Nice, 1979. Laetitia, une étudiante hésitante, se débat dans ses contradictions et peine à s'affirmer. Au hasard d'un appel téléphonique, elle fait la connaissance de Fabrice, qui la subjugue et la manipule. Jamais dupe, elle se prend pourtant au piège d'une relation fabriquée. Dans une société à cheval entre deux époques, où l'émancipation des femmes reste une bataille de chaque instant, dans les esprits comme dans les actes, "Tu seras heureuse, je te le promets" est un récit tranchant sur la complexité des sentiments.
Ce livre est noté par
Merci pour cette belle lecture, on se prend dans l histoire...
Bravo !
@Ouam Je suis ravie que mon histoire vous ait inspiré ce retour, Ouam. Merci beaucoup à vous et douce soirée. M.M.
@Gay Merci beaucoup Gay, pour ce retour et pour votre étoile ! Votre commentaire apparaît trois fois, j'en suis donc triplement heureuse ! M.M.
Bon roman
Bon roman
@maeva sally : Merci beaucoup Maeva. Je touchée de votre lecture. Je vous suis reconnaissante d'avoir pris la peine de me transmettre ce commentaire et vos belles étoiles. M.M.
Un an après sa parution sur monBestSeller, un mois après la finale du concours, mon roman vous inspire ce beau commentaire et cette constellation d'étoiles... Alors, j'en suis très touchée, très émue, cela me va droit au coeur. Merci beaucoup @Sissoko Aïssata. M.M.
@Christiane Leroux : Merci beaucoup Christiane ! Je suis touchée de votre retour, de vos étoiles et très heureuse que mon texte vous les ait inspirés. M.M.
@Catarina Viti: Bonjour Catarina, et merci ! Je souhaite également très bonne chance à votre texte. Rendez-vous au grand soir... Amicalement, M.M.
Bonjour Marie,
Plus que quelques heures avant la remise des prix.
Je souhaite le meilleur à votre ouvrage,
Cordialement, Catarina
@Muriel Laroque : Merci infiniment, chère Muriel, pour vos mots et pour les étoiles magnifiques dont vous couvrez mon texte. Vous n’avez pas idée combien cela me touche. L’époque où se situe mon roman n’utilise pas les vocables de pervers narcissique. La société d’alors de s’est pas encore penchée sur ce profil de façon explicite. Fabrice rentre-t-il dans cette catégorie ? A un certain degré sans doute. Je dirai que le personnage est davantage dans le calcul. Il n’a d’émotion qu’un empressement éphémère, animé par la convoitise. Il n’a de sentiment que son intérêt. Il n’a de morale qu’une hypocrisie rompue à tous les codes. Laetitia l’intrigue parce qu’elle est différente des femmes qu’il a connues. Il lui fait cher payer cette attirance qui ne suffit pas à ce qu’il exige. Mais il est sûr de son pouvoir, alors il ne voit rien venir. Le plus aveugle n’est pas celui qu’on croit. La candeur lucide de Laetitia frise la connerie, car cette fille sensible n'est pas idiote, nuance. C’est ça qui est terrible. Mais c’est peut-être ça qui la sauve… Merci encore Muriel, et au plaisir de vous rencontrer bientôt j’espère ! M.M.
Vos mots et vos belles étoiles me font vraiment plaisir, @Kirli ... C'est moi qui suis bouleversée par ce retour. Je vous remercie beaucoup. Avec toute ma sincérité. M.M.
Je vous remercie pour vos félicitations @Covillers, elle me touchent beaucoup, j'y suis très sensible, je vous le garantis. Bien sincèrement, M.M.
Merci beaucoup @Kroussar, pour votre retour sur mon texte. Je vous sais gré, de tout cœur, de l’avoir lu, apprécié et commenté avec une précision qui m’honore. Un auteur qui achève un roman commence un tout autre travail, celui du questionnement et du doute. Mais une fois dans les mains de lecteurs un texte a sa propre vie. Qu’il soit heureux, moins heureux, il continue d’exister ailleurs... Pour moi, c’est tout cela l’écriture. Bien chaleureusement à vous et au plaisir de vous retrouver sur mBS. M. M.
