À mes yeux de jeune marié transi d’amour, ce que j’apprends du passé sexuel de Candice dépasse clairement les normes généralement admises de la part d’une jeune fille de bonne famille, aussi belle, distinguée, sensible et exigeante :
Le dédoublement de personnalité de cette exquise médecin trentenaire devient dans mon esprit une obsédante ÉNIGME, que je me jure de résoudre un jour, parce que je l’aime trop, d’une passion trop profonde et sincère, pour pouvoir la réduire à une vulgaire nymphomane.
Quand je contemple la pureté de ses traits et suis pénétré par l’innocence de son regard telle une héroïne romantique tout droit sortie d’un roman des sœurs Brontë, comment alors imaginer un seul instant une femelle assoiffée de luxure ?
Même Mr Hyde est battu, à plates coutures !
@vans le chanceux
C'est moi le chanceux ! d'avoir pu vous contenter.
Merci de ce retour sympa.
"À LIRE DE TOUTE URGENCE"
= les cinq plus beaux mots qu'un lecteur puisse adresser à un auteur !
Merci Paul
@Kayumba mbayo Tristan
Merci de votre commentaire, mais je ne suis pas sûr de l'avoir bien compris...
@AHMED BEN LAKHDHAR2
Merci pour votre compliment, et pour votre réflexion avisée. J'irai dès que possible jeter un œil à la page de votre propre livre.
Cordialement
E.C.
La famille c'est comme dans un champ, il ya toujours des bons fruits qui en sortent les mauvais qui en sortent
@Dominique Glenn
Je suis ravi d'avoir pu vous accrocher et j'imagine avec émotion les pages de mon livre s'égrener le long des routes d'Europe au fil de vos pérégrinations estivales. De mon temps, c'était auto-stop + auberges de jeunesse...
Vous avez bien senti que le livre parle vrai : il n'a de sens en effet que parce qu'il rend compte, scrupuleusement, d'une réalité vécue, aussi passionnante que douloureuse. Seule la réalité peut dépasser la fiction, car je n'aurais jamais su imaginer un tel comportement féminin ! Comme vous, je suis sidéré par la vulnérabilité sexuelle d'une femme ayant a priori tous les moyens de maîtriser son destin et de surcroît d'une libido plutôt restreinte comme vous l'avez très bien détecté. Les prédateurs ont d'autres moyens d'aboutir à leurs fins que de donner du plaisir !
Quant à l'anal, vous connaissez la fameuse malédiction : mourir de soif au bord de la fontaine. Trop de sodo passée avait tué la sodo présente. Il ne restait donc que le fantasme de ce passé, et c'est exactement le sujet du bouquin.
Merci de votre lecture si attentive et intelligente.
Bien à vous
E.C.
@Monique Louicellier
Merci pour votre nouveau message.
Le livre se déroulant au milieu des années 80, vous ne serez pas surprise que les deux protagonistes soient aujourd'hui septuagénaires. Mais toujours amoureux ! Encore aujourd'hui, rien- pas même le film le plus érotique - ne peut d'avantage m'exciter que de revoir d' anciennes photos de Candice. Tout remonte instantanément, aussi fort qu'au début. C'est un blocage psy irréversible.
Je travaille en ce moment sur un nouveau bouquin totalement différent que je finirai peut-être en fin d'année.
Je n'ai pas d'autre livre à ce jour, mais dans une veine très proche de la mienne, à l'époque où j'avais plus de temps car n'écrivant pas encore, je suis tombé sur le "Passion et flétrissures" de Philippe Ribagnac, également sur MBS. Si jamais vous le consultez, je serais intéressé de savoir si vous aussi y trouvez des affinités avec mon propre ouvrage...
Bien à vous, toujours dans l'espoir de libérer enfin le long temps indispensable pour vous lire.
E.C.
@Cristian BALLESTER PEREZ
Je suis content d'avoir pu vous intéresser et vous stimuler dans votre propre réflexion sur l'amour.
Cordialement
E.C.
Je le Trouvé tres interessante.demonstration de que les machos pensent seuls en eux meme quand ola passent a l acte,l amor veritable est le contraire,IL faut penser faire jouir a l autre persone
@Emil Elzat
Votre commentaire est le plus merveilleux des messages que puisse espérer un auteur :
= apprendre qu'un lecteur a été accro à son bouquin plusieurs jours de suite, et avoir ainsi participé intimement à son bonheur estival... What more ?
Merci du bonheur qu'à votre tour vous me procurez par votre retour.
Bien à vous
Ernest
@Ernest Cangabir
Bonjour et merci beaucoup de votre très aimable retour où toute votre délicatesse se déploie ! Aucun besoin de réciprocité pour la lecture de mes écrits sans conséquences et même pas terminés...
