Quelles limites est-on prêt à franchir pour sauver ceux qu’on aime ? C’est la question posée par Kouyate oumar. Dans une banlieue, ou l’espoir se fait rare, Bakary a la possibilité de sauver les siens. Mais à quel prix ? C’est la mise en lumière des choix difficiles de centaines de jeunes des quartiers. Un livre sur les limites morales de la survie et la trahison de soi.

À vingt-et-un ans, Bakary jongle entre son boulot de serveur dans un restaurant où il est humilié et ses nuits passées à dealer pour faire vivre sa mère et ses deux cadets dans une cité oubliée. Quand un homme mystérieux lui propose de l’argent facile en l’intégrant à un réseau de trafic d’organes, tout vacille : doit-il trahir ses valeurs pour offrir un avenir à sa famille ? Vendeur de rêve est le récit poignant d’un jeune homme pris entre misère, responsabilité et tentation, un face-à-face brutal avec la violence sociale et les choix impossibles.
Romancier passionné, il trouve dans l’écriture un refuge créateur où la solitude devient sa plus fidèle alliée. Cette intimité avec les mots lui permet de retranscrire ce que son esprit a de plus beau à exprimer, transformant chaque page blanche en une invitation à révéler les nuances les plus authentiques de l’âme humaine.
« Je ne peux pas me permettre de perdre ce boulot. »
Eva Verna
Le rêve d'une vie meilleure : quoi de plus commun ? mais quand vient l'heure des décisions, cela peut impliquer un dilemme qui détermine sa propre vie. C'est un choix de moralité. Sans retour. Une écriture réaliste, sincère qui sonne vrai. Les personnages secondaires sont justes, même si parfois on a envie de les voir jouer un rôle plus déterminant.
Publié le 04 Août 2025
Kouyate Oumar
Dassyl
Franchement c’est un œuvre incroyable continue sur cette lancée, c’est percutant et captivant, les plus tu lis plus t’as envie de continuer à lire la suite
Publié le 29 Juillet 2025
Sousou D Sousou
Je suis pas expert dans ce domaine, mais pour ma part c’est un roman bien écrit et surtout réussi. J’avais peur au début que le sujet soit un peu cliché( mec de cité souvent repris dans les films etc). On s’attache aux personnages et à travers bakary on se rend compte des sacrifices pris par les parents, et des choix auxquels nous pourrons être confrontés. Vous soulignez aussi le faite que l’être humain n’est jamais satisfait il cherche toujours à obtenir plus. La conséquences des choix de bakary et un passage assez dur à lire…. Il faut avoir le cœur bien accroché. Le seul bémol je dirais pour moi et la fin que je trouve un peu bâclé.
Publié le 28 Juillet 2025
Louckym1
Très bon livre, lecture fuible et personnages intenses ! Merci !
Publié le 28 Juillet 2025
Kouyate Oumar
Pierre Polie
Je n'ai pas terminé votre livre, j'ai lu les 115 premières pages, je vais continuer car je veux découvrir l'évolution du personnage principal, je trouve attachant le personnage de Bakary et sa famille, on ressent bien l'atmosphère familiale.
Je ne suis pas convaincu par le fait de choisir entre des formes de survie, comme dealer par exemple. Dealer pour survivre n'est pas une fatalité, beaucoup de gens vivant dans des cités, ne dealent pas et occupent deux emplois, comme cuisinier et veilleur de nuit dans un hôtel.
Placer Bakary dans ce choix : avoir ces deux emplois précaires ou choisir la voie du trafic d'organes, aurait été intéressant , de mon point de vue.
En tout cas, j'aime votre plume, et vous semblez maitriser votre sujet.
Je trouve l'écriture et le style agréables à lire.
C’est pour ce partage, ces échanges, vos avis, vos suggestions, vos critiques qu’elle a publié son recueil de poèmes sur monBestSeller.
Publié le 27 Juillet 2025
Une histoire palpitante, intrigante, qui maintient notre attention jusqu’à la fin du livre. Les émotions sont si vivantes qu’on ressent nous même les conflictuels intestinaux de Bakary. J’espère que cette histoire inspira un jour, un long-métrage sur grand écran. Bien joué, l’écrivain.
@Lauren Back
He bien, il faut voir le ressort des banalités. Avec une phrase comme celle là, on peut oblitérer toute une vie
Vous citez Une phrase « Je ne peux pas me permettre de perdre ce boulot. » d'une telle banalité confondante, que je doute qu'elle donne envie d'en savoir plus sur ce rêve.