
Un suicide, un départ à la retraite, un enlèvement, une confrérie secrète dont tous les membres sont des femmes...
Flash-back, flashforward... Tout est lié, se recoupe...
Nouvelle version totalement remaniée de "Les Boxeuses amoureuses", publié ici en 2021.
Ce roman est une fiction contemporaine.
Ce livre est noté par
@JeFpissard Waouh... waouh... J’espère que vous n’avez pas trop maltraité votre cuir chevelu lors de la rédaction de ce commentaire aussi fouillé que pertinent, cher Jef :-)… Le genre de commentaire qui ferait se trémousser d’aise tout auteur… Alors imaginez un peu l’état de l’arpète que je suis ;-) !
Ayant lui-même assisté au travail d’agents féminins infiltrés, un ami-auteur m’a confirmé que je n’avais pas trop déliré, en imaginant cette confrérie, infirmant une fois de plus que la réalité tue dépasse très souvent la fiction.
Mille mercis pour votre lecture attentive, la finesse (et l’humour) de votre réflexion. Vous avez bien saisi ce que couve cette fiction en apparence anodine… Et bien sûr, mille autres pour votre généreuse appréciation.
Bonne journée. Amicalement,
Michèle
@Kroussar Bonjour Jean-Claude,
Oui tu as raison, j'en ai bavé pour essayer de rendre, ne serait-ce que cohérent, cet incroyable scénario ;-). Tes compliments sur ma plume me touchent autant qu'ils m'encouragent à ne pas la lâcher. Merci, mille mercis !
Prends grand soin de toi et de tes proches.
Amitiés,
Michèle
@Kroussar Merci pour ta lecture attentive !
Comme toujours, la plupart de mes personnages véhiculent mes propres impressions et idées. Parfois elles passent, parfois elles coincent, mais elles sont le reflet sincère de ce que m'inspire l'observation des relations à l'autre ;-).
Bonne continuation, en espérant que la suite te plaira.
Amitiés,
Michèle
Après une petite interruption involontaire, j'ai repris ma lecture. Je ne sais pas où ce roman va me conduire, mais c'est très intéressant.
Déjà, j'ai noté que : à défaut de se montrer rapidement plus conciliantes, ces femmes excessives, devenues misandres pour la plupart, desserviraient leur cause à brève échéance, puisque d’ores et déjà une opposition masculine partisane a pris forme. Que face à une opinion de plus en plus négative, l’influence féminine sur notre monde serait en péril à court terme.
Bien, bien... je continue.
Amitiés.
@Phillechat Merci pour le conseil, Philippe. Je le suivrai dans les prochains jours...
Bonne soirée !
Michèle
Je viens de lire un livre rare et de grande qualité :
https://www.monbestseller.com/manuscrit/18227-ecrire-la-maladie
@Phillechat Heureuse initiative que celle de vous rappeler à mon souvenir, Philippe ;-) ! Il m'avait échappé que vous vous cachez derrière Phillechat. Gardant un excellent souvenir des écrits du Philosophe, je vais de ce pas lire sa poésie...
Merci et bon dimanche !
Michèle (ex-Lamish)
@Michel CANAL Mille mercis, Michel ! Ton commentaire me touche d'autant plus que tu es un fervent défenseur des droits des femmes ; que l'estime que tu leur voues, les égards que tu as pour elles sont non seulement justes et appréciés mais rares chez un homme de ta génération. Tes étoiles me réchauffent comme l'amitié fidèle que nous partageons depuis des années, unis par des valeurs communes qu'il ne fait pas toujours bon défendre. Considération et respect, cher ami !
Bises à vous deux et bonne journée !
Michèle
PS : ... et merci d'avoir mis au service de mes rebelles ton fidèle oeil de lynx ;-).
@Zoé Florent,
Te surprendrai-je si je te dis que j'ai beaucoup apprécié cette version que j'ai lue avec un oeil neuf, tant l'autre est déjà ancienne.
— La forme : tu nous as habitués à des couvertures magnifiques et à une écriture très agréable à lire, avec sa petite touche de fantaisie artistique, signature de l'autrice expérimentée. Le découpage en courts chapitres impulse un rythme à l'histoire, laquelle pourrait se lire d'un trait tellement on est happé, désireux de connaître la suite avec ses rebondissements et le suspense final auquel, sans rien dévoiler, le lecteur ne s'attend vraiment pas.
