et, pour les sélections Concours (une fois encore, je ne me sens pas personnellement concernée), le nombre de lectures et de commentaires sur un site ne correspond pas toujours aux exigences « commerciales » d’un éditeur. Étant donné le prix du papier, le nombre de sorties livresques dans l’année (ça donne le vertige), la visibilité plus que réduite en librairie et dans les médias, ne pensez-vous pas que les maisons d’éditions ont une marge de manœuvre très étroite et qu’elles doivent avant tout faire du profit ? Et donc se calquer sur « ce qui marche » ou « la tendance du marché » ? Parfois au détriment de véritables plumes.

À tous les auteurs qui nous rejoignent et s’interrogent sur le fonctionnement de la bêta-lecture.
Oui, mBS propose des services payants. (Un site coûte de l’argent. Le saviez-vous ?)
Oui, mBS, par le biais de ses auteurs membres, impliqués, collaboratifs, propose des services gratuits.
La bêta-lecture gratuite, autrement dit, l’ENTRAIDE entre auteurs est inscrite dans l’ADN du site. Certaines et certains d’entre nous s’y consacrent, y passent des heures, des jours, des semaines dans une atmosphère d’amitié et de considération réciproque.
Il ne tient qu’à vous, nouveaux arrivants, de susciter cette attitude.
À tous, nous souhaitons bonne continuation, bonnes découvertes, bienvenue sur un site qui accepte tous les auteurs, quelles que soient leurs capacités littéraires, et dont le but est de donner à toute personne amoureuse de l’écriture, un lieu de rencontre, d’échange, de partage, et parfois... d’amitié.
PS : Pour toute information nécessaire, conseil, renseignement, aide, soutien, etc., nous invitons les auteurs qui découvrent monBestSeller à utiliser l’adresse de leur courrier personnalisé de bienvenue.
Nous leur apportons dans la journée les réponses à toutes leurs questions.

Eh ben ! Il y a de l'ambiance !!! De tribunes en tribunes, le pugilat à distance continue !
Mais quand cesserez-vous donc ?

Par ailleurs, cette tribune présente un certain intérêt. Celui de faire la synthèse des trois comportements majoritairement rencontrés sur cette plateforme et ailleurs, notamment la troisième. C'est la raison pour laquelle, je ne critique plus aucun livre, pour ne point m'attirer les foudres des auteurs...

Bon weekend à toutes et à tous.

Message qui s'adresse à ceux qui se poseraient des questions sur ce qu'est, vaut, la bêta-lecture :
Bonjour @tous,
Pour les nouveaux-venus (ne bénéficiant pas encore du système d'entraide, qui a vu le jour entre auteurs qui fréquentent MBS de longue date) prêts à débourser pour améliorer leurs écrits et curieux de connaître le montant des différentes prestations, voici le lien vers les services proposés par cette plateforme et leur(s) prestataire(s) : https://www.monbestseller.com/services/tous
Cela leur donnera un ordre d'idée.
En cliquant sur les points d'interrogation au droit de chacune d'elles (à part les packs "Diagnostic", "Epub/mobi" et "Lecteur qualifié", qui renvoient sur la page d'accueil), ils pourront également juger des différents services proposés dans le cadre de ces prestations.
Bonne journée à tous,
Michèle

.@émilie bruck "M'sieur, m'sieur, la dame elle fait que m'embêter !"
"C'est pas moi, c'est toi qui es !"
Mais quel âge mental avez-vous donc ?
"calife à la place du calife"... Je la laisse d'autant plus facilement à votre poulain que je ne l'ai jamais briguée, la place du calife. J'aimerais juste qu'il ne profite pas de son privilège pour faire un tri drastique dans ses sujets, voyez-vous ; genre favoritisme ou règlement de compte à la tête du client.
Soyez aimable de lui faire passer le message à l'occasion.

