Melissa da costa, son prochain roman : "les douleurs fantômes" Melissa Da Costa, lauréate du Prix Concours monBestSeller 2018 : un conte de fée bien maitrisé
L'article du Figaro du 20 Janvier montre et décrit l’irrésistible ascension d’une jeune romancière, Melissa Da Costa, révélée par monBestSeller.
Avec son titre "Tout le bleu du ciel", déposé en Janvier 2018 sur monBestSeller, l’auteure devient l’un des chevaux de courses de la maison Albin Michel.
Son parcours atypique pour beaucoup, est familier pour nous.
Passée par Amazon sans être repérée, c’est sur monBestSeller qu’elle est révélée :
"Mes livres ont végété sur Amazon, déclare-t-elle. J’ai mis mon troisième manuscrit sur la plateforme monBestSeller, où on le dépose à titre gratuit pour avoir des retours de lecteurs inconnus qui ne prennent pas des pincettes. Je me souviens très bien, c’était le 29 janvier 2018."
Là, elle est repérée et élue par le Prix Concours monBestSeller. Éditée par Carnets Nord, elle vend plus de 10 000 exemplaires dès la première année.. Avec 614 000 exemplaires vendus en 2021, grands et petits formats inclus, "Tout le bleu du ciel" est la 8ème meilleure vente en France.
Melissa Da Costa : une nouvelle génération d'écrivains pour une nouvelle génération de plateforme
Melissa Da Costa fait partie de cette nouvelle génération d’écrivains, passée au travers des raquettes du circuit classique, repérée et élue, comme Agnès Martin-Lugand par des lecteurs de plateforme littéraire.
Une littérature à la fois populaire, sensible et signifiante d'une époque ou, malgré les réseaux sociaux, les âmes se sentent souvent très seules.
Son écosystème d’aujourd’hui, Katherine Pancol, David Foenkinos Grégoire Delacourt. Une littérature Feelgood, qui saisit l’air du temps, et un certain esprit. Combinaisons adroites de désillusions, de facéties et de distanciation.
Avec trois best-seller à son crédit, elle reste spontanée et transparente. Son prochain roman " Les douleurs fantômes" reprend l'essence de son écriture, le souvenir comme mode de reconstruction.
En racontant au Figaro son aventure sur le site, elle y déclare, modeste : "Je vais continuer à me consacrer à l’écriture, mais s’il faut reprendre une activité professionnelle, je le ferai.»
Ces auteurs de best-sellers issus le plus souvent du numérique bénéficient d’une dynamique porteuse. Les formats de poche y jouent un rôle clé en nourrissant leur notoriété.
Ils s’inscrivent dans le temps, et quittent rarement l’actualité éditoriale. La tête sur les épaules, ces auteurs ont la conscience de la fragilité de ces succès fulgurants, ce qui leur confère une sensibilité émouvante, d'où peut-être cette petite vibration supplémentaire.
Ce qui est le cas pour Melissa Da Costa, nous le savons...
Vous avez un livre dans votre tiroir ?
Publier gratuitement votre livre
Vous avez écrit un livre : un roman, un essai, des poèmes… Il traine dans un tiroir.
Publiez-le sans frais, partagez-le, faites le lire et profitez des avis et des commentaires de lecteurs objectifs…
Une histoire incroyable qui en fait rêver plus d'un !
Une histoire incroyable qui en fait rêver plus d'un !
Félicitations pour ce très beau parcours !
Félicitations et chapeau bas pour ce parcours remarquable et inspirant. Le talent, c'est avant tout du travail. Et un brin de choses qui s'imbriquent...
Amitiés
Norin
Bien sûr, c'est à son talent qu' elle doit cette réussite, mais c'est sa publication sur monBestseller qui à fait la différence. Bravo et merci d'exister.
Une étoile de plus à ajouter à la galaxie grandissante de MBS, de ses auteurs et des lecteurs/lectrices qui font émerger de nouveaux talents. Félicitations, on espère en voir encore beaucoup d'autres!
Très bon article qui ravive le coeur, qui nourrit l'espérance de se décomplexer, de progresser tout en échangeant sur nos erreurs avec les autres, en y trouvant du plaisir. Hum! cette idée m'enchante
Bravo aussi à Melissa !
Après avoir lu l’article de MBS sur Melissa Da Costa, je me suis souvenu d’un autre article lu sur un mensuel que je reçois pour appartenir à une ONG internationale, les compliments étaient dithyrambiques. Le thème me touche (voir Labyrinthe). Je suis simplement contente pour Melissa, qui j’en suis sûre en plus de son talent, sont venus s’ajouter : travail de distribution, de promotion, aide de son éditeur… et un peu de chance.
Je vais acheter son livre… pour le plaisir de la lecture et aussi pour faire monter ses ventes !!