— Le fond : tu annonces "fiction contemporaine", mais cette histoire pourrait tout aussi bien être réelle dans le contexte actuel où la femme se réapproprie la place et l'influence qui lui avaient été confisquées par le pouvoir des hommes sous l'emprise d'un modèle patriarcal. Elle pourrait faire l'objet d'une adaptation au cinéma ou au minimum un téléfilm en plusieurs parties tellement l'histoire est captivante et les personnages bien campés.
Tous les ingrédients sont là pour accrocher le lecteur : l'amour, les sentiments, le désir, l'aventure, l'exotisme, le luxe, des lieux secrets, le danger, une confrérie hiérarchisée aux objectifs louables et à l'implication mondiale qui a infiltré les structures décisionnelles jusqu'aux plus hauts niveaux pour revaloriser l'image superficielle et dévalorisante de la femme, propagée par des médias et les réseaux sociaux.
L'idée géniale d'une organisation composée exclusivement de femmes rivalise sans complexe avec les scénarios des James Bond, OSS 117, Largo Winch… qui ont fait pendant plusieurs décennies le bonheur des lecteurs et des spectateurs en salles.
Le sujet est traité avec les qualités qui te caractérisent et que l'on retrouve dans toutes tes descriptions : la sincérité, la force d'âme, l'esprit de justice, la sensibilité, la générosité, la maîtrise de la psychologie des personnages, le regard féminin de l'artiste qui apporte la touche de raffinement.
« Les boxeuses amoureuses » devenues « Les rebelles amoureuses » confirment ton talent de romancière. Merci Michèle pour ce partage et le plaisir que j'ai eu à te lire. MC
@Michel CANAL Comme tu as déjà bêta-lu l'ancienne version, je ne me voyais mal t'imposer la nouvelle, même sous forme de remake. Et puis je te sais déjà bien occupé par d'autres corrections ;-). Merci, en tout cas, et bonne soirée !
Cachotière @Zoé Florent, je découvre par hasard ce remake de "Les boxeuses amoureuses" nouvelle version. Comme j'avais beaucoup apprécié la première, je peux présumer que je vais adorer celle-là, surtout après avoir lu les premiers commentaires.
À bientôt donc !
MC
@Alain-Paul Mille mercis pour votre réponse développée.
Finalement, je réalise que vous n'avez pas du tout accroché avec le fond de l'histoire du fait d'une grande méfiance vis-à-vis du rapport virtuel. Un rapport amputé qui vampirise nos vies tout en favorisant l'inconséquence, la lâcheté, la manipulation... Une méfiance que je partage entièrement, soyez-en assuré ;-).
Ce n'est pas par hasard que j'ai modifié d'entrée un scénario qui proposait de faire de la confrérie un genre de "bordel" sélect où les hommes pourraient s'assurer de rencontrer des femmes qui sortent du modèle qui envahit nos écrans. Sélection opérée au travers de mots qui n'engagent pas tout en devenant redoutable outil de séduction (=manipulation). Ce n'est pas par hasard que les rebelles se battent sur le terrain non plus ;-).
En favorisant l'expansion d'une culture sexuelle de plus en plus pornographique, la Toile finit par dénaturer nombre de relations. C'est ce que j'ai voulu pointer du doigt au travers de ce scénario rocambolesque.
Merci encore et bonne journée !
Michèle
@Zoé Florent
En réponse à votre interrogation ma perception de Niels reste lointaine, un peu comme celle que je peux avoir de personnages célèbres que je ne peux qu'imaginer à travers les fenêtres artificielles qu'ouvrent sur eux les différents médias. Je pense que ça vient de moi. Il me semble aussi hors-sol que la relation téléphonique qu'il propose (et dont il entend disposer !) à Adèle. C'est très personnel mais pour moi ça revient à se couper de ses sens (du partage de la réciprocité sensorielle) et donc de la découverte de l'intimité authentique de l'autre pour s'enfermer dans une mentalisation exacerbée, véritable onanisme cérébrale où le partenaire devient quasi virtuel et fantasmé, coupé et extrait de sa réalité propre. Je suis certainement très vieux jeu mais j'ai le sentiment qu'à l'ère des écrans et de l'internet, il y a une propension de plus en plus grande à se couper du réel et vivre par procuration dans un isolement stérile. Depuis longtemps le P.A.F nous assène sa bonne baffe quotidienne pour que, assomés, nous oublions de nous reconnecter à l'instant présent. Notre profond amnésie est aussi bien gardée que celle du pauvre Lambert...