@ Alban Paulh,
Alban,
Je confirme en effet avoir mis mes binocles un peu comme un cornichon et le terme « gogos » n’était pas le votre mais celui d’Hugues. Attendez… laissez-moi le temps de les réajuster un peu mieux oui… disons que, même si ces mots ne sont pas les vôtres, il se dégage tout de même en filigrane une forme de connivence entre vous et Hugues à préjuger des intentions des concepteurs du site et à être plus (Hugues) ou moins (Vous) sur la même longueur d’onde négative. A partir du moment où maintenant vous reprécisez votre pensée et que ce que vous dites a une orientation constructive, sans préjuger des mauvaises intentions et/ou de la bêtise de qui que ce soit, cela me va.
Je crois sincèrement qu’il serait toutefois naïf de croire à un processus de sélection totalement transparent. Regardez le comité du prix Goncourt. Ils se sont entre déchirés (ou était-ce pour le prix Nobel, je ne sais plus) car le président et les membres n’étaient pas du tout d’accord et d’aucuns ont menacé de claquer la porte. A partir du moment où vous réunissez une communauté de personnes, dont vous extrayez un comité de juges, devant statuer de surcroît sur des matières dont le jugement est par nature très subjectif… (il ne s’agit pas ici de dire le droit, par nature, non interprétable .. encore que .. bref...) vous aurez nécessairement des frictions, des clans fonctionnant logiquement par affinités, etc.. etc… des choses humaines quoi et une impossibilité de lecture du dit-jugement puisque c’est parfaitement subjectif.
Après, peut-être pourrait-on réunir et collecter toutes les suggestions d’améliorations faites par les auteurs sur une tribune dédiée ou à l’occasion d’une rencontre annuelle. Je suis certain que MBs est ouvert à tout ce qui pourrait améliorer le site, à condition toutefois de le faire en bonne intelligence.
Tiens, en parlant d’intelligence, je fais quoi, je retourne tout seul dans mon bocal ou bien ?... ;)

Amitiés

Yvar

@ émilie bruck
Vous m’aviez demandé ce que j’aurais pu déduire d’un cornichon dans un bocal…
Je vous avais répondu qu’il fallait, comme pour toute bonne interprétation, parvenir à contextualiser.
Voici mon extrapolation une fois donc pris en compte ce qui est dit en commentaires de cette tribune.
Partant du principe que nous avons toutes et tous une tendance innée et naturelle à être aussi stupide que des cornichons au niveau du bocal (=cerveau) si je voyais, après avoir lu ce que j’ai lu, un cornichon dans un bocal cela me ferait immédiatement penser qu’il est très con ce cornichon d’être tout seul dans son bocal.
Il vaudrait mieux, quand même, qu’il unisse ses forces avec ses copains/copines cornichons, qui sont, tout aussi bêtement, l’un et l’autre, tout(e) seul(e) dans leur bocal respectif, car, même chez les cornichons, j’en suis convaincu, l’union fait la force.
Et je dirais même plus, cette union est même absolument nécessaire chez les cornichons, encore bien plus que les lions, car les cornichons c’est bien connu n’ont absolument rien pour eux, aucun moyen de défense dans la jungle littéraire.
Notez au passage ce proverbe savoureux de Mark Twain : « le premier baiser qu'on obtient d'une femme est comme le premier cornichon qu'on parvient à extraire du bocal. Le reste vient tout seul ».
Bon. On est d’accord. Les pubères, ne dites pas ça à la fille que vous voulez séduire, cela ne va pas le faire.
Ceci dit, l’image est très parlante. Imaginez tous ces cons de cornichons maintenant soudés, épaule contre épaule ( ??) dans leur bocal, à tel point que personne ne parviendrait plus à s’en saisir. Ils auraient quand même l’air beaucoup moins cons…au point qu’en essaim on les trouverait presque brillants, animés d’une intelligence et d’une conscience collective insoupçonnées.
Donc, Emilie SVP arrêtez de pousser le bouchon trop loin depuis votre bocal parce que sinon vous allez faire péter une durite au bocal de vos congénères qui ne vous ont, au départ, rien fait ni dit de mal (je confirme que Zoé est une très bonne personne et vous n’êtes certainement pas exempte de tout reproche, vous le savez, alllleeeeezzz).
Il y a, à cet égard, un joli proverbe : « même le sage, sous l’oppression, peut se comporter comme un fou » ou « qui sème le vent… »
La réaction de Zoé est donc, somme toute, tout à fait naturelle. Et ne me refaites pas tout l’historique. J’en ai déjà assez avec mes arcanes préhistoriques et antiques à dénouer… j’vous jure..
Il me semble toutefois qu’Emilie, vous vous êtes bien remise en question (belle tribune, commentaires pertinents...) Donc continuez et évitez tant que faire se peut de vous relancer mutuellement. Je sais, c’est plus facile à dire qu’à faire. Je suis un parfait cornichon en la matière.
Le fait est que nous avons besoin de tous les cornichons.
Si l’en manque un, on va tous se faire avoir.