Je vous remercie pour votre avis sur le mien concernant votre écriture passionnante de par sa fine analyse de l'humai, jusque dans les détails dits inavouables.
Puisque c'est donc bien la réalité de votre vécu, question très indiscrète, quel âge cela vous fait-il à elle et à vous et êtes-vous l'un et l'autre (toujours ou maintenant) heureux en couple tous les deux ?
Vous n'êtes pas obligé de me répondre.
Très belle écriture en tous cas.
D'autres romans ailleurs ou en préparation ?
@Monique Louicellier
Votre très long commentaire, parfaitement sincère et riche d'enseignements, m'a particulièrement touché (à commencer par le temps que vous avez bien voulu y consacrer, ayant bien compris à quel point le temps vous manque en général).
Je suis profondément SÉDUIT par votre franchise et même votre impudeur: chez une femme de votre qualité, cela me bouleverse...
Votre propre histoire sentimentale a de puissants points communs avec la mienne dans le registre de l'emprise sexuelle aussi forte qu'une drogue dure.
Je n'ai aucune expérience personnelle de l'homosexualité même si ce fut le cas de mon plus jeune frère qui pour sa part en souffrit beaucoup en cette fin du siècle passé encore peu ouvert à l'inversion sexuelle. Mais votre témoignage me prouve que la relation amoureuse, hétéro ou homo- est en fait strictement similaire, avec les mêmes toxicités.
Votre expérience de la vie vous a permis de porter un jugement extrêmement lucide sur l'héroïne de mon livre qui m'ouvre encore un peu plus les yeux sur cette femme qui a bouleversé et définitivement capter ma vie ! C'est cet enrichissement que sont capables d'apporter à l'auteur certains lecteurs qui justifie l'intérêt de ce site MBS.
Mon propre chargement actuel est tel que je n'ose pas vous promettre la lecture de votre ouvrage: j'ai seulement pris les minutes nécessaires pour aller voir la page de celui-ci et consulter le synopsis ainsi que les premiers commentaires déjà formulés.
Merci encore, du fond du cœur, chère Monique.
@Clarybele
Je suis ravi d'avoir pu captiver une écrivaine de votre calibre ! Car la lecture de la première partie de votre propre livre (en arrachant un peu de temps, écartelé que je suis entre un nouveau projet de bouquin et les nombreux ouvrages que je souhaite lire sur MBS) me montre que j'ai affaire à une auteure de qualité qui sait transcender la triviale réalité des gens méritants mais sans fortune par une écriture précise, élégante et fluide. Ce que j'ai déjà lu me donne envie de poursuivre...
Pour répondre à votre question : Oui, ma vie se poursuit en merveilleuse connexion avec mon héroïne. Encore aujourd'hui, elle m'épate : moins bien sûr au plan sexuel, mais toujours d'avantage par sa lucidité et son parfait réalisme tellement complémentaires de mon incorrigible intellectualité !
@Marie-Amélie Laporte
Vous avez tout capté des intentions de ce livre, dont le but principal - au-delà d’une enquête psychique et sociologique - est bien de CAPTIVER le lecteur (objectif clairement atteint vous concernant, ce qui me comble de bonheur !)
Votre adorable commentaire, précis et avisé, mériterait franchement d’être retenu comme le nouveau pitch du roman ! Venant d’une consœur écrivaine (je viens d’inscrire votre « Archille » dans ma bibliothèque, pour m’y lancer après mes autres lectures déjà programmées), j’y attache d’autant plus de prix...
@Lebreton Yohann
Votre avis m'est précieux, venant du spécialiste en sciences humaines que vous êtes ...
En même temps, je suis ravi d'avoir pu vous captiver puisque vous avez bien voulu employer ce terme élogieux à propos de mon livre.
Je suis allé voir votre propre ouvrage dont le sujet est très intéressant, mais je vous avoue être rebuté par les 960 pages annoncées ! Ne pourriez-vous pas en publier aussi un résumé qui permettrait de se faire une première idée avant de se lancer dans le grand bain ?
@Ernest Cangabir, vous êtes excusé. Mais dommage que vous ne puissiez pas imputer oublis de mots et fautes à une secrétaire étourdie... c'eût été tellement plus pratique !
N'en déduisez surtout pas que je suis machiste ou sexiste. Je n'ai jamais eu de secrétaire. Tous les officiers en état-major étant des rédacteurs, même à un niveau élevé, chacun tapait ses documents quel que soit le destinataire, avec une exigence qualitative fond/forme totale. Le moindre document suivait un cheminement, passé au crible par de nombreux intermédiaires... Cela a eu du bon pour le formatage maison, chaque institution ayant le sien.
