Zoé Florent

@Anne Clécie Quelle jolie nouvelle vous nous offrez encore, chère Anne ! Une nouvelle douce, très humaine. /// Tout y est, habilement mené, élégamment construit et écrit. En douze pages à peine, les personnages, le décor et son ambance british sont plantés, et l'on se retrouve en totale empathie avec Emma et son frère à la vitesse de l'éclair. /// Merci pour cet agréable partage et bon week-end. Amicalement, Michèle

@Valérie Pison Ah, oui, trois coeurs enthousiastes ! Phrases courtes, dérision, humour et survol détaché de ce qui pourrait fâcher ou attrister... Le tout porté par une imagination aussi malicieuse que débordante... Ce fut un plaisir de vous découvrir en suivant les traces de @Thierry Rucquois, dont je vous conseille chaleureusement la lecture du roman. Vous avez en commun de savoir jongler avec les mots, chacun à votre manière mais tous deux avec brio. /// Par contre, de grâce, ajoutez vite un ou deux paragraphes à votre petite dernière ; c'est inhumain de laisser ses lecteurs sur leur faim à un tel point ;-) ! Merci pour ce partage qui sort du lot et m'incite à continuer de chiner quelque nouveau talent, par ici. Amicalement, Michèle

@Isabelle Blackeney Désillusions, regrets, affliction… "Quelques fois, un peu de rire ne gâche rien", écrivez-vous dans votre bio, mais certains états d’esprit rendent parfois la chose difficile, voire impossible ;-). /// Votre révolté semble de guerre lasse, et ces derniers sursauts désabusés, empreints de nostalgie pour certains, sentent la fin des combats. /// J’ai aimé "Leçon de géographie sidérale" et "Conscience", pour le fond, ainsi que "Papa", pour l’originalité de la forme. /// Merci pour ce partage et bonne journée. Amicalement, Michèle /// PS : pour "stalle", je n'ai pas fait de suite la relation, mais vous avez raison, le "faux-curé" justifie son emploi ;-). À bientôt, peut-être.

@Gwenn A. Elle Émouvante nouvelle, en effet ; très humaine. J'ai aimé la tournure que vous faites prendre à ce récit, qui ne relève pas tant de la science fiction dans le fond. Pour ma part, et je ne suis pas la seule à le constater, je trouve que l'empathie des soignants pour les soignés s'est nettement améliorée depuis quelques décennies. Le corps soignant dans son ensemble se veut plus accessible, plus à l'écoute, et de nouvelles activités en relation avec l'accompagnement en fin de vie ont vu le jour... Quelques exceptions viennent et viendront toujours noircir le tableau, comme dans tous les domaines, mais focalisons sur cette embellie afin de l'aider à perdurer ; afin que la réalité rejoigne la fiction, comme dans votre nouvelle. Merci pour ce partage et bonne soirée. Amicalement, Michèle

@Jérôme Lanclume Je vous ai promis une retour, alors le voici. Vous savez que l'absurde et moi ne sommes pas vraiment copains. Encore moins lorsque l'humour s'en mêle. Pour autant, votre exercice m'a fait sourire, lorsqu'une variante se présentait dans ce bouquet de poèmes à géométrie variable (P. 31 à 35, entre autres). /// Il y a de l'opportunisme et du foutage de gueule, parfois, mais de l'amusement aussi. On sent que vous vous êtes fait plaisir... et le plaisir étant communicatif... /// Vos intros, qui usent et abusent du "sans queue ni tête" m'ont vite lassée, tandis que votre mise en page soignée comme la musicalité de vos mots m'ont plu. /// Enfin, mention spéciale pour les beaux poèmes des pages 61, 62, 70 et 72. L'ensemble vaut donc ces trois petits coeurs de la visibilité :-) /// Merci pour ce nouveau partage et bonne fin de journée. Amicalement, Michèle