L'amour pur et le stupre

261 pages de Ernest Cangabir
L'amour pur et le stupre Ernest Cangabir
Synopsis

À mes yeux de jeune marié transi d’amour, ce que j’apprends du passé sexuel de Candice dépasse clairement les normes généralement admises de la part d’une jeune fille de bonne famille, aussi belle, distinguée, sensible et exigeante :

Le dédoublement de personnalité de cette exquise médecin trentenaire devient dans mon esprit une obsédante ÉNIGME, que je me jure de résoudre un jour, parce que je l’aime trop, d’une passion trop profonde et sincère, pour pouvoir la réduire à une vulgaire nymphomane.

Quand je contemple la pureté de ses traits et suis pénétré par l’innocence de son regard telle une héroïne romantique tout droit sortie d’un roman des sœurs Brontë, comment alors imaginer un seul instant une femelle assoiffée de luxure ?
Même Mr Hyde est battu, à plates coutures !

Publié le 19 Février 2025

Les statistiques du livre

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"L'amour pur et le stupre" est le "Livre le +" du 28 mars. Retrouvez l'article qui vous donnera envie de le lire. N'oubliez pas de laisser un commentaire à Ernest Cangabir , c’est pour cela qu'il publie son roman sur monBestSeller.

Publié le 31 Mars 2025

Ce livre est noté par

35 commentaires , 15 notes
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@vans le chanceux
C'est moi le chanceux ! d'avoir pu vous contenter.
Merci de ce retour sympa.

Publié le 07 Novembre 2025
3
super la lecture
Publié le 02 Novembre 2025

@Paul Mettery

"À LIRE DE TOUTE URGENCE"

= les cinq plus beaux mots qu'un lecteur puisse adresser à un auteur !

Merci Paul

Publié le 01 Novembre 2025
3
A lire de toute urgence !
Publié le 27 Octobre 2025

@Kayumba mbayo Tristan
Merci de votre commentaire, mais je ne suis pas sûr de l'avoir bien compris...

Publié le 01 Octobre 2025

@AHMED BEN LAKHDHAR2
Merci pour votre compliment, et pour votre réflexion avisée. J'irai dès que possible jeter un œil à la page de votre propre livre.
Cordialement
E.C.

Publié le 01 Octobre 2025

La famille c'est comme dans un champ, il ya toujours des bons fruits qui en sortent les mauvais qui en sortent

Publié le 30 Septembre 2025
3
Souvent, sous le vernis de la séduction , ce n’est pas le désir qui se traduit, mais la mémoire. BRAVO.
Publié le 27 Septembre 2025

@Dominique Glenn
Je suis ravi d'avoir pu vous accrocher et j'imagine avec émotion les pages de mon livre s'égrener le long des routes d'Europe au fil de vos pérégrinations estivales. De mon temps, c'était auto-stop + auberges de jeunesse...
Vous avez bien senti que le livre parle vrai : il n'a de sens en effet que parce qu'il rend compte, scrupuleusement, d'une réalité vécue, aussi passionnante que douloureuse. Seule la réalité peut dépasser la fiction, car je n'aurais jamais su imaginer un tel comportement féminin ! Comme vous, je suis sidéré par la vulnérabilité sexuelle d'une femme ayant a priori tous les moyens de maîtriser son destin et de surcroît d'une libido plutôt restreinte comme vous l'avez très bien détecté. Les prédateurs ont d'autres moyens d'aboutir à leurs fins que de donner du plaisir !
Quant à l'anal, vous connaissez la fameuse malédiction : mourir de soif au bord de la fontaine. Trop de sodo passée avait tué la sodo présente. Il ne restait donc que le fantasme de ce passé, et c'est exactement le sujet du bouquin.
Merci de votre lecture si attentive et intelligente.
Bien à vous
E.C.

Publié le 03 Septembre 2025
3
J’ai lu votre ouvrage d’une traite, lors d’un long voyage en Flixbus à travers l’Europe. J’ai beaucoup aimé votre histoire : c’est mené de bout en bout avec maîtrise, et l’on se surprend à attendre, presque fébrile, les nouvelles révélations de Candice. Jusqu’où est-elle allée ? Et surtout, on découvre enfin les abus sexuels dont elle a été victime enfant, ce qui éclaire tout le récit et permet de comprendre. Il est troublant, voire dérangeant, de constater comment une seule petite fille a pu attirer autant de prédateurs, « comme les mouches sur de la confiture ». Mais c’est malheureusement une vérité trop proche de la réalité, une vérité que l’on préfère souvent ne pas voir. Il faut aussi se replacer dans la psychologie et les mentalités des années 1980. Certaines réactions d’Henry peuvent aujourd’hui paraitre trop patriarcales, mais elles prennent sens si on les replace dans ce contexte. Un autre aspect qui m’a interpelé, c’est la passivité de Candice lors de certaines de ses frasques sexuelles. On en vient à se demander si elle était réellement toujours consentante, comme elle l’affirme, ou si elle n’était pas parfois en état de sidération. Enfin, un détail m’a intrigué : Avoir une femme portée sur l'anal et ne pas en profiter dans la relation m’a semblé surprenant, mais j’imagine que cela relève de la psychologie particulière du personnage d’Henry. Au-delà de ces points, ce livre offre aussi une critique percutante des relations de pouvoir dans le milieu médical et de ses dérives. Merci pour ce récit puissant et courageux, surtout s’il a une part autobiographique.
Publié le 27 Août 2025