Félicitation -
Livre qui se lit très facilement. Plein de sensibilité
@Alix Cordouan : Chère Alix, que mon texte, longtemps après son lancement, suscite un retour aussi délicat, analysé et enthousiaste que le vôtre me renvoie à beaucoup d’émotion... Je vous en suis d’autant plus reconnaissante que vous avez pris la peine de revenir m’attribuer vos belles étoiles. Vous avez pour mon personnage une bienveillance qui ne lui est pas toujours accordée (notamment par moi !) alors, je peux vous garantir que Laetitia apprécie ! Oui, elle est jeune, de ce fait, elle a une expérience zéro du monde différent qu’elle va découvrir et des bonnes gens qu’elle va approcher. C’est une circonstance atténuante, je le reconnais. Je vous remercie de tout mon cœur d’avoir mis le vôtre dans ces commentaires. Bien sincèrement. M.M.
@Marie Morganti.
Bonjour Marie Morganti,
Votre écriture, précise, délicate et sobre, sert à merveille cette histoire touchante.
La narration, entre autres, des rapports humains, exacerbés par les différences de condition sociale, est remarquable.
Pour ma part, je trouve Laetitia plutôt victime qu'insupportable, surtout si l'on tient compte de sa jeunesse. À chacun son ressenti.
C’est un livre attachant, émaillé de superbes descriptions, qu’il faut lire et commenter.
Félicitations.
Bien sincèrement.
P.S. Je pense comme vous que le silence est un bon compagnon.
@Michel CANAL : Cher Michel, l'attention redoublée et l'intérêt développé que vous accordez à mon texte me font vraiment plaisir. Vos mots sur mon écriture me touchent beaucoup. Laetitia n'est pas agaçante, elle est pire, cette fille est exaspérante. Elle met les trois quarts du roman à s’extraire de sa paralysie, et naturellement, ça n’arrange pas son cas. Mais vous avez compris, et je vous en sais gré, que mon but n’était pas d’en faire un personnage attachant. Je n’avais pas forcément envie qu’elle attire la sympathie ni l’empathie des lecteurs. Faire de Laetitia une rebelle, réactive, qui renvoie fissa ce type dans ses cordes ne pouvait pas coller à ce qu’elle est. Encore moins au sens et à la finalité du roman. La lucidité ne suffit pas, la volonté ne répond pas toujours. Parce qu’il faut du temps pour appréhender la complexité d’un sentiment, pour en dénouer les contradictions. Il faut du temps pour se libérer des diktats qui perdurent et qui ont sourdement façonné une éducation. C’est dur de distendre un tel ressort… Merci, Michel, d’avoir suivi ma démarche de construction. Vous avez compris le titre… Pour vous répondre sur ma ressemblance avec Laetitia, je dirai qu’on écrit plus facilement sur ce qu’on connaît, bien sûr ! mais que ce personnage n’existe que dans mon histoire… Enfin, je vous remercie pour vos souhaits. Écrire, c'est lancer une pierre d'un pont, elle ne peut pas revenir en arrière, elle atterrit où elle peut… Bien sincèrement. M.M.
@Marie Morganti, je vous ai découverte par votre sélection de mars au Prix Concours monBestSeller, encouragé à vous lire au vu d'une audience prometteuse, d'un synopsis qui a su parler à ma personnalité, de la lecture d'approche des premières pages qui révélaient un style direct, agréable, embarquant le lecteur. Cela suffisait, j'avais hâte de trouver le temps de vous lire, d'autant plus qu'il m'avait semblé alors que la relation de Laetitia et de Fabrice était l'anti-thèse de celle relatée dans mes écrits : un hymne à la femme, son émancipation assumée, une magnifique histoire d'amour. Tiens donc, me dis-je !