Espérez que Henri Vernay ne tombera pas sur "L'amour pur et le stupre", ou si c'est le cas, qu'il vous demandera seulement de le lui dédicacer.
Amicalement. MC
@Michel CANAL
Je suis sincèrement comblé d'avoir pu intéresser une "pointure" de votre acabit (J'avais noté depuis longtemps la valeur intellectuelle des commentaires dont vous gratifiez périodiquement ceux des ouvrages publiés sur ce site qui le méritent ...)
Vous résumez à la perfection la teneur multiple de mon modeste récit dont vous avez bien compris l'authenticité.
Vous m'apprenez qu'un Henry Vernay existe réellement à Lyon ! N'ayant pas connu ce personnage au temps lointain où j'habitais moi-même la capitale des Gaules, j'avoue avoir inventé ce nom de toute pièce en ayant simplement regardé sur internet quels patronymes étaient typiquement lyonnais ...
Pardon pour les coquilles : le livre n'a pas été dicté à une secrétaire étourdie, mais au micro de reconnaissance vocale de mon vieux Windows 7 : à lui, je ne puis assurément rien reprocher. Au contraire je lui dois toute ma reconnaissance vu mes difficultés à écrire lors de cette période (bras cassé) !
MERCI du temps consacré à cet avis, qui m'est fort précieux.
@Momo ayasei
Heureux d'avoir pu vous plaire. Merci de votre appréciation.
E.C.
@Reina Terlouw
Je suis séduit par la sensualité de votre photo et impatient de connaître votre commentaire, avant de découvrir votre propre ouvrage.
E.C.
Bonsoir,
Je vais commencer la lecture mais j’aimerais surtout lire les passages de baisers, d’étreinte, … etc Savoir comment c’est amené, pas pour vous copier hein mais pour m’inspirer… haha
Merci !
@Jean Roque De Baltique
@monBestSeller
Le provocateur -qui-n'a-que-ça-à-foutre à encore frappé !
@Ernest Cangabir Merci pour vos adorables retours.
Pour ce qui de l'épithète "pur", il suppose pour moi une forme d'irréprochabilité qui exclut de mon esprit les considérations matérielles, d'où ma remarque. Mais cela ne remet pas en cause la véracité des sentiments d'Henri, dont les preuves d'amour sont effectivement aussi constantes que nombreuses. Rapidement consciente qu'il devait jongler pour faire face à de multiples obligations, j'ai d'ailleurs été émue chaque fois qu'il outrepassait ses possibilités financières, ce geste lui coûtant plus que tout autre, et plus qu'à tout autre ;-).
Merci encore et bonne soirée. Amicalement,
Michèle
@Zoé Florent
Je reviens quand même un instant sur la dimension d' amour PUR que je revendique dans la relation entre Henri et Candice : mettre plusieurs années de suite l'intégralité de ses économies - péniblement gagnées, et alors qu'on a d'autres charges de famille - dans l'achat de bijoux de grand prix à une femme qui de toute façon vous est DÉJÀ acquise, qui est DÉJÀ votre épouse, c'est qu'on le veuille ou non un vrai instant de vérité, où tout calcul cède, pour une fois, devant la seule "raison du cœur", l' absolu de la passion :
Comme le dit si bien le dicton, "Il n'y a pas d'amour, il n'y a que des preuves d'amour" ...
Merci encore à vous.
Votre commentaire comble mon attente d'un échange précis et objectif :
je vous suis sincèrement reconnaissant d'avoir pris un temps précieux à tout lire, puis exprimer objectivement votre ressenti d'auteure elle-même ô combien expérimentée et avisée.
OUI, vous m'aidez à prendre pleinement conscience que ce livre est bel et bien, en quelque sorte, un "DUO PSYCHANALYTIQUE" vécu en direct et grandeur réelle, et non par l'entremise d' un psy ...
OUI c'est bien l'égoïsme forcené des deux protagonistes qui, curieusement, leur a permis non seulement de se comprendre, mais aussi et surtout de s'aimer profondément, et ce pour le reste de leur vie ...
Outre le plaisir d'avoir été compris par un esprit tel que le vôtre, je suis heureux d'avoir pu vous procurer un agrément de lecture.
MERCI encore à vous, du fond du cœur !
Bonjour @Ernest Cangabir,
Il est un un fait que les cent premières pages laissent imaginer que vous n’avez pas choisi le bon genre, mais je confirme à vos futurs lecteurs que cette impression disparaît quand nous lisons plus loin de nombreuses descriptions très crues de coïts.
