Marie Peterburger

@ Alix Cordouan Ha ! Ha ! Ha ! Je ris a en avoir le hoquet ! Non, c’est trop bon !!! Surtout, amis lecteurs, lisez bien jusqu’au bout « Les bottes jaunes » ! Si vous en avez marre de la pluie, de la chaleur, de la guerre en Ukraine, mais SURTOUT, si vous vous êtes frottés au monde de l’édition, vous vous régalerez ! Merci mille fois, Alix Cordouan ! Je vous embrasse sur les deux joues !

@Thierry Judey Voilà un livre qui m’a touchée jusqu’au plus profond de ce qu’il est convenu d’appeler l’âme, un de ces livres qu’on n’oublie jamais, un authentique chef-d’œuvre. Je pense qu’ll n’y a rien de plus à dire, sauf que je déplore infiniment qu’il ne soit pas (encore ?) un succès de librairie, et peut-être aussi qu’il ne soit pas à mettre entre toutes les mains, car en raison, justement, de sa vérité passionnée et communicative, certains esprits étriqués risqueraient d’ y voir l’autorisation de commettre un meurtre. Mais une courte phrase de préambule sur la page de titre suffirait à éviter un tel malentendu. Vu la valeur de ce texte brûlant, il serait mesquin de faire allusion à une nécessaire relecture au point de vue orthographique. Il est clair que l’auteur, était impatient de faire lire son livre et qu’il compte rectifier les accords de participes passés après un peu de recul. Merci pour ces pages empreintes de sincérité. Je souhaite un destin brillant au livre et à son auteur.

@Alix Cordouan Très beau style. Beaucoup d’émotion. Histoire intéressante, habilement dévoilée et personnages crédibles, attachants. Je n’ai pas pu m’arracher à la lecture jusqu’à la fin. J’espère, je suppose, que vous avez en réserve encore beaucoup d’histoires passionnantes à raconter ! C’est pourquoi je voudrais, en pensant à l’avenir, vous confier deux de mes principes qui peuvent être utiles à d’autres, mais avec lesquels vous n’êtes peut-être pas d’accord. Un principe n’est jamais absolu. Le premier : il n’est pas indispensable qu’un récit aille jusqu’à la fin de vie du héros ou de l’héroïne. Le plus difficile à écrire, je pense, est la fin. Pourquoi s’imposer une fin qui risque d’être tirée par les cheveux, alors qu’il y a moyen d’arrêter le récit plus abruptement ? Deuxième de mes principes, évidemment contestable : une répétition vaut mieux qu’une ambiguïté. Exemple : Il ne faut pas craindre de répéter les noms des personnages, plutôt que de compter sur le bon sens du lecteur pour interpréter les « il » et les « elle », pour une lecture sans efforts. En tout cas, mille mercis pour les moments agréables que je vous dois. Très, très cordialement.

@ dominique calamel Ce récit est un pur émerveillement ! Il donne des visions charmantes et est chargé d’émotions communicatives. Une mini remarque cependant. Une petite phrase d’introduction ne serait pas de trop pour situer l’histoire au point de vue temps et lieu : une planète éloignée de la Terre, une planète antérieure à la formation de la Terre, un monde parallèle ? En effet, en lisant le début où il est question pêle-mêle d’un félin aux dents de sabre, ce qui fait songer à la préhistoire, d’une population armée d’arc et de flèches, qui va à l’université, étudie les sciences humaines, la philosophie, les mathématiques, et pratique toutes sortes de magies, j’ai failli abandonner la lecture de ce qui m’a semblé de prime abord un drôle de micmac. Comme il a déjà été dit, votre œuvre mérite une relecture au point de vue orthographe et aussi ponctuation, mais surtout ne touchez pas au style tellement spontané : il est parfait et même plus-que-parfait ! Il est merveilleux, enchanteur ! Merci beaucoup pour les bons moments passés grâce à vous. P.S. - Voici deux « trucs » mnémotechniques pour éviter deux genres de fautes d’orthographe. Ces ou ses ? Quand vous désignez quelque chose, avec l’index et le pouce, vous formez un C, ces. Ex. : Je voudrais ces belles pommes qui se trouvent à l’étalage. Ces idées-là (immatériel) sont dangereuses. Mais : L’enfant mange ses tartines (possession). Ma grand-mère a ses idées(possession immatérielle) bien à elle. Terminaison 1ère pers. du sg. ais ou ai ? prononciation é : ai prononciation è : ais Ex. : Dans une heure j’irai (é) me promener. Si j’avais (è) de l’argent, je partirais (è) en vacances.

Texte très émouvant, très chaleureux, qui semble plus proche de la réalité que du roman. Les mots sont évocateurs, très actuels, merveilleusement imagés, mais il y a des bémols qui peuvent être aisément corrigés : l’absence de concordance des temps à l’intérieur des phrases, l’usage systématique de l’imparfait à la place du passé simple ou du passé composé, le futur au lieu du conditionnel, et des fautes d’accords, surtout à la fin. On dirait que vous utilisez volontairement le langage parlé. Ce procédé confère du dynamisme, un style jeune et moderne, et beaucoup de charme à votre récit, mais sans nuire à ces qualités, il vous serait sûrement facile de remédier à ces quelques défauts, et aussi de revoir la ponctuation. Comme vous semblez être une lectrice passionnée, vous êtes certainement capable de réaliser vous-même la relecture de ce premier jet très prometteur. Je vous remercie pour les bons moments passés grâce à vous et comme les qualités de votre écrit surpassent largement les lacunes soulignées, je vous mets de grand cœur cinq étoiles.