Effectivement, dès les premières pages, la trame est annoncée. Par un appel téléphonique (le 11 avril 1980) Laetitia annonce à Fabrice qu'elle est partie parce qu'elle le quitte, mettant fin à une relation commencée par le hasard d'un autre d'appel téléphonique en octobre 1979. En neuf lignes, qu'elle complète par une autre tirade de six, elle lui déballe tout ce qu'elle a sur le coeur. Tout est dit et le thème principal annoncé : la jeune étudiante en lettres modernes de 22 ans met les points sur les "i" au goujat manipulateur quarantenaire, architecte.
Entre ces deux dates, octobre 1979-avril 1980, Laetitia entraîne le lecteur dans la complexité des sentiments à une époque charnière entre les codes d'une société que mai 68 avait fait vaciller et celle où l'émancipation de la femme, accordée par la loi, devait encore évoluer dans les esprits et dans les faits.
En raison des descriptions remarquables des personnages (j'ai particulièrement apprécié celles des invités conviés au Noêl à Bandol), des sentiments, des émotions, des scènes évoquées, des ressentis, des antagonismes réels ou supposés, où de nombreux lecteurs peuvent se retrouver, la question est : Marie (dont la ressemblance physique avec Laetitia est indéniable, jusqu'aux cheveux et au grain de beauté sous le nez) se raconte-t-elle à travers Laetitia ? A défaut, elles peuvent laisser supposer qu'elles sont inspirées de faits réels, ce que conforte l'épilogue.
Mais, Marie Morganti, que votre personnage de Laetitia, pour lequel on se prend d'amitié et de compassion, est agaçant tant on la voit accepter de subir durablement frustrations et vexations tout en étant lucide. Il faut attendre les deux-tiers du récit pour la voir réagir. Et l'on comprend tardivement pourquoi ce titre.
C'est votre talent que d'avoir entraîné le lecteur dans cette narration de la complexité des sentiments, de la manipulation, de la résilience, de l'évolution aussi de la société avec en parallèle celle de la place de la femme.
Petit clin d'oeil anecdotique : je suis originaire de Pamiers.
@Lys Jean-Luc : Merci beaucoup, cher Jean-Luc, de votre regard précis sur mon texte et de votre critique élogieuse. Cela fait un petit moment déjà que mon roman est en ligne et j'ai toujours autant d'émotion de recevoir un commentaire tel que le vôtre. Je vous souhaite le meilleur pour "La sélection" ! Bien sincèrement, M.M.
@Badra Talia : Je vous remercie beaucoup Badra Talia, pour votre lecture et ce commentaire qui me fait très plaisir. Effectivement, on attend que Laetitia se tire enfin du marigot où elle a elle-même plongé. Plus encore que le bonheur, elle a surtout trouvé qui elle était, ce qui ne s'annonçait pas comme une évidence ! M. M.
j'ai aimé beaucoup l'histoire et surtout son dénouement heureux , et j'ai aimé aussi que laetitia a trouvé enfin le bonheur.
@Agostini Francois-Xavier : Merci de votre passage sur ma page, François-Xavier.
@riel_frce : Merci à vous, riel_frce, pour votre lecture et ce retour qui me font très plaisir. Oui, les sentiments de Laetitia sont complexes, ce qu'elle recherche renvoie à son histoire et l'entraîne dans ses choix, heureux ou malheureux. J'évoquerai le mot de Sartre : "On ne fait pas toujours ce qu'on veut, mais on est responsable de ce qu'on est"... Bien sincèrement. M.M.