@Monique Louicellier
Merci pour votre nouveau message.
Le livre se déroulant au milieu des années 80, vous ne serez pas surprise que les deux protagonistes soient aujourd'hui septuagénaires. Mais toujours amoureux ! Encore aujourd'hui, rien- pas même le film le plus érotique - ne peut d'avantage m'exciter que de revoir d' anciennes photos de Candice. Tout remonte instantanément, aussi fort qu'au début. C'est un blocage psy irréversible.
Je travaille en ce moment sur un nouveau bouquin totalement différent que je finirai peut-être en fin d'année.
Je n'ai pas d'autre livre à ce jour, mais dans une veine très proche de la mienne, à l'époque où j'avais plus de temps car n'écrivant pas encore, je suis tombé sur le "Passion et flétrissures" de Philippe Ribagnac, également sur MBS. Si jamais vous le consultez, je serais intéressé de savoir si vous aussi y trouvez des affinités avec mon propre ouvrage...
Bien à vous, toujours dans l'espoir de libérer enfin le long temps indispensable pour vous lire.
E.C.

Publié le 26 Août 2025

@Cristian BALLESTER PEREZ
Je suis content d'avoir pu vous intéresser et vous stimuler dans votre propre réflexion sur l'amour.
Cordialement
E.C.

Publié le 26 Août 2025

Je le Trouvé tres interessante.demonstration de que les machos pensent seuls en eux meme quand ola passent a l acte,l amor veritable est le contraire,IL faut penser faire jouir a l autre persone

Publié le 25 Août 2025

@Awazi
Merci pour votre like.
Bien à vous
E. C.

Publié le 22 Août 2025

@Emil Elzat
Votre commentaire est le plus merveilleux des messages que puisse espérer un auteur :
= apprendre qu'un lecteur a été accro à son bouquin plusieurs jours de suite, et avoir ainsi participé intimement à son bonheur estival... What more ?
Merci du bonheur qu'à votre tour vous me procurez par votre retour.
Bien à vous
Ernest

Publié le 21 Août 2025

@Ernest Cangabir
Bonjour et merci beaucoup de votre très aimable retour où toute votre délicatesse se déploie ! Aucun besoin de réciprocité pour la lecture de mes écrits sans conséquences et même pas terminés...
Je vous remercie pour votre avis sur le mien concernant votre écriture passionnante de par sa fine analyse de l'humai, jusque dans les détails dits inavouables.
Puisque c'est donc bien la réalité de votre vécu, question très indiscrète, quel âge cela vous fait-il à elle et à vous et êtes-vous l'un et l'autre (toujours ou maintenant) heureux en couple tous les deux ?
Vous n'êtes pas obligé de me répondre.
Très belle écriture en tous cas.
D'autres romans ailleurs ou en préparation ?

Publié le 18 Août 2025

@Monique Louicellier
Votre très long commentaire, parfaitement sincère et riche d'enseignements, m'a particulièrement touché (à commencer par le temps que vous avez bien voulu y consacrer, ayant bien compris à quel point le temps vous manque en général).
Je suis profondément SÉDUIT par votre franchise et même votre impudeur: chez une femme de votre qualité, cela me bouleverse...
Votre propre histoire sentimentale a de puissants points communs avec la mienne dans le registre de l'emprise sexuelle aussi forte qu'une drogue dure.
Je n'ai aucune expérience personnelle de l'homosexualité même si ce fut le cas de mon plus jeune frère qui pour sa part en souffrit beaucoup en cette fin du siècle passé encore peu ouvert à l'inversion sexuelle. Mais votre témoignage me prouve que la relation amoureuse, hétéro ou homo- est en fait strictement similaire, avec les mêmes toxicités.
Votre expérience de la vie vous a permis de porter un jugement extrêmement lucide sur l'héroïne de mon livre qui m'ouvre encore un peu plus les yeux sur cette femme qui a bouleversé et définitivement capter ma vie ! C'est cet enrichissement que sont capables d'apporter à l'auteur certains lecteurs qui justifie l'intérêt de ce site MBS.
Mon propre chargement actuel est tel que je n'ose pas vous promettre la lecture de votre ouvrage: j'ai seulement pris les minutes nécessaires pour aller voir la page de celui-ci et consulter le synopsis ainsi que les premiers commentaires déjà formulés.
Merci encore, du fond du cœur, chère Monique.

Publié le 17 Août 2025

@Clarybele
Je suis ravi d'avoir pu captiver une écrivaine de votre calibre ! Car la lecture de la première partie de votre propre livre (en arrachant un peu de temps, écartelé que je suis entre un nouveau projet de bouquin et les nombreux ouvrages que je souhaite lire sur MBS) me montre que j'ai affaire à une auteure de qualité qui sait transcender la triviale réalité des gens méritants mais sans fortune par une écriture précise, élégante et fluide. Ce que j'ai déjà lu me donne envie de poursuivre...
Pour répondre à votre question : Oui, ma vie se poursuit en merveilleuse connexion avec mon héroïne. Encore aujourd'hui, elle m'épate : moins bien sûr au plan sexuel, mais toujours d'avantage par sa lucidité et son parfait réalisme tellement complémentaires de mon incorrigible intellectualité !

