Salut, Fernand, ô, mon Fernand, ///
je me demandais ce qui m'avait sorti de mon sommeil si tôt, ce qui m'avait poussé à ouvrir le compiouteure plutôt qu'aller m'activer à la fraîche, ce qui m'avait poussée jusqu'ici, dans cet antre antédiluvien où n'errent plus que les fantômes... et... Tadaaam, ou plutôt Tuduuuuuuuum ! ///
l'inconscient sans doute, la mémorisation inconsciente d'informations capitales que la cervelle imprime et nous ressort au moment pile-pile. (En voyant ton texte dans les nouveautés, je me suis d'un coup rappelé l'avertissement de l'appel du 18 juin que tu me fis récemment.) ///
que cette date te porte chance, Fernandounet ! ///
en tout cas, ton texte, tu ne l'as pas raté, c'est le moins que je puisse dire. Et si je ne me retenais pas, je dirais, tiens, d'ailleurs je le dis : que je l'ai dévoré, et comme nous sommes le 18 juin, je rajouterais, tiens, d'ailleurs je le rajoute : comme une friandise !!! P... de Manon, Fernand, qu'est-ce qu'y m'arrive-t-y donc ? ///
voilà, c'est une belle journée qui commence, et tu l'as peuplée d'esprits. ///
Merci, Fernandinounichou. Continue comme ça. Bises.
(Les étoiles, je te les file de grand cœur, et Crénoundidju, tu les mérites en technicolor !)
Publié le 18 Juin 2022