@Alain-Paul Re-bonjour Alain,
Votre lecture m’interpelle. C’est la deuxième fois que j’ai un retour masculin, qui ne focalise dans un sens critique que sur ma jeune Adèle. En auteure attachée à ses personnages, je vais non pas la défendre mais vous répondre point par point :
- Elle ne se soumet rapidement qu’en apparence puisqu’elle n’entrevoit que cette possibilité pour rassurer son père.
- Syndrome de Stockholm, non. D’abord parce que sa vie n’est pas menacée, ensuite car elle a déjà été choisie pour des qualités et des valeurs humaines en phase avec celles revendiquées par la confrérie.
- Un roman policier ? Non, sincèrement, cela ne m’a même pas effleurée.
- Les raisons d’être de la confrérie sont expliquées dès la page 29 par Marisa ; raisons que j’ai schématisées pour suggérer le raisonnement sans l’imposer. Un sujet qui mériterait un essai, mais je ne suis pas douée pour le genre ;-).
J’espère vous avoir répondu, et si vous avez un moment, je vous saurais gré de me dire ce que vous avez pensé de Niels.
Ah, le « au temps pour moi »… Je me suis fait taper sur les doigts une fois, et cela a été efficace :-) ! Quant à « recadrer », vous avez raison, aussi l’ai-je adopté. Vous aurez ainsi laissé une trace chez mes rebelles, merci ;-) !
Mille mercis également pour votre commentaire sincère et avisé, pour vos compliments à propos de ma plume (toujours bons à recevoir ;-)) et, bien sûr, pour votre généreuse notation. Bonne soirée !
Michèle-Zoé
@Monique Louicellier Belle surprise que de découvrir ton commentaire, car ne t'ayant pas avertie de cette mise en ligne, je ne m'attendais pas à un retour, encore moins aussi rapide, de ta part ;-).
Tout d'abord, concernant la réplique de Manuela et la symbolique du coït hétéro, je fais allusion au tantrisme hindou, qui veut que l'énergie masculine soit accueillie puis transcendée par la femme. Elle n'exclut pas la multitude de symboliques des autres inclinations et leurs pratiques. Arrivée à ce moment de la réécriture de mon roman, d'ailleurs, je me suis dit qu'elle te chiffonnerait, cette phrase, si tu étais appelée à la lire, ce qui m'a fait sourire :-).
Sinon, et pour te briefer un peu mieux, l'idée initiale (soufflée par un autre auteur) incluait la confrérie de femmes (sans ses nobles causes), l'enlèvement d'Adèle, Veronica et Marisa. Elle visait à démontrer que l'on peut séduire par la seule force des mots. C'est Marisa qui devait les exprimer au service de Niels, désireux de séduire la jeune élue. Comme tu as pu le constater, je m'en suis éloignée pour servir d'autres messages : les miens. Les histoires que j'élucubre me servent toujours ainsi de support pour les passer, ces messages auxquels je tiens.
Mille mercis pour cette heureuse surprise, donc. Pour ton adorable commentaire et sa généreuse notation itou.
Bises et bonne journée !
Michèle
@Jonathan Neels Merci infiniment pour votre message. J'espère que la suite vous plaira. Bonne journée ! Michèle-Zoé
@Zoé Florent j ai beaucoup aimé votre livre et sa construction. J aime cette idée de lien entre ces vies si différentes.
Je n ai pas encore fini la lecture ( je lis très doucement) mais je souhaitais vous faire part de mon commentaire.
@Damian Jade Merci infiniment pour ton retour évocateur de tes impressions premières. Il me touche énormément... Mieux, profondément.
Merci pour mes boxeuses devenues rebelles ; deux mots différents mais toujours les mêmes femmes... Je me plais à imaginer un monde où tous les hommes penseraient comme toi ;-).
Merci, mille mercis et bon dimanche !
Michèle