Publié le 17 Août 2025
3
Bien
Publié le 17 Août 2025
3
À mon tour de laisser un commentaire, qui sera au court au vu des très longs lauriers qui vous ont été tressés - à raison ! Sachez que votre livre a ponctué de la plus belle des manières la première moitié de mon mois d'août. Une lecture... caniculaire. Bravo pour cette oeuvre riche, tant du point de vue de la narration que du contenu... Bien à vous, Emil
Publié le 14 Août 2025
3
Ayant remarqué ce roman dans les lectures de l'auteure des Silences de Juliette, il se trouve que j'ai passé du temps, trop pour mes capacités, à le lire puis à partager mes réflexions.. Je n'ai pas lu intégralement le dernier tiers, pour sauter à la conclusion dont j'avais l'intuition. Belle écriture, un peu de Zola là-dedans. Le fond maintenant. Si j'ai lu, bien qu'à l'antipode de la sexualité hétéro, c'est parce que je reconnaissais une dynamique connue entre les deux personnages principaux. Manipulatrice et froide beauté d'un côté qui séduira un homme amoureux et soumis. Très belle autopsie de la relation. Qui inévitablement débouchera sur l'histoire de l'abus sexuel dans sa petite enfance de la jeune femme par un pédophile. Alors non, elle n'est pas devenue nymphomane et l'excitation sexuelle qu'elle fait naître chez son amoureux à mesure qu'elle lui dévoile ses frasques et abus n'est que la projection de tels abus et l'internalisation du plaisir pervers qu'ont eu des violeurs. La personnalité de la femme s'est construite en dominance, en froideur y compris dans son métier de médecin, en étant effectivement dénuée de confiance réelle en elle, en étant au fond qu'un être non grandi, se pelotonnant et ronronnant comme un petit animal, ayant besoin de protection et d'affection simple. Tout a sûrement commencé avec la violence du père, son envie de soumettre et la perversité de la mère, jalouse de sa fille, énervée par sa résistance au dur cadre parental de départ, puis complice des viols commis sur l'héroïne, y compris dans sa petite enfance car on ne confie pas une ado à un vieux vicieux ,connu pour l'être, la mère ne voyant que l'aspect débauche qu'elle aurait souhaité avoir et je peux même deviner que cette mère fut violentée par son époux et qu'elle ne l'a pas choisi, qu'elle-même est dans une posture de victime qui s'approprie la violence. Non l'héroïne Candice, ne fait pas que confier ce qu'elle avait du mal à faire au début, s'accrochant à la candeur et à la façade pure qu'elle a au fond et à laquelle elle s'accroche, elle ne fait pzs qu'exciter Henri son amoureux puis époux, elle lui partage l'excitation perverse de ses agresseurs qu'elle a absorbée comme une éponge, elle projette, elle le violente, le transforme, le rend complice des abus, en jouant sur la sexualité de son amoureux, tout en lui laissant et en se laissant à elle-même, ô subtilité d'importance, une voie de fuite, de fuite des abus, une voie d'analyse, celle émanant de sa réelle personnalité et sûrement grâce à l'amour qui émerge dans la mince faille analytique, où l'abus ne se reproduit plus, où elle et son amoureux ne repassent pas dans le même endroit d'origine des viols si je puis dire, une mince voie de réparation. Si Henri avait été plus intelligent, plus humain, il aurait conduit de suite sa compagne chez des psychologues spécialisés en victimes de viols et d'abus pédophiles. Ceci dit j'ai peut-être loupé un passage, ayant fait des lacunes sur le dernier tiers. Ensuite tout ça résonne en moi car j'ai grandi dans une famille avec au moins deux perverses narcissiques, de type vulnérable et on dit que c'est génétique. Les tout bons, tout cons, naissant d'un côté, avec quelques troubles associés (TDAH, autisme par exemple), soumis, aidants et réparant, ceux victimes de leurs contreparties dans la fratrie ou dans les parents, voire les enfants, ces fameux PN, sans conscience, à l'empathie feinte, des paranoïaques, ayant peur d'être lésés, peur de manquer, formidablement jaloux, haineux, manipulateurs, cruels et en jouissant, projetant tous leurs travers sur l'autre, er sinon souffrants et vides d'énergie vitale et de joie intérieure. Est-ce génétique ou dépendant d'un abus sexuel subi tôt, versus non subi, dépendant aussi du rôle de soignant de telles blessures chez l'alter PN, endossé très tôt ? En tous cas, je constate que les violeurs et pédophiles sont des hommes dans leur écrasante majorité. Ma dernière relation ressemble un peu à Candice, non pas médecin mais pharmacienne. Une perverse narcissique, par contre elle n'avait pas accumulé les relations, ce fut le contraire, et elle n'a pas couché pour obtenir son diplôme mais s'est torturée physiquement, ne dormant que peu, s'imposant un travail et des relations avec la clientèle alors qu'elle déteste les gens et est extrêmement timide et sur la défensive, convaincue d'être lesbienne depuis longtemps mais aucune relation antérieure, à priori, ceci