Stog a noté ces livres

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Du gros marteau utilisé naguère par les éleveurs à l’euthanasie pratiquée par les vétérinaires, la mort peut prendre toutes sortes de raccourcis et les hommes; toutes sortes de déviances. C’est un texte courageux, comme tous ceux qui traitent de la mort, et...c’est bien écrit. J'ai aussi aimé cette leçon d'histoire concernant l'origine de la carte d'identité.
Publié le 09 Mai 2023
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Au crépuscule de la vie d’un centenaire les révélations sont précieuses. Une période, deux cents ans de mémoire, des marqueurs de la grande Histoire qui passe par la porte d’une histoire familiale. C’est ce qui donne beaucoup d’intérêt au récit. Une écriture qui se joue sur des tempos et des temps (époques) différents. C’est subtil comme cette phrase : « Eh bien oui. Naître c’est chacun son tour, n’être aussi ( chut!). » Il y en a plein des comme ça. Malgré, une généalogie qui remonte loin et la pléthore de personnages on garde le cap et Marion qui à la fin tire sur le fil.
Publié le 14 Avril 2023
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@Damien Jade, c'est un récit qui se déroule comme une opération chirurgicale dans le corps des relations humaines. Tout en finesse et en intelligence.
Publié le 27 Janvier 2023
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Bonjour@Monique Louicellier. Quelle belle écriture! vous avez la capacité de pénétrer les personnages jusqu’aux menus détails (je prends des notes). Et, des phrases belles et percutantes, comme celles à la fin de la page 69.
Publié le 24 Janvier 2023
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Bonjour @ Alix Cordouan, J'ai beaucoup aimé votre écriture qui à le sens de la narration et la capacité d'attiser la curiosité du lecteur. Les protagonistes sont bien typés et leurs caractères bien rendus. Robert le tyran domestique, triste sire, qui vit sa vie par procuration au service d'une réputation factice, sous le joug du ''qu'en dira-on''. Le frère Germain, Olga son miroir, Maris la bouée de sauvetage. Et, la fin originale en auto-dérision. Bref, une agréable lecture, merci.
Publié le 07 Janvier 2023

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