Ps :
Et ne vous inquiétez pas toutes les deux, on ne va pas vous mettre non plus à côté une fois toutes et tous dans le même bat…pardon… bocal ! En tous cas pas au début !

@Alban Paulh Vous m'enlevez le(s) mot(s) de la bouche... à propos du manque de transparence ;-).
Bonne soirée,
Michèle

@émilie bruck Ne vous réjouissez pas si vite, ou faites-le, mais sans déformer les propos de @Yvar BREGEANT dans le but de vous en servir contre moi.
Votre tentative d'inversion des rôles me semble peu convaincante, tant elle repose sur du vent.
Depuis la mise en ligne de mon roman "Ange et son nouveau monde", vous n'avez eu de cesse de me harceler, de m'insulter sur mes pages, celles des autres auteurs, sur les tribunes, sans que j'aie fait quoi que ce soit pour vous chercher. Alors soyez gentil de cesser de me harceler, à défaut de vous montrer capable de m’ignorer.
Tout cela vous rend peu crédible dans votre rôle de victime.
À toutes fins utiles, je précise que je n'ai rien à voir avec d'autres auteurs qui vous auraient insultés après que vous les avez insultés. Je déplore que vous réfutiez un principe universel que j'ai pourtant essayé de vous faire toucher du doigt sur la première tribune de Norin Antall : "Est-il si difficile pour vous d’admettre qu’à agresser continuellement, il soit normal de vous faire parfois agresser à votre tour ? D'accord, vous avez la comprenette laborieuse, mais tout de même : n’est-ce pas le b.a-ba des relations humaines ?"
Enfin, si vous souhaitez savoir ce que je pense de votre dernière mise en ligne, dans laquelle, une fois de plus, vous me cherchez, ainsi que Michel Canal et Norin Antall (je suis surprise d’ailleurs : n’avez-vous pas omis une autre de vos têtes de Turc ;-) ? ), je vous invite à consulter l'actualité sur mon profil.
Pour conclure, voici le copier-coller d’un autre commentaire que je vous ai adressé sur la deuxième tribune de Norin Antall : "Vous pensez-vous capable de m’ignorer, tout comme mon bêta-lecteur, tout comme mes écrits ? L’un comme l’autre en sommes capables, si vous ne venez pas nous chercher, alors pourquoi pas vous ? Il y a de la place pour tous dans notre communauté d’auteurs, rappellent régulièrement les gestionnaires de cette plateforme ; ce "tous", Michel et moi en faisons partie, ne vous déplaise."

@émilie bruck
J’attire simplement votre attention que vos précédentes conclusions ne font que faire écho à la mienne : quelques dénigrements de quelques personnes sur une tribune vous conduisent à une généralisation, bien plus excessive, en mettant tout de go dans le même sac l’ensemble de vos congénères. Ceci me rappelle que vous m’aviez dit être misanthrope…
Mais bon, peut-être n’êtes-vous seulement qu’agoraphobe ? Car cette page (comme les précédentes) est, oui, bien un microcosme de l’agora démocratique et républicaine où tout le monde est libre d’exprimer un avis contraire et où il apparaît juste impossible, d’y entendre raison.
Se dégage alors ici comme en politique systématiquement la nécessité d’un Périclès (Antall ?? un régulateur MBs ??) d’un homme, oui ! providentiel, qui viendrait botter le cul à tout ce petit monde pour remettre de l’ordre, un Zorro (que Sergent Garcia, l’auteur de la tribune, appelle sans doute aussi de ses vœux) qui ne sera jamais rien d’autre au final qu’un énième roi déguisé, celui-là même dont la République avait justement tant voulu se débarrasser…
La boucle est bouclée et l’on voit bien que l’on tourne en rond sans fin, sans résultats.
Je sais, comme vous, j’extrapole, mais suis-je si loin de la vérité ? Après, pour l’interprétation que l’on pourrait donner à un bouchon dans un bocal, je vous le promets, je vais y réfléchir avec soin (il faudrait juste me contextualiser un peu plus la chose, donnez-moi SVP plus de détails).