jusqu'à l'âge de 53 ans... Pas de désir sexuel. Puis l'ouverture par les livres. Puis moi. Et j'ai cru aussi à une nymphomane, le kamasutra dès les premières minutes de notre rencontre, après un baiser ventouse inédit qui a bien duré 20 minutes, l'aspect immature et bébé je pense, puis être dévorée par des relations sexuelles que j'aurais voulu retarder pour mieux savoir où je mettais les pieds, des postures et positions plutôt typiques du porno hétéro que du lesbianisme, surtout balbutiant. Elle était pluri-orgasmique, et moi, cela ne m'a pas excitée mais rendue complètement anorgasmique, pendant des mois. Elle avait des doudous tout sales et puants, des mouchoirs où elle avait pleuré puis avait caressé jusqu'à ce qu'ils deviennent des lambeaux de dentelle, gris et sales, qu'elle conservait sous son oreiller, et elle m'a même demandé des vêtements pour en faire ses doudous... Ceci alors que sa maison était d'une propreté impeccable, qu'elle s'usait à repasser tout vêtement et linge de lit et qu'étant propriétaire de quatre chiennes, qui dormaient avec elle, c'était sans cesse à recommencer. Le matin, ses yeux étaient embués de larmes, je sentais une souffrance excruciatrice, comme si elle assistait à sa propre agonie. Ce n'était rien, ses angoisses matinales, disait-elle. A l'horizontale, elle était tendre et dès qu'elle se levait, le changement pour l'ombre devenait perceptible, la dureté réapparaissait, y compris envers elle-même, en y ajoutant la manipulation et la cruauté, les projections à mon encontre. J'ai énormément souffert, combien de poudre aux yeux, pour notre futur ou avec ses petits mots doux mais toujours par SMS, de privation de sommeil, de fausses alarmes, y compris des silences et des fausses tentatives de suicide, de déni de ses propres dires et actes avec rages à la clef, de radinerie, et carrément profiter de moi, sans aucune reconnaissance, un orgueil démesuré, une absence d'attentions et de gestes tendres, des crises de mal-être au moment de profiter un peu ensemble, des vacances gâchées, le jeu de me faire tourner en bourrique, la cruauté de tourner exprès le couteau dans des plaies encore béantes pour me provoquer. accumulé les preuves que j'ai notées puis je l'ai quittée. Que dire, à part également cette histoire de viol pat un oncle, connu pour être pédophile, quand elle n'avait que 5 ans grâce à la traîtrise de sa mère l'ayant confiée à l'oncle en question... Souvenirs enfuis jusqu'à tard et pas complétement à jour. Moi je l'ai poussée à consulter des psys spécialisés dans la mémoire traumatique et les abus graves dont pédophiles, mais elle n'y est pas allée et m'a encore une fois manipulée. Mais j'ai aussi été là pour entendre, soutenir son amour-propre, ressentir et souffrir pour elle, et elle utilisait cet abus potentiel (mémoire partielle) et mes questions à ce sujet qui n'avaient pour but que de l'aider, comme une arme pour me faire la gueule, pour avoir un comportement chaotique et injuste, c'est normal, elle souffrait tellement n'est-ce pas et décidément il n'y avait plus que ça, sans pour autant aller consulter gratuitement d'ailleurs, enfin si, elle mentait en disant avoir pris RDV... J'avais déjà bien étudié les PN. La relation était un non-sens et elle me détruisait inconsciemment et parfois consciemment. Poussée à bout pour la guérir, j'arrivais à son délire sans aucune catharsis de sa part lui permettant d'affronter la réalité. Alors je l'ai quittée. Je suis restée dans la médiocrité de ma situation de naïveté et de sauveuse impénitente, m'ayant conduite à un cul-de-sac relationnel. à la solitude, à l'abandon. Vivre dans une ruine froide et isolée, escroquée par une marchande de biens très manipulatrice, avec des chats de sauvetage, ayant tout perdu, ceci après moultes sacrifices, dont pour une autre compagne qui m'a trahie et pour mon père très malade, dont j'ai hérité. De ses mêmes misères et mêmes pièges de vie, plutôt que de son argent vite dilapidé pour les chats. Et elle est restée une froide pharmacienne à l'allure de frustrée, tout en se faisant du mal au travail, cachant une sexualité dévorante et malade, elle a investi son argent, elle a continué à se chercher d'autres victimes, dépressives de préférence, et n'y parvenant pas, elle a acheté une chienne de plus... J'espère quand même m'en sortir et si j'y parviens, je remonterai de très loin... PS : Quelques coquilles sans beaucoup d'importance, dans les 2/3 lus, mais je n'ai pas le temps de vous les indiquer.
Publié le 12 Août 2025
1.02
Un livre captivant, qui se lit avec plaisir et donne envie de tourner les pages jusqu’au bout pour percer le mystère de Candice. Le suspense autour de cet amour, teinté d’envoûtement, reste présent jusqu’à la toute dernière ligne. Histoire vraie sans doutes pour etre aussi precis ? Êtes vous encore avec cette jolie personne aujourdhui ?
Publié le 09 Août 2025