De mes impressions positives à vous lire, je retiens le rare degré de sincérité d’Henri dans sa façon d’assumer sa perversité. Son besoin de comprendre ensuite, d’analyser ses mécanismes psychologiques comme ceux de sa compagne, afin d’assurer la pérénité d’un couple qui démarre sa vie sur un très lourd passif mutuel.
Pour autant, je ne vous cacherai pas que certaines de ses réflexions comme certains de ses raisonnements m’ont non pas choquée mais contrariée, quand leur but visait sa seule satisfaction personnelle. La superficialité de ses critères de sélection comme ceux de Candice et les préoccupations matérielles omniprésentes aussi. Considérer communier avec l’âme d’une femme en lui achetant une montre :-) !... C’est ce qui veut que cette notion d’“amour pur” évoquée dans le titre, je ne l’ai jamais sentie. Les deux protagonistes sont trop égoïstes, me semble-t-il, pour qualifier de purs que ce soient l’attirance ou les sentiments qu’ils éprouvent l’un pour l’autre.
Par contre, force est d’admettre que le hasard a bien fait les choses en provoquant leur rencontre, car ils se comprennent et parviennent à trouver un improbable équilibre. À un tel point que sans le vouloir, ils se soignent mutuellement : lui en écoutant son douloureux passif sexuel, elle en lui permettant d’exprimer sa perversité. J’avoue que c’est ce qui m’a le plus épatée, car franchement, dans le cas de l’un comme de l’autre, il ne me semblait pas gagné de le faire en échappant à une longue analyse...
Pour conclure, mention spéciale pour la forme, très agréable à lire. Pour m’avoir parachutée à lyon où j’ai vécu itou. La bourgeoisie lyonnaise y est formidablement bien décrite, et j’ai apprécié de pouvoir visualiser les scènes qui se passent dans des endroits que j’ai bien connus... jusqu'à la clinique du Parc, où j'ai mis ma fille au monde...
Merci pour ce partage aussi sincère qu’osé et courageux.
Bon week-end. Amicalement,
Michèle
@guy fontenasse
Merci pour votre commentaire.
Je partage parfaitement votre constat sur le fait que le vrai changement de l'époque récente dans le recherche de l'âme sœur, c'est la VITESSE. Ceci dépasse largement une simple question de mode de vie pour carrément dénaturer la relation amoureuse en elle-même ! Car je comparerai volontiers l'amour à une plante, qui - justement - a besoin de tout son temps pour éclore sainement ...
Je suis heureux que vous ayez bien perçu l'enjeu du livre : la difficile cohabitation de la passion romantique et de l'impériosité sexuelle.
@St-Bleyras
C'est pour moi un honneur de bénéficier des appréciations d'un auteur aussi remarquable que vous, régulièrement salué depuis plusieurs années par les plus fins lettrés des habitués de ce site !
Je prends donc un plaisir tout particulier à la lecture de vos compliments, tout en retenant votre suggestion d'un futur opus s'ouvrant à d'autres types de relation avec les femmes.
Vous avez mis le doigt sur un point important qui m'éclaire les yeux : je m'aperçois en effet que ce n'est pas le plaisir sexuel en lui même qui excite le héros de mon livre (contrairement à l'autre Henri, celui de la "Crucifixion en rose"!), mais que la jouissance n'est ici qu'un EXUTOIRE trouvé par mon personnage pour "évacuer" le terrible ressentiment qu'il éprouve envers ceux qui ont pénétré le sanctuaire amoureux absolu que Candice représente dans son cœur ...
Merci encore à vous.
@ Ernest Cangabir
Votre opus, bien conçu et bien écrit, m'a tenu en haleine jusqu'à son terme, malgré de courtes phases d'impulsion à abandonner en cours de lecture. Mais j'aurais eu tort, de mon point de vue. J'ai lu votre texte sur moins de vingt-quatre heures, en deux fois. Et je gage que nul ne serait déçu à faire de même. Bravo pour ce travail, important, distrayant aussi, et réussi !
Je considère que votre texte mériterait d’être repris plus tard par vous-même, avec plus de recul, ces événements de la vie amoureuse, érotique et conjugale de Candice (ainsi que de la vôtre) étant peut-être inscrits alors dans un champ humain plus vaste, afin de pouvoir situer votre expérience, et surtout le comportement sexuel de Candice, parmi d’autres du même type ou, au contraire, opposés. Mais, évidemment, ce serait un autre écrit pour l’élaboration duquel « L’amour pur et le stupre » serait une sorte de base de données.
