Monique Louicellier

Biographie

Je remplirai ma biographie plus tard, quand j'aurai aussi ma date de décès...
Ah une chose cependant, si vous ne voulez pas hâter l'achèvement de ma bio, voilà : j'ai d'adorables chats de sauvetage, certains déjà depuis longtemps avec moi, qui ont besoin d'un humain très attentionné pour eux seuls.
Stérilisés, tatoués, deux femelles, un couple de mâles et un binôme fraternel.
Je les placerais en priorité en Bourgogne, entre Autun et Nevers...
NB : J'ai d'énormes dettes de lecture et je réponds avec du retard, pardonnez-moi...
NB bis : Naissance en 66, négligence familiale doublée de harcèlement scolaire, mise à la rue après mon bac, reprise d'études à Genève en travaillant à côté, hypersensible...

Monique Louicellier a noté ces livres

3
@GUYONNET Merci beaucoup pour cet extrait, j'ai adoré les personnages, y compris l'apparition de Gaston le chat, leur environnement, cela fait plaisir de plonger dans le 19ième siècle (je suis forçée d'y vivre tous les jours un petit peu dans ma ruine, mais ce n'est pas si amusant, ni une immersion totale). Et quelle intrigue ! Et le reste du roman se trouve où du coup ?
Publié le 16 Janvier 2023
3
@Damian Jade Je mets un 5, même sur la première partie que j'avais lue (vous n'êtes pas obligé de tout publier ici si vous voulez vendre le livre)... Excellent thème qui sous-tend l'intrigue, la psychiatrie... Est-ce que vous pourriez faire un Ehpad la prochaine fois ou une IME ? Bon suspense, excellente histoire bien imaginée et avec de belles descriptions de l'univers psychiatrique ! Fin un peu courte peut-être et idylle étonnante entre Nathan et Adèle. Il y a aussi pour moi un léger problème sur la première page (juste une phrase à déplacer 3 lignes plus bas, je vous dirai mieux en mp), qui fait un peu confondre Bernie et François et ensuite je me suis demandée ce qu'avait José comme problème, ce n'était pas décrit, alors que d'autres personnages étaient décrits, sans pourtant d'interférence dans le récit et aussi j'ai confondu la secrétaire sans prénom avec Adèle la patiente, et je suis revenue au début pour vérifier. Par contre quelques petites étrangetés en milieu psychiatrique : Portable laissé à Benji/Nathan/François, pas le genre des HP ou alors il faudrait qu'il s'en serve seulement depuis chez ses parents, idylle possible avec Adèle au su et vu de l'asile, je ne pense pas, sinon privations de sorties (c'est leur politique) et pire Adèle qui vient accueillir Nathan devant la porte, hem... Et puis aussi, pourquoi cette jeune fille sortirait avec ce Nathan, encore enfermé, de suite, et de suite rapports sexuels, faudrait être un peu folle, remarquez, elle l'est peut-être ^^, en plus le mec est homo par moments, très déroutant, il y aurait pu avoir une histoire de séduction mais plus lente, plus crédible avec les raisons autres que physiques, toutes les considérations amoureuses et les réflexions avant de passer à l'acte... Mes longues considérations : Je pense que les infirmiers et aides-soignants ne s'inquiètent pas tant des personnalités des patients enfermés, pas envie de se mettre le médecin à dos, et ne se confieraient en tous cas pas à des patients comme Adèle, sauf en secrêt effectivement, de jeunes stagiaires pourraient même aider en secrêt des patients, mais pas trop de psychologie dans la plupart de ces lieux, d'ailleurs les soignants en auraient bien besoin aussi d'un psychologue ! C'est surtout le règne de la psychiatrie avec médicaments à bien plus forte dose qu'en ville (un bon débouché au détriment de la santé des patients), avec des observations plutôt à charge qu'à décharge des problèmes possibles étiquetés psychiatriques, alors même que l'enfermement peut occasionner un énorme stress ou décompenser n'importe quoi. Si on est pas fou en y entrant, on le devient ensuite ! Parano pour le moins... Présents aussi autoritarisme, despotisme, l'arbitraire, quoi, mais vous le décrivez. A mon sens, les infirmiers, sont des cas étranges, choisissant de rester, alors qu'ils devraient fuir, vivant en aquarium dans ces endroits hors-la-loi, comme dans pas mal d'institutions abusives type Ehpad par exemple, où règne souvent la violation des droits fondamentaux, comme de pouvoir faire appel à des médecins extérieurs, kinés extérieurs, spécialistes, orthésistes, avocats, procureur, etc, etc... Et où par contre la cigarette interdite en hôpital et pénible voire dangereuse pour les non-fumeurs, devenus fumeurs passifs, est permise, y compris chez les infirmiers. Ces soignants sont sûrement plus stressés que vous les décrivez, pas loin de devenir fous, comme des gardiens de camp, et pas si cools en parlant des patients. Dans cet univers de dingue, lié à la déshumanisation, ils parquent les patients pour qu'un seul les surveille, en allongeant leurs pauses