@Colette Bacro : Je suis très touchée par votre critique, ma chère Colette. C'est toujours une émotion intense de se savoir lu, compris et apprécié. Ecrire, c'est lancer une pierre d'un pont et ignorer où elle va atterrir. Il n'y a pas de retour possible. Une fois lâché des mains, le texte ne nous appartient plus. J'aime beaucoup votre évocation d'étouffement lent. Fabrice peut effectivement se comparer au boa constrictor, magnifique spécimen au sang froid, silencieux et redoutable, qui avale directement ses proies après les avoir asphyxiées. Mais au fond, nous savons qu'il n'en est rien : ce n'est qu'un ver, un répugnant parasite qui cherche à se loger pour se nourrir et se reproduire. Laetitia, voyez-vous, sur le coup je ne la trouve pas charmante. Elle est faible, exaspérante, insupportable d'entêtement. Son formatage, son inexpérience et sa jeunesse n'excusent pas tout. Mais c'est ça qui la rend finalement et peut-être attachante. Elle se plante, elle se replante, elle se tire de justesse, ça arrive aussi dans les romans... Merci Colette, ce sont vos mots qui sont un régal. A vous lire avec délice et impatience... M.M.
Bonjour la complexité des sentiments vient toujours de l'enfance. Comme dans "Prophetia et Clémence la revanche contre la barbarie" sur Monbestseller Noam, Julia, Sophia, Clémence, sont tous dans la complexité des sentiments, même si Noam finalement rencontre la femme idéale pour son projet occulte la complexité des sentiments, des actes, des discours conflictuels entre les hommes et les femmes continuent d'animer la vie de chacun ET j'en sais quelque chose.
Tu seras heureuse ? qui est heureux ? On est heureux comme Noam le dit de son fils inconnu dans " Prohetia et Clémence la revanche contre la barbarie" seulement quand on aime quelqu'un plus que soi.
bonne lecture AGOSTINI François-Xavier
@Gigi 26 : Merci beaucoup de votre lecture Gigi, et du commentaire que vous avez pris la peine de me transmettre. Ce roman relate effectivement une recherche, mais pas seulement amoureuse. Mon personnage a beaucoup de choses à découvrir sur elle-même et sur le sens qu'elle veut donner à sa vie. Bien à vous, M.M.
Gigi26 ai beaucoup aime lire votre livre cette histoire peut arriver a tout les jeunes filles a la recherche de l'amour
@Fortune Berline : Merci beaucoup pour votre lecture et vos étoiles ! Vous avez raison, le lire est la meilleure façon d'honorer un roman... Bonnes lectures à vous ! M.M.
@Caroline CARPENTIER : Chère Caroline, je vous remercie beaucoup de votre lecture et de ce retour ! Bien amicalement, M.M.
@Thierry Vitteau : Merci beaucoup Thierry, pour ce commentaire détaillé et votre appréciation du roman. Il s'agit bien sûr d'une relation ambivalente entre Fabrice et Laetitia, mais pas que... La complexité des caractères se devine également dans celui de la mère, et à un niveau moindre, de l'amie... Il n'y a pas de modèles, pas de héros et encore moins d'héroïnes au sens valeureux du terme dans ce roman. Il y a le poids des codes, des milieux, des différences. Il y a la force d'inertie des hésitations autant que des certitudes. En ce sens, oui, cela ressemble à la vie, qui dépasse même souvent la fiction ! Heureuse de vous avoir lu. Bien sincèrement. M.M.
@Laure Avedian :Je vous remercie beaucoup, chère Laure, de votre lecture attentive et du commentaire fouillé que vous avez pris la peine de me transmettre. Que Laetitia vous ait passablement tapé sur les nerfs, c'est normal, je dirais même voulu, et je vous sais gré d'avoir tenu ! Malgré ses airs fragiles, c'est une pugnace, c'est pour ça qu'elle va boire la coupe jusqu'à la lie. C'est cet aspect de son caractère qui la fera aussi se libérer, se relever. Cette fille ne lâche pas l'affaire. La personnalité de ma narratrice, c'est le fil qui sous-tend le récit, en noue la trame. Je ne sais pas si mon texte est féministe au sens historique et radical du terme. Mais j'ai teinté ce roman de touches qui font rappel aux batailles gagnées de haute lutte. C'est d'abord contre elle-même que ma narratrice se débat. Ce n'est pas le combat le plus facile, qui ne conduit pas aux sentiments et aux choix les plus simples...Vous avez raison de souligner qu'on ne doit pas relâcher la vigilance de ces acquis, ni le soutien aux femmes d'aujourd'hui. Merci, chère Laure, d'avoir compris ma démarche, dans l'esprit comme dans l'écriture, et de me l'avoir signifié de façon si juste. Reste le principal de l'histoire, finalement : une seule fossette ! Bien sincèrement. M.M.
