Fernand Fallou

@Monique Louicellier Chère amie Eh bien voilà, c’est fait, vous avez sauté le pas, vous publiez. C’est très bien. Je vous souhaite la bienvenue. Votre texte est effectivement bien écrit, mais il décrit une situation mécanique et psychologique à un moment donné et manque un peu d’histoire. Et n’allez pas croire que je me prends pour votre Professeur Marco Sabbatini, Docteur ès Lettres, qui, si j’ai bien compris partage un peu plus que la littérature avec vous. Mais c’est un premier texte, et il mérite bien 5 étoiles. Un jour, si vous voulez nous parlerons de « la jouissance de la transgression » que vous évoquez dans votre préambule. Bonne continuation. FF

Ma chère @Parthemise33 Certains peuvent penser que je traîne un peu pour te mettre un commentaire, mais vrai, je voulais laisser d’autres laudateurs s’exprimer sur la qualité reconnaissable et constante de ton style. Ta plume navigue dans des contrées auxquelles je n’accède pas. Bravo ! Il en va de même sur la complexité et la qualité de ton énigme, et comment, avec brio, tu emmènes le groupe de tes lecteurs en voyage à Budapest. Bravo ! Bien que l’on puisse trouver quelques points communs dans nos deux histoires, sûrement parce que le sujet ne nous laissait pas tellement le choix. Mais mon histoire est tellement plus simple, que je te concède la victoire de notre petit concours. Bravo ! Et comme je sais que c’est ton anniversaire aujourd’hui, je te souhaite un bon anniversaire et je t’envoie ce bouquet d’étoiles filantes. Ce sont des étoiles spéciales pour les voyageurs du pays de l’imagination. Prends en soin, ne les perds pas. FF

Pas mal, pas mal l'ami @Damian Jade, pas mal du tout !

@Catarina Viti Ma chère Cararina Peut-être que des lectrices ou des lecteurs assidus, arrivent à lire ce texte en 85 minutes, mais personnellement, il m’a fallu beaucoup plus longtemps. Il y a plein de passages que j’ai relus plusieurs fois. Moi qui suis l’ainé d’une fratrie de dix enfants, j’ai essayé de rentrer dans l’intimité de Louise. Autour de moi, dans mon HLM, en banlieue parisienne, il y avait d’autres familles aussi importantes que la mienne. Alors la bambolina, c’est un mot familier pour moi, comme ses joies, ses peines et ses secrets. Les amis d’un jour deviennent les ennemis du lendemain et vice versa. Jusqu’à l’éclatement, quand chacun quitte le nid, d’une manière ou d’une autre pour mieux ou pour pire… et qu’il ne reste rien que le bitume et la pierre des murs qui ont tout vu, qui se souviennent, mais qui ne parlent pas. Très beau roman à lire absolument. FF

Après un texte comme celui-là je ne peux que vous appeler mon ami. J’ai mis du temps à rentrer dedans, mais passé le cinquième cahier je n’ai plus lâché votre récit addictif. D’autant plus qu’il se passe dans une région que je connais bien pour y avoir habité de 1996 à 2000. J’ai d’abord habité à Céret puis à Argeles sur mer ou j’ai acheté une laverie automatique qui n’avait absolument rien d’automatique. Bref ! c’était ma période baba cool. Je vous dis encore bravo pour ce magnifique récit.