à eux, afin de rester le plus possible entre eux, soi-disant valides libres, et en se moquant du coup du bien-être des patients et de leurs plaintes.... Rien de différent en Ehpad. Ce qui compte, c'est leur salaire, obéir à la hiérarchie et mettre de la distance, du déni avec les privés de liberté sans procès, qui pourraient les faire se sentir coupables de complicité de sequestration ou de torture ou juste leur faire trop pitié (quoique je crois qu'il existe un juge des libertés actuellement pour les hospitalisations sous contrainte, mais je ne sais pas si appliqué, pour les vieux en Ehpad, la question ne s'est même pas posée, en fait on les y met huit fois sur dix sans leur consentement, en violant la loi !). Une voie de garage pour des personnes fragilisées ? Et sans se mentir, assez souvent de la faute d'une société toute entière ou de celle de leur entourage peu questionné. La psychiatrie d'enfermement dans les murs ou par camisole chimique et retrait de capacité civile (tutelle) en ville, vient de très loin dans l'histoire et a beaucoup de mal à se réinventer. Elle sert toujours de garde-fou pour la société et parfois pour les familles qui veulent se débarasser de leurs encombrants ! Je connais pas mal d'exemples de dérives, ainsi utilisée lors de rivalités politiques sur un député en campagne ou pour étouffer des scandales, par exemple sur une institutrice dénonçant des mauvais traitements sur des enfants, internée d'office par surprise, elle avec son mari qui n'avait rien à voir avec l'affaire, eh, oui (et les chiens à la SPA) ! Sans compter qu'on internait facilement les homosexuels jusque dans les années 70 ! Les noms des pavillons gardent encore ceux des médecins, Esquirol, Bonnafoux, les pires, qui au 19ième siècle torturaient les dits aliénés avec de vraies tortures que personne ne nierait actuellement, quoique les piqures d'insuline, les électrochocs, qui peuvent priver une personne de sa personnalité, sont toujours employés et loués (et les douches glaçées ?) et ils préconisaient l'enfermement comme thérapeutique, ce qui est toujours le cas, et en fait que sait-on des pavillons interdits, où personne ne va jamais et où on enferme les handicapés mentaux sans famille et des personnes qui dérangent leur famille ? L'enfermement sécuriserait les malades ! Tous ! Hem..; Avant c'était carrément avec des chaînes ou dans des cages ! Dans le temps les HP enfermaient tout ce qui dérangeait d'ailleurs, mères célibataires, mendiants, etc... Avec la lourde responsabilité aussi et la complicité des institutions religieuses qui tenaient ces asiles jusqu'au milieu du 20iéme siècle ! Par contre en Italie, le mouvement anti-psychiatrique des années 70/80 a été bien plus innovant. Sans doute aussi moins d'emprise de big pharma où la sécurité sociale permet de bien engraisser labos, institutions et... prescripteurs bien souvent. Un mot oublié comme page 35, le mot "juste" après voiture et des virgules ici ou là, je vous redirai par mp si j'ai le temps !
Publié le 15 Janvier 2023
3
@Syppel Bonjour ! Je tombe ici par hasard, le sujet semble passionnant, je ne peux pas lire, je mets un 5 étoiles en espérant que cela réactive la lecture. Ca dépend sans doute plus de vos commentaires... Je ne sais pas... Bonne année !
Publié le 14 Janvier 2023
3
@ANTALL Bonjour Norin, faudra m'excuser, je sélectionne les textes courts ! Ah oui, pas mal du tout cette histoire de réincarnation, avec une écriture métallique, qui aboie ou qui récolte ce qui crie, qui largue aisément la narration, un univers futuriste... L'inverse de mon écriture, du moins je l'analyse ainsi, mais je ne sais pas si c'est pertinent. Bonne année !
Publié le 13 Janvier 2023
3
@Antar Abdelaziz Cher Monsieur, votre roman est très bien écrit et l'intrigue nous tient en haleine, sans incohérence ni pause aucune. On rêve d'en apprendre davantage sur les évênements, sur les comportements, sur l'histoire algérienne que vous décrivez et bien entendu sur l'énigme autour de Malika. Quel sera son destin, quel sera le destin de Farid ? Deux courageux personnages qui ne se battent pas avec des armes mais avec leur liberté d'esprit, malgré le péril de la mort et des tortures, malgré la soumission par la peur, contagieuse et normative, de la majorité des gens dans une dictature ou dans un pays affaibli ou victime d'appétits voraces, où plus personne ne peut garantir les droits des individus ! Bien entendu, la violence décrite n'est pas évidente à lire, mais on sait bien qu'en majorité, l'humain n'a pas réussi à créer des sociétés indemnes de violences hélas ! Bravo, je n'ai pu faute de temps que lire jusqu'à la page 50. Mais je reviendrai (j'ai une longue liste à lire). Merci pour cet ouvrage passionnant !
Publié le 13 Janvier 2023

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