@Marie-Amélie Laporte
Vous avez tout capté des intentions de ce livre, dont le but principal - au-delà d’une enquête psychique et sociologique - est bien de CAPTIVER le lecteur (objectif clairement atteint vous concernant, ce qui me comble de bonheur !)
Votre adorable commentaire, précis et avisé, mériterait franchement d’être retenu comme le nouveau pitch du roman ! Venant d’une consœur écrivaine (je viens d’inscrire votre « Archille » dans ma bibliothèque, pour m’y lancer après mes autres lectures déjà programmées), j’y attache d’autant plus de prix...

Publié le 09 Juillet 2025
3
@ Ernest Cangabir. Superbe livre que l'on savoure à petites gorgées rafraichissantes sur son transat. J'ai été particulièrement intéressée par la narration très originale. Cela démarre comme un roman à l'eau de rose avec une démarche banale dans une agence de rencontres. Les choses se gâtent rapidement. Pas très encourageante l'élue du héros, aux plans physique et moral. La famille est encore plus inquiétante. Dans quel guêpier s'est fourré Henri ? C'est sans doute une redoutable arnaque. Et puis la vérité arrive par petites touches, sans que l'on s'en aperçoive, au fur et à mesure que Henri découvre que sa promise est plus délurée qu'il ne pensait. Quand a la fin il découvre le monumentale passé amoureux de son idole, il réalise en même temps, qu'il ne peut plus se passer d'elle. La description des moeurs des médecins à la faculté m'a interpellée. J'y ai vu une. critique assez virulente des abus de pouvoir commis par les grands pontes dans ce milieu mais peut-être ai-je pris trop au sérieux ce qui dans ce livre constitue plutôt une toile de fond distrayante, étayant le côté libertin de l'ouvrage. Pas beaucoup d'érotisme dans ce livre mais plutôt la description clinique du caractère de Candice. Perverse ou bien victime, le mystère reste entier. Peut-on encore parler de roman érotique quand l'héroïne principale présente des caractéristiques de la bipolarité ? Un magnifique roman psychologique. Quel style ! Quel fluidité dans l'écriture. Quel plaisir de vous lire !
Publié le 07 Juillet 2025

@Lebreton Yohann
Votre avis m'est précieux, venant du spécialiste en sciences humaines que vous êtes ...
En même temps, je suis ravi d'avoir pu vous captiver puisque vous avez bien voulu employer ce terme élogieux à propos de mon livre.
Je suis allé voir votre propre ouvrage dont le sujet est très intéressant, mais je vous avoue être rebuté par les 960 pages annoncées ! Ne pourriez-vous pas en publier aussi un résumé qui permettrait de se faire une première idée avant de se lancer dans le grand bain ?

Publié le 03 Mai 2025

@Ernest Cangabir, vous êtes excusé. Mais dommage que vous ne puissiez pas imputer oublis de mots et fautes à une secrétaire étourdie... c'eût été tellement plus pratique !
N'en déduisez surtout pas que je suis machiste ou sexiste. Je n'ai jamais eu de secrétaire. Tous les officiers en état-major étant des rédacteurs, même à un niveau élevé, chacun tapait ses documents quel que soit le destinataire, avec une exigence qualitative fond/forme totale. Le moindre document suivait un cheminement, passé au crible par de nombreux intermédiaires... Cela a eu du bon pour le formatage maison, chaque institution ayant le sien.
Espérez que Henri Vernay ne tombera pas sur "L'amour pur et le stupre", ou si c'est le cas, qu'il vous demandera seulement de le lui dédicacer.
Amicalement. MC

Publié le 24 Avril 2025

@Michel CANAL
Je suis sincèrement comblé d'avoir pu intéresser une "pointure" de votre acabit (J'avais noté depuis longtemps la valeur intellectuelle des commentaires dont vous gratifiez périodiquement ceux des ouvrages publiés sur ce site qui le méritent ...)
Vous résumez à la perfection la teneur multiple de mon modeste récit dont vous avez bien compris l'authenticité.
Vous m'apprenez qu'un Henry Vernay existe réellement à Lyon ! N'ayant pas connu ce personnage au temps lointain où j'habitais moi-même la capitale des Gaules, j'avoue avoir inventé ce nom de toute pièce en ayant simplement regardé sur internet quels patronymes étaient typiquement lyonnais ...
Pardon pour les coquilles : le livre n'a pas été dicté à une secrétaire étourdie, mais au micro de reconnaissance vocale de mon vieux Windows 7 : à lui, je ne puis assurément rien reprocher. Au contraire je lui dois toute ma reconnaissance vu mes difficultés à écrire lors de cette période (bras cassé) !
MERCI du temps consacré à cet avis, qui m'est fort précieux.

