Bonjour Jean Michel Nivet. D'une plume dépouillée, vous faites une approche de la collapsologie sur fond d'une histoire romancée.
Les catastrophes naturelles, les contagions, la faim dans le monde, et au bout de l'édifice, la surpopulation. En cause, l'homme qui, de son arrogance naturelle, ignore volontairement les signes avant-coureurs des bouleversements imminents et des conséquences qui vont en découler. C'est une évidence, dépassé par son incapacité à faire face à ce qu'il a plus ou moins engendré, l'homme reste le pire ennemi de lui-même...
Petit bémol, la romance trop convenue à mon goût, diminue l'intérêt de cette analyse lucide et détaillée. Bien cordialement, Annie
Publié le 20 Janvier 2021