Bonsoir, cher @HASSEN NAJJAR. Dès les premières phrases, j'ai reconnu votre roman déjà lu et mis en avant ici, en 2020. Une mise en avant toujours en ligne qui m'a permis de retrouver mon commentaire de l'époque que voici : "Un joli conte, très symbolique, assez moraliste - mais tous les contes ne le sont-ils pas un peu ?- que j'ai découvert avec l'intérêt de la curiosité. Il m'a évoqué mes interrogations d'enfant, au catéchisme, à l'écoute de promesses de rédemption, de paradis. Promesses visant à adoucir notre impuissance, face aux requins, à rentrer dans le rang sans faire d'histoires, ai-je bien compris depuis ;-). Dans le même registre, Salem m'a évoqué la brebis égarée secourue par des êtres sages et généreux, capables de faire fi de défenses qui lui font tout ressentir comme une agression personnelle. Il faut dire qu'il est sacrément égocentré, ce petit protégé appelé à devenir une forme d'élu ;-) ! J'ai apprécié ses rencontres avec les romanciers, un peu moins celles avec des personnages célèbres sacrément enjolivés pour les besoins du roman. Mais j'ai apprécié vos mots, leur épure qui les rend accessibles à tous. Merci pour ce beau partage." /// Mon impression en deuxième lecture en est très proche. Le jugement haineux de votre héros pour son village m'a encore semblé excessif, et l'application d'une peine à l'emporte-pièce injustifiée, tout symboliques soient-ils. /// Je lirai un autre de vos sécrits dès que possible. Merci pour le nouveau partage de celui-ci. Amicalement, Michèle
Publié le 26 Février 2024