@Gina marie aurore : Merci beaucoup chère Gina, de ce ressenti empreint de souvenirs que vous me faites partager, à votre tour... Merci pour vos mots qui me font un immense plaisir, aussi. Cette époque, vous l'avez vécue, parfois subie en silence. Vous pouvez, comme vous l'évoquez, tout comprendre de ma narratrice, depuis son enfance jusqu'à son envol, si loin. Vous pouvez identifier ce qui la rendait fragile, faible, stupide bien souvent, ce qui la faisait hésiter, trébucher. Il y a tant de façons de se tromper, en particulier sur soi-même. Mais il n'y a que deux moitiés d'une même orange, surtout si elle est bleue... Bacci tanti ! M.M.
@Giseluccia : Ce qui me touche dans ce que vous transmettez, Giseluccia, c'est votre approche très fine des mécanismes affectifs dans ce qu'ils ont d'universel et d'intemporel. Le thème principal de mon texte (il y en a d'autres en correspondance) peut malheureusement se décliner à tous les temps, tous les modes et tous les contextes. Le piège peut prendre d'autres formes, d'autres masques, utiliser d'autres fils, mais les effets de son emprise restent les mêmes. Effectivement, la lucidité dans cette histoire n'est pas la solution miracle, elle est écrasante. Plus on mesure les dégâts, moins on a la force de les arrêter. D'autant que la paralysie de Laetitia est accompagnée d'un déni d'échec. Son histoire va marcher, elle va y arriver. Elle persiste, signe, la distance et la froideur de Fabrice ne la feront s'éloigner, au contraire. C'est une spirale infernale. Lui sait fort bien à qui il a affaire, il a vite compris leurs dissonances, mais il ne bouge pas d'un millimètre et les lui fait payer. Il en veut à cette fille d'être ce qu'elle est, et en même temps, il en joue. C'est là son petit degré de perversité, même si le mot, galvaudé aujourd'hui, me gêne un peu. Vous évoquez le théâtre de leurs retrouvailles, c'est une excellente image. Ils se jouent une âpre farce. A chaque fois qu'ils se retrouvent, ils montent sur les mêmes planches, les scènes se répètent, Fabrice aussi a été formaté pour ce rôle et ne peut pas en sortir. Mais la tension intérieure va crescendo. Le père absent, vous l'avez pointé avec beaucoup de justesse, Giseluccia... Il est celui qui manque à la narratrice autant que tout ce qu'il n'a pas eu le temps de lui donner. Le personnage de la mère prend plus de place, habitée de beauté triste, complexe elle aussi, frêle et forte, conditionnée et instinctive. Enfin, je ne vais pas vous garder davantage ! Merci pour votre si beau regard, la mè Giseluccia cara. Basgi e a prestu ! M.M.
Dès les premières pages, nous nous attachons à Laetitia, cet être sensible, bienveillant, drôle par moments, qui a besoin d'aimer, d'être protégée,
Face aux manipulations de l'homme dont elle est tombée amoureuse et à leurs « retrouvailles » qui sont de véritables pièces de théâtre, sa lucidité grandit au fil des semaines lui procurant encore plus de souffrance.
Comment alors lutter contre cet amour qui n'est que douleur, alors que la raison lui dicte clairement le chemin à prendre ? Il est si difficile de gouverner ses sentiments !
Ce roman nous interpelle à bien des égards ! Les sujets abordés traversent les âges : les sentiments et leur complexité, l'abandon de soi dans le couple, la souffrance de l'enfermement affectif, l'amour toxique opposé à l'amour vrai par le fait que ce dernier met avant tout en évidence le bonheur de l'autre ..