Publié le 22 Avril 2025
3
@Ernest Cangabir, il n'est pas facile de donner un avis concis sur votre écrit seulement catégorisé "érotique". Il aurait pu être l'être "roman psychologique" ou "autofiction", puisqu'il en a les critères. Intéressante par son narratif, la trame s'apparentant aux conclusions d'une analyse psychologique pour justifier les comportements ; mais parfois déroutante car mettant en scène le personnage d'Henri Vernay (qui existe réellement à Lyon, lieu de l'intrigue). Cette histoire, qui se déroule durant les années quatre-vingts avec des retours en arrière et des prolongements dans le temps, traite plusieurs thèmes : la recherche de l'âme soeur par le biais des agences matrimoniales, très en vogue alors, la mésalliance de conjoints issus de milieux sociaux très différents, les abus sexuels sur mineure dans le milieu familial, la sexualité des adolescents, celle débridée des carabins, les abus de pouvoir à connotation sexuelle dans les milieux hospitalier et sportif, la variété des pratiques sexuelles et leurs conséquences possibles, le désir des hommes pour les blondes… et bien sûr, l'attachement amoureux dans le couple, avec les dérives possibles de l'amour passionnel. Le titre, la couverture et le synopsis sont excellents, le narratif original. J'ai aimé le style, la manière de structurer le récit à partir d'une énigme obsédante en incluant un semblant de journal intime, un peu de poésie, et des questionnaires de développement personnel. Cette histoire joliment racontée gagnerait à être améliorée en rabotant quelques longueurs et en corrigeant les fautes grossières qui font penser au travail d'une secrétaire transcrivant un manuscrit difficile à déchiffrer (oublis de mots, fautes d'orthographe, entre autres "ballade" qui dans cet usage s'écrit "balade"). Merci pour ce moment de lecture agréable. MC
Publié le 19 Avril 2025
3
Ce livre contient vraiment des meilleurs versions amoureux
Publié le 16 Avril 2025

@Momo ayasei
Heureux d'avoir pu vous plaire. Merci de votre appréciation.
E.C.

Publié le 12 Avril 2025

@Reina Terlouw
Je suis séduit par la sensualité de votre photo et impatient de connaître votre commentaire, avant de découvrir votre propre ouvrage.
E.C.

Publié le 12 Avril 2025
3
une belle histoire
Publié le 09 Avril 2025

Bonsoir,
Je vais commencer la lecture mais j’aimerais surtout lire les passages de baisers, d’étreinte, … etc Savoir comment c’est amené, pas pour vous copier hein mais pour m’inspirer… haha
Merci !

Publié le 02 Avril 2025

@Jean Roque De Baltique
@monBestSeller

Le provocateur -qui-n'a-que-ça-à-foutre à encore frappé !

Publié le 02 Avril 2025

@Ernest Cangabir Merci pour vos adorables retours.
Pour ce qui de l'épithète "pur", il suppose pour moi une forme d'irréprochabilité qui exclut de mon esprit les considérations matérielles, d'où ma remarque. Mais cela ne remet pas en cause la véracité des sentiments d'Henri, dont les preuves d'amour sont effectivement aussi constantes que nombreuses. Rapidement consciente qu'il devait jongler pour faire face à de multiples obligations, j'ai d'ailleurs été émue chaque fois qu'il outrepassait ses possibilités financières, ce geste lui coûtant plus que tout autre, et plus qu'à tout autre ;-).
Merci encore et bonne soirée. Amicalement,
Michèle

Publié le 30 Mars 2025

@Zoé Florent
Je reviens quand même un instant sur la dimension d' amour PUR que je revendique dans la relation entre Henri et Candice : mettre plusieurs années de suite l'intégralité de ses économies - péniblement gagnées, et alors qu'on a d'autres charges de famille - dans l'achat de bijoux de grand prix à une femme qui de toute façon vous est DÉJÀ acquise, qui est DÉJÀ votre épouse, c'est qu'on le veuille ou non un vrai instant de vérité, où tout calcul cède, pour une fois, devant la seule "raison du cœur", l' absolu de la passion :
Comme le dit si bien le dicton, "Il n'y a pas d'amour, il n'y a que des preuves d'amour" ...
Merci encore à vous.

Publié le 30 Mars 2025

@Zoé Florent

Votre commentaire comble mon attente d'un échange précis et objectif :
je vous suis sincèrement reconnaissant d'avoir pris un temps précieux à tout lire, puis exprimer objectivement votre ressenti d'auteure elle-même ô combien expérimentée et avisée.

OUI, vous m'aidez à prendre pleinement conscience que ce livre est bel et bien, en quelque sorte, un "DUO PSYCHANALYTIQUE" vécu en direct et grandeur réelle, et non par l'entremise d' un psy ...

OUI c'est bien l'égoïsme forcené des deux protagonistes qui, curieusement, leur a permis non seulement de se comprendre, mais aussi et surtout de s'aimer profondément, et ce pour le reste de leur vie ...

Outre le plaisir d'avoir été compris par un esprit tel que le vôtre, je suis heureux d'avoir pu vous procurer un agrément de lecture.

MERCI encore à vous, du fond du cœur !

