Michel LAURENT

Biographie

Je serai un grand écrivain posthume. Si, si, pourquoi faîtes-vous mine d’en douter ? Certes, je me suis mis tard à l’écriture, d’où la difficulté à me faire éditer. A vrai dire, ai-je vraiment essayé ? Mais mon talent est grand, d’aucuns ici me l’ont dit ! Faites le pas, venez goûter par anticipation (avant ma postérité annoncée) ma finesse et mon sens du récit. Qui ne s’est pas aventuré dans « La prière d’Enora » ne peut savoir ce qu’est le romantisme contemporain. Lire « Les gens de rien… ou de si peu », c’est plonger dans les abîmes de la misère humaine et de l’incommunicabilité de l’Amour. L’humour ? Ah non, trop commun ! L’humilité ? A votre avis ? Bon, on est limité en place. La suite se trouvera sur ma pierre tombale, sur la lande bretonne. Et pourquoi pas le Panthéon ?

Michel LAURENT a noté ces livres

3
Je savais Zoé particulièrement douée pour nous conter toute la sensualité de l’amour. Je ne savais pas Michèle disposée à nous montrer la cruauté de ceux qui, ayant perdu toute boussole, sont capables d’aller jusqu’à frapper et violer une femme. L’amour et la haine étant les deux faces d’une même médaille, les psy nous disent que ce sont parfois les mêmes qui célèbrent la beauté de l’amour et se livrent à cette immonde violence. Ils trouveraient derrière la torture une forme d’érotisme. Perversion narcissique, naturellement. Cette nouvelle résonne particulièrement en moi. Je crois avoir écrit une scène approchante dans un de mes textes. Mais cela prend une tout autre force quand on la lit sous la plume d’une femme, particulièrement quand celle-ci a le talent de Zoé Florent. Bravo et merci à toi, Michèle.
Publié le 24 Janvier 2024
3
Vous avez le don de faire partager votre sensibilité de façon fort poétique, vos textes sont très agréables à lire, plein de douceur. Bravo Michèle.
Publié le 04 Janvier 2024
3
@Zoé Florent Tout de même, prendre 10 ans pour une petite estafilade, cela me paraît profondément injuste ! Certes la griffure était portée à la carotide, mais est-ce réellement la faute de la victime (oui, oui, Isabelle est bien au final la victime, en se prenant dix ans de purgatoire pour une petite boutonnière en couleur) si le geignant avait la carotide fragile et mal protégée ? Et puis, autant que je sache, tout être normalement constitué dispose de deux carotides. Pourquoi ne s’est-il pas contenté de celle qui lui restait, au lieu de continuer à se vider salement comme un cochon ? Sans doute parce qu’il pensait devenir ainsi le héros d’une nouvelle. Raté, le titre de l’histoire, c’est « Isalaide » et non « Ma dernière saignée » ! Merci, Michèle, pour cette nouvelle pleine d’humour et très agréable à lire.
Publié le 27 Décembre 2023
3
Très jolie nouvelle, belle écriture, douce sensualité. « Dans un cœur troublé par le souvenir, il n'y a pas de place pour l'espérance », écrivait Musset. Vous montrez qu’il n’en est rien, la nostalgie qui affleure avec ces quelques notes de musique vous permettant d’espérer ensuite de cette jolie rencontre. Rencontre qui n’est pas un échec, mais un succès différé puisque votre cœur, loin d’être troublé, ne cherche qu’à partager. Je vous souhaite plein de jolies choses pour ces fêtes.
Publié le 24 Décembre 2023
0.6
J’ai appris une chose dans ce livre (enfin dans les 25 premières pages, je ne suis pas allé plus loin), c’est qu’il faut éviter le MK2 Odéon, où l’on risque d’y être dérangé par deux bimbos qui se tapent du pop-corn tout au long des projections. Qu’elles se ruinent la santé avec leurs huiles hydrogénés et autres acides gras saturés, c’est leur problème. Mais le boucan d’enfer pendant le film, c’est celui de leurs voisins. Pendant que la M25 (oui, on a même le droit aux numéros de place, toujours les mêmes, qu’occupent les influencées, c’est vraiment un bouquin bien documenté) passe la séance à remuer son gobelet pour y trouver « le bon popcorn au bon moment », la ruminante du M26, la gueule alternativement ouverte puis fermée avec une fréquence comprise entre 2 et 4 Hz, émet un bruit de mastication aussi insupportable que permanent qui réussit, je l’imagine, à couvrir les ronflements du papy du bout de rang. A part cela, dans ces 25 premières pages, rien ! Si, pardon, la dame « thérapeute » nettoie les émotions (p. 20) et transmute le passé (p. 21). Halte à la médisance, svp, ce livre est classé n°6 ce jour, parmi les best-sellers du site !
Publié le 21 Novembre 2023

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Quelques nouvelles : Place des Fêtes La prière d'Enora La fin du hasard et quelques romans moins nouveaux (c'est pour ça que ce sont des romans et non des nouvelles...)

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