Laetitia a eu le courage de quitter le rôle de victime et d'être enfin elle-même !
J'ai été émue par l'évocation de son père, dont l'absence se montre encore plus cruelle dans les moments difficiles, et par l'amour inconditionnel de sa mère dont le message puissant transmis à sa fille, laisse présager des lendemains heureux.
Un livre à lire absolument !
A ringrazia vi, Marie Morganti.
@Mamita64@hotmail.com : Merci beaucoup de votre lecture et de ce commentaire qui me fait très plaisir, Mamita ! M.M.
@marieftt :Chère Marieftt, il est très gratifiant, pour l'auteure que je suis, de recevoir un retour tel que le vôtre. Merci beaucoup à vous de me l'avoir transmis. Bien sincèrement, M.M.
Très bonne histoire et bien raconté.
André
"Tu seras heureuse, je te le promets", Sélection de mars au Prix Concours monBestSeller. Découvrez l'interview de Marie Morganti https://www.monbestseller.com/actualites-litteraire/10923-tu-seras-heure....
@Chiara Catalina : Chère Chiara Catalina, je n'ai rien à vous apprendre, vous écrivez merveilleusement ! Auteures que nous sommes, nous avons seulement à découvrir encore, travailler toujours... Merci à vous, de tout mon cœur. Et à très bientôt ! M.M.
@Marie Morganti, évidemment touchée par votre réponse... Je vous soupçonne d'avoir jeté un oeil, ou deux, à "Soleil Bleu" (sourire). Je partagerais volontiers mes autres romans avec vous mais surtout, j'ai très envie de lire les vôtres, s'ils sont disponibles. Vous lire me permet d'apprendre encore, car non seulement vous écrivez divinement bien, mais vous avez aussi l'art d'embarquer le lecteur et c'est, de mon point de vue, une qualité rare chez un auteur... Merci... Bien à vous... Chiara
@Chiara Catalina : Un joli nom que le vôtre, Chiara Catalina, et une bien jolie plume aussi ! Vous pouvez comprendre à quel point ce que vous dites sur mon texte me fait plaisir... Merci pour ces mots. Et bravo à vous ! Bien sincèrement, M.M.
@MOREL Bernadette : Merci à toi Bernadette, ton retour me touche beaucoup. Je continue, je te le promets ! Bises émues du Ricanto... M.M.
@Babibon : Votre commentaire me ravit, Babibon. Merci beaucoup de ce retour enthousiaste et de vos mots pour l'exprimer, notamment sur le titre de mon roman, qui n'a pas toujours fait l'unanimité ! Bien à vous, M.M.
@Montserrat : Merci infiniment, chère Montserrat, pour l'intérêt que vous avez porté à mon texte, et pour ce témoignage vivant que vous lui offrez. Il est essentiel pour l'auteure que je suis de procurer à mes lectrices et mes lecteurs ce sentiment de partage... Non, ce n'était pas facile de résister, comme vous le dites, il fallait beaucoup lutter, et en particulier contre soi-même... Un deuxième tome ? Pourquoi pas ! Il y a tant à écrire encore sur ce thème, intemporel, inépuisable. Alors, à bientôt ! Bien sincèrement. M.M.
@Alicalex : Merci beaucoup à vous, Alicalex, pour votre lecture et votre retour. Vos mots me font très plaisir. Bien sincèrement, M.M.
@Paul François Colonna d istria : C'est votre retour qui m'émeut, cher Paul François. Merci beaucoup pour votre lecture enthousiaste, qui me touche à bien des égards... A noscia Corsica sara sempri qui... Amicizia. M.M.
@Loucas Vero : Qu'il me fait plaisir votre commentaire, Loucas Vero ! C'est toujours un défi, quand on écrit, de captiver celui ou celle qui nous lit. Et un bonheur quand on y parvient. Une suite ? Peut-être, qui sait !? Merci beaucoup pour vos mots, et tout le plaisir fut pour moi. M.M.
