Quel beau récit, à la fois poétique et drôle! Laura, à la lecture de ce regard rafraîchissant posé sur l’univers et sur ce qui fait la spécificité de notre Terre, je me suis ressouvenu des magnifiques contes de Félix Leclerc. Je pense, entre autres, au « Procès d’une chenille » (où l’araignée joue un bien vilain rôle, contrairement à ce qui se passe dans Cosmogonie). Dans votre profil, vous nous dites qu’écrire est « une façon comme une autre de s’émanciper du seul instant présent, et de se créer des fenêtres là où il n’y a que des murs ». Merci pour cette belle fenêtre lumineuse que vous m’avez fait découvrir. J’ai bien hâte de lire d’autres textes de votre part! (…) Post-scriptum : je vous inviterais à vérifier l’orthographe de certains passés simples où vous mettez un accent sur le u (apparût, fût, eût, tût) alors que cet accent n’est requis qu’à l’imparfait du subjonctif… petit accroc fort pardonnable dans un texte, par ailleurs, admirablement bien écrit.
Publié le 02 Juin 2024