Alhéna Skat

Bravo ! Bravo ! Pour ces phrases aux mots émouvants et profonds. Au vu des commentaires qui vous sont adressés et mérités, je ne peux qu’y ajouter les miens, sincères. J’ai adoré la toute dernière fin : – « Bientôt l’autre cruel n’aura plus de visage, Le temps et ta jeunesse tranquillement les effacent » Tant il est vrai que sur le long chemin de notre vie seul le Temps est le grand maître capable de recouvrir de son manteau nos souvenirs. Avec mes chaleureuses pensées, Alhéna

@Parthemise33 Un grand bonjour, Désirant vous mieux connaître par vos œuvres, je me suis arrêtée pour lire votre nouvelle. Je me trouve être admirative et conquise par votre écrit, d’une plume où le grandiose burlesque s’inscrit dans les retrouvailles de personnages de fiction qui se fondent dans un décor majestueux autour d’une invitation où le lugubre côtoie des mises en scène cocasses. Le menu composé par des boissons avec des noms si bien adaptés à la situation m’a fait rire à m’en étouffer. Les personnages, sans oublier le renard et la chouette, et les dialogues bien construits nous amènent dans un univers ou le fantastique ne pouvait être décrit que par une auteure de votre valeur. Vous êtes une grande Dame de la littérature et je m’incline devant une telle fertilité d’esprit. Continuez à enrichir notre âme, chère Dame Parthemise, et permettez que je vous adresse avec des félicitations les plus belles fleurs de mon jardin.

@galodarsac Merci d’avoir écrit ce beau texte. Je connaissais celui de Jean de la Fontaine, je trouve que le remettre dans le contexte de notre époque est bien imaginé en y mêlant des sous-entendus politiques. J’ai aimé le dernier quatrain de votre poème qui résume bien notre société. « Un monde obéissant se met en place, enfin ! Vous y serez heureux, au bon vouloir du maître ! Vous douterez parfois, je le sais, c’est canin… Mais vous apprendrez bien, je pense, à le connaître ! » Même en criant, hurlant à la mort, je crains comme vous que le monde ne comprenne l’abîme qui s’ouvre sous nos pieds.

@galodarsac Je viens de lire vos poèmes, toujours merveilleusement écrits, qui me font penser à ces grands du 17ème siècle. Je trouve que, comme eux, votre style est simple, net et précis. Il s’y ajoute beaucoup de recherche pour garder à travers les mots une vérité qui, chez vous, semble s’exprimer dans la volonté de plaire et d’instruire tout en gardant l’envie d’être utile au lecteur. Si je puis me permettre, sans flatterie, de faire l’éloge de votre grande qualité de poète, je suis persuadée qu’un jour prochain votre talent sera reconnu.

C’est Énorme !… Énorme !… Comme dirait Fabrice Luchini à la lecture de votre œuvre bien construite nous amenant à l’aide de rêves ou plutôt de cauchemars à nous souvenir de ces atrocités qui ne pourront jamais s’effacer de nos mémoires. « In Memoriam » à vous, victimes de la cruauté nazie, on ne vous oubliera jamais. Un grand merci à vous, GLD, en regrettant qu’il n’y ait que cinq étoiles pour vous honorer, comme l’a fait Jean Ferrat dans sa chanson « Nuit et Brouillard ».