Bonjour @Ann LIERE Un défi assorti d'un incipit long et assez restrictif, pour ne pas dire directif ;-). cependant, le nombre de caractères autorisés compense et permet de développer sa touche personnelle. J'ai apprécié la vôtre ; la façon dont elle nous fait vivre cette expérience en temps réel. Merci pour le partage et bonne fin de journée ! Amicalement, Michèle-Zoé

@Philippe Clausels Le rêve, la nature et l'amour nous sauvent en alimentant nos vies. Que je plains ceux qui ne le savent pas ou l'ignorent volontairement ! Tes mots sont beaux, comme toujours, et particulièrement émouvants lorsque l'on sait que Thomas a tiré sa révérence... J'ai essayé de t'appeler, de t'écrire, sans succès. Fais-moi un petit signe quand le coeur y sera ;-). Bises et bon dimanche, Michèle

@Michel Canal Fallait-il ? Comme toi, j'ai cru au miracle. Mais que d'espoirs déçus ! Un an, puis deux, puis trois, et de ce coup de semonce aux effets si bénéfiques nul ne se souvient. Delhi se retrouve chapeautée de son nuage de pollution comme les autres grandes métropoles. L'élan solidaire a été suivi d'une contre-réaction individualiste qui donne l'impression d'une franche régression... De quoi ébranler la foi en l'être humain ; en sa capacité d'apprendre de ses erreurs, tout du moins ;-). /// Merci pour ce partage via MBS. Bises, et vu l'heure, bonne nuit ! Michèle

@Monique Louicellier Le passage au "je" m'a un peu surprise, mais j'ai beaucoup aimé l'ambiance de cette nouvelle. Souvenirs, agglomération et délestage... À l'aube ou entre chien et loup, tout s'entremêle, mais sans haine, en douceur. Impression de sérénité au final, ou d'acceptation, tout simplement, confortées par la cérémonie du Earl Grey tea (que j'apprécie aussi ;-)). Merci pour le partage et bonne nuit ! Michèle

@Jean-Pierre BARBERINE En effet, "Réplique du chaos" n'a rien à voir avec "L'amour à la française" ; du moins en ce qui concerne le style. Le côté écriture automatique déconcerte d'abord, puis, une fois le rythme adopté, embarque avec panache. Le verbe est vif, cru, sans filtre. Philosophie de bar et émois prépubères sonnent juste... Deux chapitres, et déjà Dionysos interpelle, rend le lecteur curieux de la suite. /// Petit aparté : le père de Nourdine (jeté d'un pont) faisant écho a une agression similaire dans "L'amour à la française", je me suis demandé si ces deux drames t'ont été inspirés par celui vécu par Brahim Bouarram. /// Merci pour ce partage, Jean-Pierre ! Un abrazo ! Michèle