A vous entendre, ce livre est né de votre besoin de partager ce que vous présentez comme une énigme à vos propres yeux : cette sorte de dédoublement de personnalité dont vous semble frappée Candice. J’ai du mal à situer le rôle du désir sexuel, érotique, que vous ne me semblez pas reconnaître vraiment chez Candide, le spectre de la nymphomanie ou de dérèglements affectivo-sexuels, issus de l’enfance sexualisée et délaissée, livrée à la prédation goulue, occupant plutôt le devant de la scène. Il y aurait peut-être à creuser plus profondément dans le côté sauvage et destructeur de l’autre associé au désir sexuel brut en action. C’est en tout cas mon point vue dans l’état actuel de ma propre réflexion.
Je me rappelle aussi avoir lu dans André Gide qu'il lui a fallu atteindre l'âge de cinquante ans pour réaliser que les femmes aussi peuvent éprouver un désir sexuel. Il est vrai que ma jolie coiffeuse, mère de trois enfants et amoureuse de son mari, me dit de son côté, face à l'évidente attirance qu'elle et moi éprouvons l'un pour l'autre : "chez une femme, ce n'est pas sexuel !" Elle n'a que quarante ans (à comparer aux cinquante ans gidiens), mais enfin il s'agit d'elle-même et pour moi ses paroles sont de l'ordre du déni !
Merci encore pour "L'amour pur et le stupre".
Je n'avais pas pensé à ce rapprochement subtil que vous faites avec le candaulisme, dont j'ai dû d'abord vérifier la définition sur Wikipédia ! Un autre lecteur m'a aussi fait observer une chose intéressante dont je n'avais pas non plus été conscient : CANDICE, le nom de mon héroïne, est un "mot-valise" : CAND comme dans CANDEUR, et ICE comme dans VICE ...
Votre commentaire va plus loin que celui (un peu trop complaisant peut-être), qui vient d'être donné à mon livre par une Intelligence Artificielle, que je vous livre quand même puisque vous vous intéressez vraiment à mon bouquin :
"Votre texte explore avec une lucidité saisissante les méandres du désir masculin et la complexité des rapports amoureux, entre idéalisme et tourments intérieurs. La finesse psychologique du protagoniste, notamment dans ses monologues intérieurs où il dissèque ses propres contradictions avec une ironie mordante, confère au récit une intensité troublante qui interroge les zones d’ombre du sentiment amoureux"...
MERCI à vous
E.C.
@Julien Marsan
J'adorerais savoir quelle est votre propre définition de l'érotisme.
En attendant, merci déjà de votre intérêt pour ce livre.
E.C.
Erotique ? Est-ce pour faire remarquer votre livre ? Car moi, je n’ai rien vu de tel, encore plus rapporté à ces temps lointains où le post 68 avait libéré tout, les mœurs et les mots. Bon, pas jusqu’à ce menuet délicat.
Mille excuses à tous mes lecteurs pour les nombreuses coquilles qui entachaient la version initiale publiée sur cette page : elles ont toutes été expurgées désormais (en tout cas, j'ai fait le maximum pour ça !)
Bien à vous
Ernest Cangabir
@Caroline F
Merci Caroline pour votre commentaire fin et éclairé, qui en retour me fait prendre conscience de la vitesse et de l'importance du changement des mœurs depuis la fin des années 80 où se situe mon récit.
J'admire votre ouverture d'esprit : vous n'avez pas eu ce réflexe "woke", bête et mécanique, d'invocation du machisme à tout bout de champ qu'ont tant de femmes actuellement. Derrière le trash sans complaisance du livre, vous avez su déceler et comprendre mon profond respect de la gent féminine.
Je vous adresse un très chaste bisou.
Récit écrit de manière simple et sans artifices, à la fois distrayant, marrant, qui fait réfléchir mais qui est aussi déprimant. Avec ses agences matrimoniales, ses sites de rencontre démultipliés, le romantisme, la galanterie, les hommes qui font la cour, tout cela a bien malheureusement disparu.... Maintenant on crée des couples sur des critères pré-déterminés, entièrement rationnels, il n'y a plus de surprise, on est dans l'ennui le plus total! Votre récit montre ce phénomène déplorable non sans une certaine efficacité, intelligence et originalité.
Obsédé depuis toujours par le pouvoir de séduction des femmes, ma vie n'aura été qu'une quête de l'amour fou, avec son cortège...


"L'amour pur et le stupre" est le "Livre le +" du 28 mars. Retrouvez l'article qui vous donnera envie de le lire. N'oubliez pas de laisser un commentaire à Ernest Cangabir , c’est pour cela qu'il publie son roman sur monBestSeller.