@PAUL FRANCOIS une lecture pationnante
Très ému par l histoire de Laetitia ,
Mais aussi
des souvenirs d une période vécue
et ce magnifique clin d oeil à la Corse
MERCI Marie
@jlfjm : Vous évoquez un livre réussi, qu'on ne veut plus lâcher une fois commencé... Voilà une lecture et un retour qu'un(e) auteur(e) adore recevoir, je peux vous l'affirmer. Il renvoie à ce que le travail d'écriture s'efforce de donner. Merci beaucoup jlfjm. Bien sincèrement. M.M.
@Marionette2a : Une appréciation qui me fait vraiment plaisir, Marionette2a ! Merci beaucoup, je vous souhaite tout le magnifique soleil du 2A ! M.M.
@Carole72 : Naïve, certainement, mais surtout longtemps incapable de se défaire de tout ce qui l'englue dans ses doutes, ses sentiments, sa ligne de conduite. La lucidité de Laetitia ne la fait pas avancer davantage, au contraire, elle l'écrase, lui fait mesurer tout ce qu'il lui coûtera pour y parvenir. Fabrice, quant à lui, calcule à vue, fait ses plans, ne semble jamais perdant car pour perdre il faut risquer, et pour risquer il faut aimer. Merci beaucoup, chère Carole, de votre lecture. Votre analyse sensible et chaleureuse me touche beaucoup. M.M.
@DAVID Astruc : Merci beaucoup, David Astruc, pour votre lecture et votre appréciation prégnante. Un choix implique toujours un renoncement. C'est souvent ce dont on se défait qui paraît le plus difficile. Bien à vous, M.M.
@lumda : Chère Lumda, un grand merci à vous et à Bonifacio, l'unique ! Merci de votre lecture et des mots que vous avez choisis pour en exprimer le ressenti. Je vous souhaite des journées aussi belles que les lumières sur les falaises... Bien sincèrement, M.M.
Un exemple de courage d'une jeune fille capable d'affronter sa destinée. Lucide, émouvant, tellement réel..... Un grand merci de Bonifacio ;))
@Jean-claude Boizumeau : Merci, Jean-Claude, de votre lecture et de ce retour qui me touche beaucoup. M.M.
@Canonici Camille : Je vous renvoie l'émotion que mon texte vous a suscité, cher Camille, car j'en ai ressenti beaucoup à la lecture de votre commentaire... Merci de l'appréciation sensible de votre retour, et de la poésie qui se perçoit dans vos mots... Bien sincèrement. M.M.
@Rosette Alberola : Merci, chère Rosette, de votre soutien à mon texte. Même si elles n'ont pas été enregistrées (les impondérables de la télématique !), vos étoiles sont bien présentes, soyez-en certaine...M.M.
Ma note n'a pas été enregistrée. C'est bien dommage, j'avais mis 5 étoiles
@Crinoline : Ce que vous exprimez me fait vraiment plaisir, chère Crinoline. Si mon récit vous a réconciliée avec le goût de lire, j'en suis honorée et émue. Bien sincèrement. M.M.
@NicoleB : Merci beaucoup de votre lecture appréciée Nicole ! M.M.
@Danielle Hendriks : Je suis vraiment heureuse du plaisir que vous a donné la lecture de mon texte, Danielle. Une époque sans portables, sans tablettes, sans Internet, trois chaînes TV, les photocopies à l'alcool à brûler, le courrier manuscrit dans la boîte au lettres, les cassettes audio, les douches communes, les vacances à pied, les permanentes serrées, la société qui se libérait, les lois timides... Est-ce que c'était mieux, moins bien ? C'était ainsi et on a survécu, je crois ! Bonne route pour la suite ! M.M.
@Dan1690 : Merci beaucoup Dan ! Oui, à quoi tient le destin ? Des chiffres presque semblables, une infime erreur d'aiguillage, le bon et le mauvais chemin ne sont qu'à quelques millimètres l'un de l'autre. Mais il y a toujours un choix, même et surtout, quand on se trompe... Bien à vous, M.M.
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