Je ne peux pas non plus ne pas relever qu’étrangement, s’opère dans cette page un étrange retournement de situation ou celle-là même qui avait pour habitude de manquer de respect aux autres est celle qui se comporte, pour l’instant, le mieux, tandis que ceux qui la/le vilipendaient hier pour cette même attitude finissent par l’imiter.
Je dis cela neutre comme un Suisse, sans aucun parti-pris(!) en m'efforçant d'être le plus objectif possible.
Ainsi, Alban (@ alban paulh), du temps où vous étiez en tête du classement, je vous avais alerté sur votre page du caractère biaisé de ce classement. Maintenant que vous l’avez assimilé, je trouve que c’est un manque de respect de votre part de venir ensuite qualifier de gogos toutes celles et ceux qui font le choix de payer une mise en avant.
Il faut, je pense, que vous raisonniez avec un peu plus de recul et de sérénité au cœur si tant est que vous ayez bel et bien transpercé le voile de la Maya et atteint la réalité ultime.
La première est que nous ne sommes personne ici-bas pour juger les mobiles de qui que ce soit, en l’occurrence, ici même, les créateurs du site
La deuxième, plus terre à terre, est que nous vivons dans un système ou l’argent est le nerf de la guerre. Il est le nerf de l’indépendance, même littéraire. Voyez comme les journaux et les éditeurs par manque de surface financière se font peu à peu racheter perdant ainsi leur ligne éditoriale indépendante. Donc gagner de l’argent, suffisamment, est d’un point de vue strictement rationnel, une nécessité pour être autonome et indépendant, pour, à minima faire entendre sa voix. Malgré votre amour sincère pour les animaux, je ne pense pas que vous en fassiez, pour autant, de votre côté, une pratique philanthropique (Auquel cas, je viens vous voir, car ayant quelques lointaines racines auvergnates, et vu le prix que cela coûte, je vous assure que cela m’intéresse ;))
Le troisième est que tout travail mérite salaire. Quand bien même les créateurs du site gagneraient de l’argent ce n’est que naturel et un juste retour des choses. Et cela ne dit rien, tout comme pour vous, de leur motivation profonde. Le fait d’avoir un business plan, un modèle de rentabilité qui va ensuite se décliner en différents types d’offres est alors tout à fait naturel.
Le quatrième rejoint le premier. Nous ne sommes personne pour traiter non plus de « gogos » des personnes qui font le choix conscient, en tant que personnes majeures, adultes et vaccinées, de choisir une mise en avant. Personne, que je sache, n’est volé, et tout le monde, au bout de quelques semaines sur le site, est parfaitement à même de constater, à moins d’être parfaitement demeurés, ce que, je vous rassure, nous ne sommes pas ! que la liste des nominés au concours n’est pas calquée sur celle des premiers au classement. A vrai dire, cela saute même aux yeux d’entrée pour peu que l’on prenne le temps de consulter l’une et l’autre liste.
Il ne doit alors pas vous échapper que ce choix de recourir à une mise en avant la peut participer d’un choix réfléchi.
Comme la tribune suivante l’indique :
https://www.monbestseller.com/actualites-litteraire/19140-meteo-5-il-faut-de-tout-pour-faire-un-site
Il y a ici toutes sortes de profils d’auteurs et tout le monde n’y recherche pas la même chose.
Le dénominateur commun est sans doute que nous recherchons toutes et tous de la LISIBILITÉ (qui ensuite se subdivise en : pour être lu, pour être lu et corrigé = d’où la tribune sur les bêta-lecteurs, pour être commentés, etc.) et de la VISIBILITÉ, qui est dans ce bas monde logiquement synonyme de publicité…
Pour ma part, ces deux éléments sont très importants pour moi dans ma stratégie d’auteur indépendant.
Et je suis très reconnaissant à MBs pour cela.
Pour rester dans le champ de la tribune, il faut aussi, par exemple, et sans être exhaustif, reconnaître que MBs met en relation des bêta-lecteurs bénévoles avec des auteurs. Moi-même, avec toute l’empathie dont je suis capable, je ne serais pas capable de faire le bêta-lecteur gratuitement et bénévolement. Donc chapeau bas, mesdames et messieurs.
En bref, arrêtons donc SVP de cracher dans la soupe ou de cracher la soupe après l’avoir avalée.
Après, je peux comprendre que vous disiez ces choses, de manière trop récurrente, parce qu’animé par quelque forme de colère dont je ne comprends pas la raison, mais celle-ci, vous le savez, même larvée, n’est jamais bonne conseillère.
J’espère que vous ne m’en voudrez pas, mais je me devais de vous faire cette réflexion comme je l’aurais sans doute fait d’ailleurs à toute personne qui vous aurait indument manqué de respect.
Chaleureusement,
Yvar

