Télécharger A la recherche du dimanche publié par Plume_web

Plume_web se définit comme une "écrivante" en herbe.
A 7 ans, elle réalise sa première collection de récits illustrés.
Adolescente, elle écrit et joue avec ses cousines des pièces de théâtre pour ses grands-parents.
Puis 13 épisodes de BD.
Depuis trois ans, elle auto-publie ses romans sur son site. Et maintenant sur monBestSeller.

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La saga familiale de Marion, Marceau, Richard, Isabelle, Adèle, dans laquelle s’introduisent quelques intrus, pour le bonheur, ou pas, des intéressés.

Un roman choral, dit l’auteur, de thèmes aussi universels comme l'amour, l'amitié, ou la trahison.

Une phrase

(journal de Marion)

Je sortais du bus, un peu à la bourre. Il y avait devant moi cette nana qui marchait dans des bottines en daim marron, trempée. Elle tenait à la main droite un parapluie rayé bleu et blanc, qu’elle n’avait même pas ouvert. Un long manteau noir lui descendait jusqu’aux genoux et laissait apparaître un pantalon à pinces gris, retroussé au-dessus des chaussures. Ce pantalon plutôt chic avait ainsi perdu tout son style. On dit parfois de certaines femmes qu’elle seraient élégantes même vêtues d’un sac poubelle. La fille au parapluie donnait plutôt l’impression que la plus belle robe du plus talentueux créateur rassemblerait sur elle à un tas de vieux chiffons. J’aimais ça. Elle dégageait un je-ne-sais-quoi de naturel et de spontané qui emmerder le monde.

L’auteur Plume_web

Lise / Plume_wab est une lectrice passionnée qui aime inventer et écrire des histoires depuis toujours.

Ses lecteurs en parlent

Cécile Labate

Bien vue votre galerie familiale de portraits. Vous n’êtes pas tombée dans les caricatures à l’excès des profils psycho de vos personnages, alors que bien sûr vous devez un peu les rendre typiques pour qu’on les rencontre et qu’on ait de quoi s’accrocher. C’est fin, il y a des petites touches vraiment bien vues pour chacun, de fines analyses entre deux petits faits au quotidien. Et bien sûr, comme dans toutes familles, il y a des personnes qu’on a plus envie de connaitre que d’autres ! des personnes avec lesquelles on se sent plus en affinité. Sans doute parce que leurs faiblesses raisonnent un peu plus en nous. Et je crois voir aussi celle(s) qui vous ont plus inspirée(s) ! Mais il n’y a pas que ces portraits polaroïds, il y aussi la manière dont ils avancent dans votre saga, l’évolution de leurs monologues. C’est loin d’être figé. Bravo pour votre fresque.