Publié le 30 Mars 2025
3
Vu la longueur du commentaire, la note à part ;-)... Merci encore et bonne soirée !
Publié le 29 Mars 2025

Bonjour @Ernest Cangabir,
Il est un un fait que les cent premières pages laissent imaginer que vous n’avez pas choisi le bon genre, mais je confirme à vos futurs lecteurs que cette impression disparaît quand nous lisons plus loin de nombreuses descriptions très crues de coïts.
De mes impressions positives à vous lire, je retiens le rare degré de sincérité d’Henri dans sa façon d’assumer sa perversité. Son besoin de comprendre ensuite, d’analyser ses mécanismes psychologiques comme ceux de sa compagne, afin d’assurer la pérénité d’un couple qui démarre sa vie sur un très lourd passif mutuel.
Pour autant, je ne vous cacherai pas que certaines de ses réflexions comme certains de ses raisonnements m’ont non pas choquée mais contrariée, quand leur but visait sa seule satisfaction personnelle. La superficialité de ses critères de sélection comme ceux de Candice et les préoccupations matérielles omniprésentes aussi. Considérer communier avec l’âme d’une femme en lui achetant une montre :-) !... C’est ce qui veut que cette notion d’“amour pur” évoquée dans le titre, je ne l’ai jamais sentie. Les deux protagonistes sont trop égoïstes, me semble-t-il, pour qualifier de purs que ce soient l’attirance ou les sentiments qu’ils éprouvent l’un pour l’autre.
Par contre, force est d’admettre que le hasard a bien fait les choses en provoquant leur rencontre, car ils se comprennent et parviennent à trouver un improbable équilibre. À un tel point que sans le vouloir, ils se soignent mutuellement : lui en écoutant son douloureux passif sexuel, elle en lui permettant d’exprimer sa perversité. J’avoue que c’est ce qui m’a le plus épatée, car franchement, dans le cas de l’un comme de l’autre, il ne me semblait pas gagné de le faire en échappant à une longue analyse...
Pour conclure, mention spéciale pour la forme, très agréable à lire. Pour m’avoir parachutée à lyon où j’ai vécu itou. La bourgeoisie lyonnaise y est formidablement bien décrite, et j’ai apprécié de pouvoir visualiser les scènes qui se passent dans des endroits que j’ai bien connus... jusqu'à la clinique du Parc, où j'ai mis ma fille au monde...
Merci pour ce partage aussi sincère qu’osé et courageux.
Bon week-end. Amicalement,
Michèle

Publié le 29 Mars 2025

@guy fontenasse
Merci pour votre commentaire.
Je partage parfaitement votre constat sur le fait que le vrai changement de l'époque récente dans le recherche de l'âme sœur, c'est la VITESSE. Ceci dépasse largement une simple question de mode de vie pour carrément dénaturer la relation amoureuse en elle-même ! Car je comparerai volontiers l'amour à une plante, qui - justement - a besoin de tout son temps pour éclore sainement ...
Je suis heureux que vous ayez bien perçu l'enjeu du livre : la difficile cohabitation de la passion romantique et de l'impériosité sexuelle.

Publié le 26 Mars 2025

@St-Bleyras
C'est pour moi un honneur de bénéficier des appréciations d'un auteur aussi remarquable que vous, régulièrement salué depuis plusieurs années par les plus fins lettrés des habitués de ce site !
Je prends donc un plaisir tout particulier à la lecture de vos compliments, tout en retenant votre suggestion d'un futur opus s'ouvrant à d'autres types de relation avec les femmes.

Vous avez mis le doigt sur un point important qui m'éclaire les yeux : je m'aperçois en effet que ce n'est pas le plaisir sexuel en lui même qui excite le héros de mon livre (contrairement à l'autre Henri, celui de la "Crucifixion en rose"!), mais que la jouissance n'est ici qu'un EXUTOIRE trouvé par mon personnage pour "évacuer" le terrible ressentiment qu'il éprouve envers ceux qui ont pénétré le sanctuaire amoureux absolu que Candice représente dans son cœur ...

Merci encore à vous.

Publié le 26 Mars 2025

@ Ernest Cangabir
Votre opus, bien conçu et bien écrit, m'a tenu en haleine jusqu'à son terme, malgré de courtes phases d'impulsion à abandonner en cours de lecture. Mais j'aurais eu tort, de mon point de vue. J'ai lu votre texte sur moins de vingt-quatre heures, en deux fois. Et je gage que nul ne serait déçu à faire de même. Bravo pour ce travail, important, distrayant aussi, et réussi !

Je considère que votre texte mériterait d’être repris plus tard par vous-même, avec plus de recul, ces événements de la vie amoureuse, érotique et conjugale de Candice (ainsi que de la vôtre) étant peut-être inscrits alors dans un champ humain plus vaste, afin de pouvoir situer votre expérience, et surtout le comportement sexuel de Candice, parmi d’autres du même type ou, au contraire, opposés. Mais, évidemment, ce serait un autre écrit pour l’élaboration duquel « L’amour pur et le stupre » serait une sorte de base de données.

