Alhéna Skat

@Zoé Florent Je vois à l’instant que vous avez déposé la nouvelle « Le va-tout » Cette histoire percutante est malheureusement trop courante à notre époque. Les mots sont faits pour être dits sans se rendre compte de l’impact qu’ils peuvent amener chez l’autre. Ces 3 mots, « je te quitte » représentatifs d’un abandon définitif, vont créer une fin à laquelle on ne s’attendait pas… mais que je ne vais pas dévoiler… Ce beau texte est à méditer pour pouvoir se rendre compte de la difficulté de vie des couples dont l’un est « à la traîne ». Félicitations, comme d’habitude. Gros bisous dont mon cœur ♥️ déborde. ///// Bonsoir Zoé, J’ai lu votre texte et j’ai eu la vision de la dissection à vif d’un couple ! Cruel, cynique et tellement vrai ! J’ai noté une phrase que j’aurai aimé savoir écrire : « … raflant les miettes d’un courage en déliquescence… ». À bientôt… Amicalement, Jan

@antarabdelaziz25 Bonjour cher Antar, Ce matin, j’ai commencé la lecture de votre roman. Étant donné la longueur de l’histoire, j’avais pensé le scinder en plusieurs parties par manque de temps. Oui, mais voilà qu’aux premières pages j’ai été happée par l’histoire, ne pouvant m’en détacher, tant les événements que vous évoquez amènent le lecteur à vivre des situations horribles. Vous le décrivez avec un tel réalisme qui, je dois l’avouer, m’a fait monter les larmes à mes yeux. Oui, je l’avoue, cher M. Antar, j’ai pleuré devant l’injustice, la souffrance et le courage du jeune Salim face à son désespoir. Au fur et à mesure que je vous lis, je découvre toutes les horreurs de cette guerre que j’étais loin de connaître. Je suis obligée d’arrêter la lecture que je reprendrais incessamment. Au départ j’avais l’intention d’en lire 50 pages et je me retrouve au chapitre X page 166, tant votre histoire est captivante. Je vous dis à plus tard, lors de mon retour pour continuer à vous lire. Vous avez beaucoup de talent, votre écriture est fluide, claire, précise et très agréable à lire. Il est important que vous continuiez à nous donner du plaisir à vous lire. À très bientôt, avec toute ma considération et mon amicale sympathie. Alhéna

@Parthemise33 Bonsoir Gente Dame, Permettez que je m’incline très bas une fois encore pour saluer la brillante interprétation de votre nouvelle. Dès son début on est happé par l’histoire de Nergal, ce beau chat à la robe noire, fidèle compagnon de Màtyàs, un clochard à qui l’on dérobe une boule à neige de Noël, cadeau de son grand-père. Après bien des péripéties auxquelles vous nous faites participer où s’y trouve mêlée une part de magie, que seul un esprit machiavélique comme le vôtre a su développer, je ne vais pas divulgâcher votre histoire, alors je n'en dis pas plus... Je pense prendre un cachet pour calmer mon esprit en ébullition et goûter à un sommeil réparateur. Bisous...

@J Kahlan Bonjour, Je viens de lire votre histoire astucieusement bien écrite. J’ai été séduite dès les premières lignes, happée par l’intrigue sans me douter de la surprise finale qu’aucun renard, même le plus rusé, n’aurait pu imaginer aussi parfaitement conçue. Pour ma part, je vais la glisser dans la liste des cadeaux de Noël. Bravo ! Continuez à nous étonner ! Amicalement, Alhéna

@Julian Callie Bonjour Julian, Je viens de terminer la lecture de votre œuvre et j'ai beaucoup aimé l’entrée dans l’histoire. Elle promettait déjà par une écriture simple et bien rendue de la description d’un langage de rue, cru et expressif. La rue où s’y côtoie toute une bande de jeunes dont Gabriel et Gaëlle, entourés de nombreux copains et amis qui y jouent des rôles très importants où prédomine une sexualité débridée. Le seul point qui m’a gênée est le grand nombre de personnages dont j’ai eu du mal à retenir les noms. Des citations d’éminents personnages viennent de temps à autre renforcer le rythme par de jolies expressions. La fin se termine par l’accomplissement d’une promesse qu’il faut honorer sur cette maxime : « Examine si ce que tu promets est juste et possible, car la promesse est une dette » Confucius. En résumé, j’ai beaucoup aimé votre écriture et vous engage à continuer. Avec toute ma sympathie, Alhéna