Eh bé... et après il y en a qui se demandent pourquoi la France (et, par extension, le monde) est ingouvernable ?
Quel exemple tragicomique que cette page microcosmique !

@ Emilie Bruck
Mon pauvre vieux ! Parce que vous êtes bien un monsieur et un vieux monsieur. Mais nocif car écrivain médiocre et horriblement frustré (comme votre complice), vous vous vengez sur celles et ceux qui croient encore en leur écriture. Mais vieux. Tellement vieux que vous n'utilisez même pas de VPN pour commettre vos exactions. Je ne m'intéresse pas à ce que pépère prétend m'expliquer dans une autre vie. Je compte vous expliquer ce qu'est le respect dans cette vie-ci. Peut-être pourrons-nous même échanger à propos de vos voyages en quelque langue latine ?

@ Alban Paulh Je suis d'accord avec vous. Les succès du mois est un attrape-gogos. L'algorythme qui gère cette rubrique a parfois des préférences au-delà du lectorat. J'ai un exemple rien qu'hier.
Je vous invite à faire un suivi sur le BestOff, autre extorsion mais plus sophistiquée car elle est basée sur la manipulation psychologique (et bien sûr financière quand cela est possible) d'auteures et d'auteurs avides de reconnaissance (et d'autant plus méprisé(e)s pour cette raison par des gens malhonnêtes qui sont eux-mêmes des auteur(e)s frustré(e)s).
Vous pouvez aussi questionner les éditeurs, les vrais, à propos de cette plateforme et la façon dont elle est gérée depuis le départ de son fondateur, leurs opinions ne sont pas inintéressantes.

@gaetan b

Qu'est-ce qu'a à voir la littérature avec des codes et des techniques ?
On retrouve ici tous les ingrédients appliqués par les côches de vie pour enfermer des personnes vulnérables sous leur emprise. A se demander si chez mBS, il n'y a pas quelqu'une...
Dites donc, gros cochon pervers, pourquoi n'allez-vous pas vendre (c'est ce dont il s'agit) votre soupe ailleurs?
J'attends toujours votre vrai nom et votre adresse. Nous avons à parler vous et moi.

Souplesse mutuelle, oui ; respect et confiance mutuels aussi. Sans oublier la capacité d'adaptation au cas par cas, tant les comportements varient, parfois en nuances, parfois de façon drastique.
De multiples variantes pourraient donc compléter votre tableau, mais tel quel, il a le mérite de définir simplement quelques tendances comportementales à développer ou réprimer, si notre but est de cohabiter au mieux sur cette plateforme que nous avons choisie.
Merci pour cette tribune et bonne journée à tous les Monbestselleriens,
Michèle

Bon sens, humilité et amour : tout est dit n'est-ce pas ?

Bravo, très complet rien à redire. Humilité et abnégation, deux vertus qui portent leurs fruits.
Amitiés
ANTALL