Honte à moi, je ne connaissais quasiment pas cette autrice avant de lire un article sur elle dans ActuaLitté et de la voir en tête de gondole des actus de mBS (qui peut tout à fait s’en enorgueillir). Et puis ensuite, je me suis rappelée avoir lu son nom dans les archives de mBS… (Mon ignorance peut s’expliquer car je lis peu de « feel good »). Je suis ravie de sa réussite et que ses ouvrages fassent « du bien » à ses lecteurs… mais… cela doit-il être la définition de la littérature ? Je rejoins tout à fait @Catarina Viti dans son constat : « La "littérature qui vous fait du bien" […] est en train d'envahir le paysage. Qu'une production livresque de distraction existe, cela est normal. Qu'une production "romanfeuilletonnesque" existe, cela aussi est normal. Et même qu'une production éditoriale "développement perso" existe, cela aussi est normal. Etc, je vous laisse faire vous-même la liste. Mais nandidiou, qu'on classe tout cela en littérature me met les couillons à l'envers. Et qu'on s'extasie... mais sur quoi, au fait ? Le nombre de like ? » Je plussoie. N’y aurait-il place désormais que pour la « littérature de genre » (« feel good », « chick lit », polar, thriller, SF, fantasy, romance, etc) ? Quid des œuvres qui ne rentrent pas dans les cases des algorithmes des plates-formes ?
Invitée chez Poivre-d'Arvor (video visible sur &@!!!(!"!ç"à), Melissa dit "… je ne suis pas sûre que mon livre s'apparente totalement à un feel-good…" En parlant de Tout le bleu du ciel. Donc, faut-il la mettre dans une case, comme cela, en y adossant le nom d'autres auteurs? Je ne suis pas certain.
Par ailleurs, il faut avouer qu'elle y met du sien pour "vendre". Elle fait des plateaux télé et autres. On imagine (hors pandémie), qu'elle fait des salons (sinon, pourquoi faire des plateaux télés? Donc, c'est tout un travail que la vente d'un livre. Il faut mouiller la chemise, chose que peu sont enclins à faire. IL faut donc avoir une bonne dose de confiance en soi, en son écriture, avoir le soutien de l'éditeur etc. Tout cela, nonobstant la qualité de l'écriture. Les plus gros vendeurs Français sont honnis par la critique parisienne. Ils sont apparentés à la littérature de gare, sans doute remplacée par le thriller et le feel good, aujourd'hui.
Bref, si on lit l'article du Figaro, le/la/les journalistes disent : " On l’avoue: nous n’avons encore jamais lu un roman de Mélissa Da Costa. "
Il y a donc plus qu'un pas entre la reconnaissance d'un public et celle des critiques parisiens pour ne pas dire germano-trucmuche. (PPDA appartenant à une autre race de journalistes :))
Le grand mérite de Mélissa et d'autres dans son genre, c'est d'exister (c'est à dire de pouvoir en vivre) sans appartenir au cercle de ceux qui sont oints par ladite critique.
Son succès est sans doute dû à une synergie entre son talent, le travail de son éditeur, une toute-toute petite part de mBS (auteurs, lecteurs et créateurs du site), la part aussi de chance qui incombe à toute entreprise et sans aucun doute beaucoup, voire énormément d'investissement personnel.
Pour le reste, je trouve, comme madline, que c'est grotesque et même puéril de penser qu'un seul instant le succès de l'une rejaillit sur tous. L'écriture est un parcours personnel et ses succès et ses échecs le sont aussi. Au plus, quelques curieux seront attirés ici, pensant trouver l'Eldorado. Faute de croire au miracle, le mirage est un bon succédané.
On ne peut être que ravi, auteur sur mBS, de votre réussite, @Melissa Da Costa.
Quand un ou une se détache du lot pour être happé par une maison d'édition — qui plus est Albin Michel — cet honneur rejaillit sur nous tous.
Bonne chance pour la suite !
Félicitations. Quelle belle réussite !
Je me souviens… Je me souviens quand j’ai découvert Tout le bleu du ciel sur mBS, je me souviens de l’émotion que j’avais à toutes les pages, je me souviens de l’affection étouffante que j’avais pour ces deux héros chacun fragile différemment, je me souviens être consciente que je lisais une histoire que je n’oublierais pas, je me souviens qu’à la fin du livre, je ralentissais ma lecture, mon rythme, ne voulant pas lire ce que je savais inéluctable, je me souviens quand j’ai vu Mélissa Da Costa une fois à la télé… j’ai cru une seconde que j’étais influenceuse !!!!! et plus sérieusement, je savais que j’avais eu de la chance de lire cette histoire formidable sur ce site (qui l’est tout autant !!!) La preuve. Il n’y a donc pas de hasard, bravo à Mélissa Da Costa pour son succès stratosphérique, bravo d’être l’exception qui confirme la règle, bravo à monBestSeller d’être plus fort qu’Amazon, et bravo à nous, lectrices et lecteurs de l’ombre qui trouvons là la raison du pourquoi nous continuons à commenter des auteurs anonymes et de dire à monBestSeller "eh… celui là est pas mal et mérite un p’tit coup de pouce".
Bravo!