
Il y a des destins exceptionnels. Ceux de Sioma et de Tsipora, deux jeunes à Odessa en 1917, est de ceux là. Deux guerriers. Deux amoureux. Ce magnifique témoignage raconté par leur petit-fils commence à la révolution d’octobre. Il y a juste 100 ans. Et se poursuit dans tous les combats qu’il fallait mener contre l’oppression dans l’Europe du XX° siècle. En Israël en 25, en Espagne en 36, en France en 40. Toute leur vie, ils auront lutté pour ce à quoi ils croient. Ce récit est aussi un fulgurant témoignage d’amour entre ces deux jeunes. Jugez plutôt (lire la suite)...
Les Rebelles du XXe siècle, c’est le récit des aventures et des combats menés par un couple de jeunes juifs d’Odessa. Ils nous entraînent dans les foyers les plus brûlants de la première moitié du XXe siècle : la révolution russe à Odessa, l’occupation britannique en Israël, la guerre d’Espagne contre le fascisme, la Résistance à Paris contre l’occupant allemand et à nouveau à Jérusalem pour l’Indépendance d’un État laïque. Leur combat est porté par l’amour qu’ils n’ont cessé de se vouer.
Né en Israël, l’auteur a voulu témoigner des combats menés par ces hommes et femmes de confession juive au début du XX° siècle. Leur épopée l'a amené à vouloir les faire connaître.
"Magnifique. Quelle découverte ces pans de l’histoire que vous nous révélez. Je suis curieux de savoir l’origine de ce récit incroyable, autant guerrier que romanesque. On ne sait d’ailleurs faire la part du roman et du récit témoignage. Et on est emporté par les deux. Bravo. Merci."
"J’ai été fasciné par votre épopée. C’est un magnifique devoir de mémoire qui dévoile bien des côtés cachés (ou ignorés). Et en rappelle d’autres oubliés. Et un très beau roman, romantique, très magistral. Il y a des personnages qui forcent leurs destins. Vos deux jeunes héros sont de ceux-là. Et c’est très bluffant. J’aimerais aussi comme fab connaître l’origine de ce qui a inspiré ce récit."
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:jean louis poullain à @Nadav - La lecture de ton livre m’a fait penser à une diatribe amère contre des principes généraux du type politicoreligieux et ne peut donc être considéré comme impartial. Je m’explique : tout au long de ce roman ton raisonnement est celui d’un israëlite convaincu, or tu dois savoir aussi bien que moi qu’aucune religion ne détient la vérité absolue. Il en va de même pour la multitude de partis politiques qui inondent le monde actuel si bien qu’un raisonnement qui s’appuie sur un ou plusieurs principes (douteux ?) de l’une ou l’autre de ces pseudosciences ne peut qu’être arbitraire donc partial. Je me permets d’autre part de t’informer que je faisais partie à ma manière des protagonistes de la dernière guerre. Né en 1929, d’une famille d’enseignants dont la religion était la laïcité, j’avais dix ans à sa déclaration et j’ai subi pendant quatre longues années les affres de l’occupation teutonne que j’ai caricaturée, avec mon âme de môme, dans »le gamjamad».
Bien cordialement
JLP
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