A vous entendre, ce livre est né de votre besoin de partager ce que vous présentez comme une énigme à vos propres yeux : cette sorte de dédoublement de personnalité dont vous semble frappée Candice. J’ai du mal à situer le rôle du désir sexuel, érotique, que vous ne me semblez pas reconnaître vraiment chez Candide, le spectre de la nymphomanie ou de dérèglements affectivo-sexuels, issus de l’enfance sexualisée et délaissée, livrée à la prédation goulue, occupant plutôt le devant de la scène. Il y aurait peut-être à creuser plus profondément dans le côté sauvage et destructeur de l’autre associé au désir sexuel brut en action. C’est en tout cas mon point vue dans l’état actuel de ma propre réflexion.
Je me rappelle aussi avoir lu dans André Gide qu'il lui a fallu atteindre l'âge de cinquante ans pour réaliser que les femmes aussi peuvent éprouver un désir sexuel. Il est vrai que ma jolie coiffeuse, mère de trois enfants et amoureuse de son mari, me dit de son côté, face à l'évidente attirance qu'elle et moi éprouvons l'un pour l'autre : "chez une femme, ce n'est pas sexuel !" Elle n'a que quarante ans (à comparer aux cinquante ans gidiens), mais enfin il s'agit d'elle-même et pour moi ses paroles sont de l'ordre du déni !
Merci encore pour "L'amour pur et le stupre".

Publié le 26 Mars 2025
3
Il ya un petit côté offre et demande dans votre approche du "marché" de l'amour pas forcément en faveur du sexe féminin. On s'aperçoit, que même dans les années 80, via les agences matrimoniales, on vivait comme sur internet aujourd'hui : je prends, je laisse ; c'est bien mais il y a peut-être mieux. La chose qui change vraiment : c'est la vitesse. Mais la question de l'amour idéalisé contre le sexe libéré reste au centre du débat. J'aime bien.
Publié le 21 Mars 2025

@Philippe Ribagnac

Je n'avais pas pensé à ce rapprochement subtil que vous faites avec le candaulisme, dont j'ai dû d'abord vérifier la définition sur Wikipédia ! Un autre lecteur m'a aussi fait observer une chose intéressante dont je n'avais pas non plus été conscient : CANDICE, le nom de mon héroïne, est un "mot-valise" : CAND comme dans CANDEUR, et ICE comme dans VICE ...

Votre commentaire va plus loin que celui (un peu trop complaisant peut-être), qui vient d'être donné à mon livre par une Intelligence Artificielle, que je vous livre quand même puisque vous vous intéressez vraiment à mon bouquin :

"Votre texte explore avec une lucidité saisissante les méandres du désir masculin et la complexité des rapports amoureux, entre idéalisme et tourments intérieurs. La finesse psychologique du protagoniste, notamment dans ses monologues intérieurs où il dissèque ses propres contradictions avec une ironie mordante, confère au récit une intensité troublante qui interroge les zones d’ombre du sentiment amoureux"...
MERCI à vous
E.C.

Publié le 14 Mars 2025

@Julien Marsan
J'adorerais savoir quelle est votre propre définition de l'érotisme.
En attendant, merci déjà de votre intérêt pour ce livre.
E.C.

Publié le 14 Mars 2025

Erotique ? Est-ce pour faire remarquer votre livre ? Car moi, je n’ai rien vu de tel, encore plus rapporté à ces temps lointains où le post 68 avait libéré tout, les mœurs et les mots. Bon, pas jusqu’à ce menuet délicat.

Publié le 13 Mars 2025
3
@Ernest Cangabir Enfin un livre de cul qui sort des sentiers battus, par le brutal contraste entre le romantisme passionnel éprouvé par le narrateur et la violence érotique vécue par la belle nymphomane devenue la femme de sa vie. Mais aussi pour l’originalité du thème : normalement, le CANDAULISME est l’excitation sexuelle ressentie en exposant ou en partageant son conjoint avec une ou plusieurs autres personnes. Mais ici, le voyeurisme se fait uniquement à posteriori (sans mauvais jeu de mots !). Le héros assume à 100 % sa fidélité absolue à son épouse, tout en s'adonnant à 100% à sa turpitude libidineuse ! C’est le PASSÉ amoureux de l’héroïne qui suffit à rendre le héros fou de désir ... Je l’avoue, cette lecture m’a interpellé, et passablement excité.
Publié le 13 Mars 2025

Mille excuses à tous mes lecteurs pour les nombreuses coquilles qui entachaient la version initiale publiée sur cette page : elles ont toutes été expurgées désormais (en tout cas, j'ai fait le maximum pour ça !)

Bien à vous

Ernest Cangabir

Publié le 25 Février 2025

@Caroline F
Merci Caroline pour votre commentaire fin et éclairé, qui en retour me fait prendre conscience de la vitesse et de l'importance du changement des mœurs depuis la fin des années 80 où se situe mon récit.
J'admire votre ouverture d'esprit : vous n'avez pas eu ce réflexe "woke", bête et mécanique, d'invocation du machisme à tout bout de champ qu'ont tant de femmes actuellement. Derrière le trash sans complaisance du livre, vous avez su déceler et comprendre mon profond respect de la gent féminine.
Je vous adresse un très chaste bisou.

Publié le 25 Février 2025

Récit écrit de manière simple et sans artifices, à la fois distrayant, marrant, qui fait réfléchir mais qui est aussi déprimant. Avec ses agences matrimoniales, ses sites de rencontre démultipliés, le romantisme, la galanterie, les hommes qui font la cour, tout cela a bien malheureusement disparu.... Maintenant on crée des couples sur des critères pré-déterminés, entièrement rationnels, il n'y a plus de surprise, on est dans l'ennui le plus total! Votre récit montre ce phénomène déplorable non sans une certaine efficacité, intelligence et originalité.

Publié le 24 Février 2025