"Un joli mois de mai aux Hortensias" c’est le mois des anti-héros. Ceux qui parlent comme Audiard. Ceux qui aiment leur campagne comme René Fallet la décrivait. Ceux qui ne veulent surtout pas changer leur vie. Aussi modeste soit-elle. Ceux qui ont les mêmes amis depuis les bancs de l’école jusqu’aux tabourets du café des sports. Pour cette rentrée de septembre, ne passez surtout pas à côté de ce mois de mai.
Didier Morel est un sans-grade, l'idiot du village comme on pourrait l’appeler.
Pilier du bistrot, là où ses copains auront besoin de lui pour sauver leur village contre l’arrivisme et la modernité...
L’auteur est peu prolixe sur lui-même, bien moins que sur son anti-héros : « "Un joli mois de mai aux Hortensias" est mon premier roman ».
"Un très bon roman qui se déguste comme un film à la Audiard, avec un style loin d'être amateur... Votre héros (ou plutôt anti-héros) est gratiné à souhait et c'est irrésistible. Voilà un roman qui sent bon le terroir et nos campagnes... Personnellement, je me suis trouvée projetée dans de lointains souvenirs de famille... vraiment excellent !"
"Attiré par votre titre hors du temps, je n’ai pas résisté. Bien m’en a pris ! C’est un bonheur. Dialogues à la Audiard, comme le dit Anne Loréal, et univers bonhomme à la René Fallet. Bienveillance, humour, bon sens campagnard, dialogues simples et inénarrables... vous n’avez rien oublié et avez écrit un très beau récit d’un amoureux de ce monde « d’en bas ». Bravo pour ce 1° roman."
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